Deuxième échange de la session hiver 2017 avec mes étudiants du COM3106 groupe 1. Cette fois, nous abordons les indicateurs en relations publiques.
En classe, nous avons étudié le chapitre neuf de Maisonneuve 2010, 4e édition, intitulé L’évaluation et les indicateurs mesurables en relations publiques. On y relate que l’importance des indicateurs tout comme des principales techniques d’évaluation applicables aux cinq volets successifs du processus de prestation de services en relations publiques (figure 9.1). Les indicateurs touchant les résultats d’affaires peuvent être pertinents, cependant «… ils ne peuvent se limiter à ceux-ci, selon Grunig, Grunig et Dozier (2002) qui proposent notamment de tenir compte d’indicateurs témoignant de l’état des relations entre les organisations, leurs publics et leurs parties prenantes» Maisonneuve, 2010 p. 330.

On met en évidence dans ce chapitre l’importance d’éviter de confondre les indicateurs mesurables d’une phase avec ceux d’une autre phase. À titre d’exemple, «… l’erreur fréquente de présenter des éléments tels que le nombre de communiqués expédiés, de brochures distribuées ou de rencontres tenues comme indicateurs de l’efficacité des programmes (impact), alors qu’il s’agit d’indicateurs de mise en oeuvre (Broom, p. 358 in Maisonneuve, 2010, p. 340).»
Tout compte fait, il est important de se doter d’indicateurs mesurables pour chacune des cinq étapes, et non seulement au début ou à la fin.
Question pour mes étudiants du COM 3106 groupe 1
Présenter à l’aide d’un exemple fictif ou d’un cas réel, vos choix d’indicateurs pour chacun des cinq volets successifs du processus de prestation de services en relations publiques en expliquant la justification et le rôle de chacun des indicateurs proposés? Un indicateur pour chacun des cinq volets. Au plaisir de vous lire.
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