Depuis la semaine dernière, nous avons vu en classe les approches pour obtenir des données primaires. À cela, les équipes de notre groupe cours ont réalisé deux ateliers pratiques sur une mise en situation en matière de relations publiques.
La troisième partie de cette activité pédagogique et qui compte pour 5 points consiste à commenter sur la question suivante :
Comment procéder et avec quels outils pour générer des données primaires afin d’établir un diagnostic en relations publiques?
Le commentaire doit être publié au plus tard le 24 février 16 h. Un membre de chaque équipe publie le commentaire et s’assure d’inscrire le numéro de l’équipe afin que les points soient attribués à tous les membres de son équipe. Votre commentaire doit faire de 3 à 4 paragraphes.
Au grand plaisir de vous lire.
Audrey Anne Marcotte, Florence Dugas, Justine Bissonnette-Lépine
/ 22 février 2019Commentaire critique
Il existe plusieurs moyens et outils propices à la collecte de données primaires. Ces données sont essentielles à la recherche en relations publiques. En recueillant, en analysant et en classant ces données, le professionnel des relations publiques est davantage informé sur l’environnement dans lequel se situe l’organisation ou l’entreprise.
L’une des méthodes les plus couramment utilisées s’avère à être les discussions de groupes, aussi appelées groupe focus dans laquelle les participants sont regroupés afin de prendre part à une discussion autour d’un sujet donné. La discussion sert à recueillir les opinions des participants dans le but premier d’analyser ces dernières d’un oeil qualitatif. En effets, les données primaires sont souvent d’ordre qualitatif, et ce, puisqu’il s’agit majoritairement d’opinions. Les questions posées par l’intervieweur sont divisées en section, puis en sous-sections si désiré. De plus, les questions peuvent être ouvertes ou fermées. Lors d’un entretien de groupe, une bonne cueillette de données dépend de l’animateur et de sa bonne gestion des interventions et du déroulement global de l’entrevue.
Pour générer des données primaires et établir un diagnostic en relations publiques, le sondage est un outil très pertinent. Cet instrument de mesure est destiné à recueillir des informations relatives à un questionnement ou à une problématique de départ. Le recours à des questions le caractérise et le distingue de l’analyse de contenu ou l’observation directe. Il y a différents types de sondage pour les différents secteurs d’activités. Il faut tout d’abord déterminer un échantillon à partir d’une population définie par le chercheur et ensuite élaborer le questionnaire en quatre étapes : la sélection des concepts et indicateurs, la formulation des questions, la mise en forme du questionnaire et le pré-test du questionnaire. Avec l’utilisation de cet outil, la rigueur est de mise. Il faut s’assurer de faire une analyse préliminaire et de méthodologie, poser le problème afin de cerner les éléments d’informations manquantes et choisir la méthode appropriée pour rassembler les données.
L’observation est probablement la plus ancienne forme de collecte d’information primaire. Elle reste cependant l’une des plus efficaces. Elle consiste en gros à recueillir des données en faisant l’examen du comportement des individus dans différentes situations. L’avantage principal de cette méthode est que les coûts de cette procédure sont bien moindres que n’importe quelles autres méthodes. En relations publiques, l’observation peut s’agir de scruter les réseaux sociaux, le pouls des médias traditionnels, observer la population d’une entreprise à partir de de l’interne, etc. L’observation permet surtout de répondre à la question «Quelle est la situation actuelle?» dans le processus de recherche.
Nous jugeons donc que ces trois méthodes de collectes de données sont pertinentes et devraient être exploitées par le ou la relationniste. Cependant, bien que ces méthodes soient efficaces, le relationniste peut (et nous lui conseillons) de varier ses méthodes de recherches pour maximiser sa collecte d’information primaire. Ainsi, le client sera bien servi.
Justine Bissonnette-Lépine (BISJ28539908)
Florence Dugas (DUGF09609808)
Audrey-Anne Marcotte (MARA15579901)
Anne-Sophie DesRoches
/ 24 février 2019Commentaire de l’équipe E :
Annabelle Arseneau
Ophélie Bélanger
Rachel Chouka
Anne-Sophie DesRoches
Élina Perron
Les données primaires, qui sont celles que les chercheurs tâchent de récolter eux-mêmes, sont cruciales à la phase du diagnostic. Accompagnées des données secondaires, elles contribueront à brosser un portrait complet de l’organisation, que cette dernière pourra consulter afin de mieux situer où se trouvent les problématiques communicationnelles et plus précisément, dans notre cas, les problématiques en lien avec les relations publiques.
Un premier instrument servant à générer ces données est le sondage. Méthode largement répandue et polyvalente, elle nous permet de produire des données qualitatives comme quantitatives. Avec des questions fermées, nous pourrons établir le profil des répondants et nous pourrons également obtenir quelques bribes de leur opinion sur le sujet donné. Avec des questions ouvertes, nous parviendrons à obtenir leur opinion sur un sujet et ce, de manière plus libre et souvent plus complète. Quoique cette méthode soit relativement simple et très efficace, nous devons l’utiliser avec précaution. En effet, il est impératif de soumettre notre sondage à une relecture par un tier avant de l’envoyer. Sans cela, nous risquons de ne pas repérer les biais que nous avons pu induire dans la composition des questions et ainsi, nous obtiendrons des résultats qui seront plus ou moins justes. Si parfois notre sondage ne contient pas de biais, le deuxième défi se trouve au niveau de l’interprétation des résultats. Les chiffres obtenus doivent être analysés avec grand soin et rigueur pour s’assurer qu’on en fasse une bonne lecture et qu’on ne tire pas de mauvaises conclusions de ceux-ci.
Une deuxième méthode pour la récolte de données primaires est le focus group. Cette méthode qualitative est très utile et pertinente du fait qu’elle nous permette de questionner directement les participants et qu’elle nous permette d’orienter la discussion au fil de la rencontre, tout dépendamment de la manière dont elle se déroule et ce, malgré qu’un plan d’entrevue ait été rédigé préalablement dans l’optique de cette activité. Celle-ci constitue en une rencontre entre un nombre limité de personnes (pas plus que 12) pour collecter leurs opinions sur un sujet donné. Dépendamment du portrait que l’organisation espère obtenir, elle pourra convoquer des gens ayant différents profils. En invitant une série de gens avec des profils diversifiés qui sont sensés représenter la collectivité, l’organisation pourra obtenir un portrait de l’opinion globale de la société dans laquelle elle opère. Si elle cherche toutefois à sonder un groupuscule particulier, elle pourra réunir autour de la table des gens rassemblant des caractéristiques et présentant des profils semblables.
Finalement, le chercheur en relations publiques pourra aussi utiliser l’entretien individuel pour explorer un filon particulier qui lui aura été exposé lors des sondages et focus group. Il pourra ainsi suivre la piste et obtenir des précisions sur une opinions plus particulière ou singulière.
Audrey Gibson, Marie-Kim Hamel, Ariane Bouchard, Sarah Chelhot, Sarah-Maude Sab-Lessard
/ 25 février 2019Commentaire critique de l’équipe B:
Plusieurs outils sont disponibles pour générer des données primaires afin d’établir un diagnostic en relations publiques, tels que les entretiens individuels, les groupes d’entretien, les sondages et les enquêtes.
Les entretiens individuels sont indispensables dans la recherche des données primaires. En effet, en interviewant des personnes occupant des cadres supérieurs, des clients, ou encore des journalistes, l’interviewer a un accès privilégié à leurs expériences et expertises dans leurs domaines. En d’autres termes, en effectuant une entrevue personnelle, l’interviewé se sent plus rapidement en confiance et est donc plus ouvert à expliquer l’univers qui l’entoure, allant des tensions jusqu’aux opportunités qui lui font face.
Le focus-group est une méthode qualitative qui se base sur un schéma d’entretien permettant de recueillir les opinions des participants. Cette technique est probablement la plus efficace, car elle permet d’identifier les tendances de la population, de dévoiler les particularités d’un enjeu et d’aller en profondeur sur un sujet complexe. Cependant, les focus-group sont relativement dispendieux et nécessite de bonne compétence en matière d’animation de discussion.
Les sondages sont des outils efficaces et généralement de bon marché. Il en existe plusieurs types, comme le sondage ponctuel ou le questionnaire postal, distribué ou électronique. Le sondage est la méthode la plus utilisée en grande partie grâce à sa simplicité d’utilisation, sa grande flexibilité et sa polyvalence.
Les enquêtes sur le sujet permettent à leurs tours d’obtenir des informations primaires à ne pas négliger. Celles-ci peuvent être menées de plusieurs manières telles qu’en procédant à une observation des participants et acteurs d’une situation, en exécutant une analyse de contenu, ou encore en identifiant les problématiques et les tendances de la situation. Tout en gardant en tête l’objectif de notre recherche, l’analyse de ces informations permettront l’élaboration d’un diagnostic complet et profitable pour l’entreprise.
Angélique Gaudreault-Lafleur
/ 26 février 2019Commentaire de l’équipe J :
Angélique Gaudreault-Lafleur
Tanja Popadic
Camille Massicotte
Pour générer des données primaires, deux outils principaux s’offre aux relationnistes soient les sondages et les groupes de discussions. Ces deux outils lui permettent de mieux analyser l’environnement ou l’entreprise pour lequel il travail et ainsi ajuster ses techniques/stratégies en communications en conséquence.
Premièrement, pour ce qui est des sondages les étapes sont au compte de 4. La première est la sélection des concepts et des indicateurs. Celle-ci sert principalement d’instruments pour infirmer ou confirmer nos hypothèses. La deuxième étape est la formulation des questions. Cette étape comprend notamment le choix du type de question, la précision, la pertinence et la neutralité de ceux-ci. L’étape numéro trois est la mise en forme du questionnaire. Cette étape détermine la longueur du questionnaire, l’ordre des questions et l’orientation des questions. La quatrième et la dernière étape est le pré-test du questionnaire. Cette dernière étape est primordiale, car elle permet de vérifier si le questionnaire construit permettra de récoltés des données primaires de qualités pour pouvoir permettre la suite. Il y a plusieurs modes d’administration d’un sondage les plus populaires étant par téléphone ou face à face. De plus, plusieurs types de sondage s’offre au relationniste lorsque vient de temps de construire ce dernier, il faut savoir choisir le bon si nous voulons obtenir les données escompter. Cependant, il y a toujours des avantages et des inconvénients à un outils de recherche. Le sondage peut être très utile lorsque l’on veut un grand nombre de variables, car comme il peut être administré de plusieurs façon, celui-ci peut rejoindre un grand nombre de personnes. Par contre, le sondage peu coûter cher et le relationniste et son équipe peuvent se buter à des refus. Bref, la création d’un sondage demande de la rigueur, une analyse en amont et des choix appropriés à toutes les étapes de la création.
Deuxièmement, les groupes de discussions sont une méthode de collecte de données primaires fréquemment utilisé. On dénombre 5 étapes que le relationniste et son équipe devront effectuer pour préparer un groupe de discussions. La première est le recrutement. Pour qu’un groupe de discussion puissent avoir lieu dans les meilleures conditions possibles, il faut environ 8 à 12 participants. La deuxième étape est l’élaboration des grilles d’entretien. Pour pouvoir faire tout le travail qui vient après la collecte de données, il est important que les grilles d’entretien soient claires et précises pour facilité ce travail. L’étape numéro trois est l’animation de la discussion. Ce travail est principalement celui de l’animateur, qui doit être expérimenté, de faire parler tous les participants et s’assurer que les échanges se font dans le calme et le respect des opinions de chacun. La quatrième étape est la compilation et analyse des résultats. Cette étape permet au relationniste de se préparer en vue de la rédaction du rapport en faisant ressortir les messages clés, les thèmes et sous-thèmes, etc. La cinquième et la dernière étape est la rédaction du rapport. Cette étape permet de mettre en évidence l’opinion du public et permet au relationniste d’établir les stratégies et les actions à faire par la suite. Le groupe de discussion, tout comme le sondage, comprend des avantages et des limites. Les avantages sont surtout au niveau du nombre de données que le relationniste peut recueillir, les groupes de discussion permettent d’avoir l’opinion de plusieurs personnes, souvent du même groupe, ce qui permet aussi de cerner l’opinion générale de ce groupe précis. Cependant, pendant un groupe de discussion, certains participants peuvent prendre plus souvent la parole que d’autre démotivant les plus gênés à donner leurs opinions. C’est le travail de l’animateur de faire parler ces derniers. De plus, certains participants, sous la pression sociale, peuvent mentir si leur opinion diffère de celle des autres membres du groupe. Certains points importants sont à retenir lorsqu’un relationniste organise un groupe de discussion. En premier lieu, l’animateur doit être expérimenter pour ne pas diriger les répondants vers une réponse et permettre une dynamique où tout le monde peut et doit donner son opinion. En deuxième lieu, l’organisation des groupes de discussion doit être impeccables pour le bon déroulement de celle-ci, pour le sérieux et pour gagner la confiance des participants. Finalement, les groupes de discussion sont un bon moyen d’avoir l’opinion des gens facilement et rapidement si les conditions pour que celui-ci se déroule bien sont respectées.
Somme toute, ces deux méthodes de recherche sont des outils que le relationniste doit connaître et maîtriser le mieux possible, car se sont des outils de collecte de donnés primaire puissant lorsqu’ils sont bien utilisés, même si ceux-ci comportent quelques risques. Plusieurs autres méthodes de collecte de données primaires vont être utilisés par le relationniste au cours de sa carrière, cependant, le sondage et le groupe de discussion sont, à notre sens, les plus efficace et ceux que les relationnistes utilisent couramment le plus souvent dans la pratique de leur profession.
Marie-Rose Desautels
/ 26 février 2019Commentaire – Équipe G :
Aurélie Bolduc
Érika Bosch
Marie-Rose Desautels
Stéphanie Rochon
Carolynn Labbé
Afin de bien établir le diagnostic d’une situation en relations publiques, il est primordial de recueillir des données, tant secondaires que primaires. Plusieurs moyens sont mis à la disposition des professionnels en relations publiques afin qu’ils puissent générer des données primaires, tels que l’utilisation de sondages et de questionnaires, ainsi que l’organisation d’entrevues individuelles ou de groupe, aussi appelées « focus group ». Chaque méthode peut être adaptée à une situation particulière et répond à des besoins spécifiques. En tant que chercheur, il est important de connaître les spécifications de chacune d’elles, ce qu’elles requièrent et les résultats qu’elles peuvent amener à produire.
SONDAGE ET QUESTIONNAIRE
Tout d’abord, la compagnie ou la firme engagée pour produire la recherche est appelée à dresser un questionnaire en suivant quatre étapes. On sélectionne des concepts et des indicateurs à définir de façon précise pour ensuite opérationnaliser et mesurer les résultats voulus. Ces mesures peuvent être objectives, c’est-à-dire qu’elles se basent davantage sur les faits et les caractéristiques ou encore subjectives, c’est-à-dire qu’elles mesurent l’opinion et la satisfaction du public cible. Ensuite, vient l’étape de la formulation des questions dont on vérifie la validité grâce à trois indicateurs soit la précision, la pertinence et la neutralité. Par la suite, la compagnie ou la firme doit procéder à la mise en forme du questionnaire. Celui-ci devrait couler comme une conversation normale et ne pas changer brusquement de sujet. Finalement, il est favorable d’effectuer un pré-test du questionnaire, afin de vérifier la qualité de ce dernier et de corriger les détails qui accrochent et nuisent à la fluidité de la réponse.
Lorsque le questionnaire est complet, il peut être partagé sous forme de sondage grâce à plusieurs moyens de distribution comme la poste, l’appel téléphonique ou de façon électronique. Le sondage est un mécanisme très simple et efficace qui permet l’obtention de données primaires directement en lien avec le sujet de l’étude. Une compagnie peut donc le créer avec son équipe ou elle peut faire appel à une firme de sondage afin de bénéficier de meilleures connaissances dans le domaine, ce qui peut toutefois entraîner des coûts assez élevés. Le plus grand avantage du sondage est qu’un seul questionnaire peut servir à mesurer un grand nombre de variables et donc permettre d’obtenir de nombreuses réponses aux questions posées.
ENTREVUE
Les chercheurs peuvent aussi générer des données primaires par l’entrevue. On parle d’entrevue lorsque le questionnaire est administré par un interviewer. Ce mode d’administration peut se faire de deux façons soit par téléphone ou en personne (face-à-face). Il est toutefois préférable d’utiliser l’entrevue téléphonique pour obtenir des réponses à moindres coûts. En effet, grâce à l’innovation technologique, il est de nos jours possible de faire des appels interurbains gratuitement par l’utilisation d’un réseau Internet, par exemple par la plateforme Skype. Ainsi, les frais téléphoniques deviennent beaucoup moins coûteux que pour une entrevue face-à-face et cela règle le problème potentiel du déplacement et de l’emplacement géographique des participants à l’entrevue.
On recommande surtout l’utilisation de l’entrevue face-à-face pour recueillir des données primaires dans les cas où les questions sont plus complexes et demandent davantage d’explications ou encore de supports visuels. Dans les deux cas, l’entrevue demeure un excellent moyen d’établir des données primaires tout en gardant le contrôle total de l’opération. En effet, il est possible d’assurer la compréhension des questions et de réagir plus rapidement en donnant plus d’explications et d’exemples. Toutefois, l’entrevue n’est pas conseillée si l’on cherche à obtenir une réponse nécessitant une longue réflexion. L’entrevue permet de recueillir des réponses plus courtes et spontanées de la part du public cible à l’étude.
ENTREVUE DE GROUPE (FOCUS GROUP)
Également, il existe l’entretien de groupe qui est une méthode de recherche qualitative. Son objectif est de recueillir l’opinion des gens sur un sujet précis. L’entretien de groupe est souvent basée sur un schéma d’entretien. Cette méthode est reconnue pour ses échanges et sa possibilité d’aborder plusieurs thèmes. L’entretien de groupe peut être utilisée en complément à d’autres méthodes de recherche ou bien seule. Le nombre de participants est restreint, il est recommandé que l’entretien de groupe comporte de 8 à 12 participants, idéalement 10. Elle comporte cinq étapes : le recrutement, l’élaboration d’une grille d’entretien, l’animation de la discussion, la compilation et l’analyse des résultats ainsi que la rédaction du rapport.
Il ne faut pas négliger la méthode d’étude par l’observation, afin de faire le bilan sur la situation, de poser les bonnes questions et de définir le ou les problèmes rencontrés en profondeur. Presque sans coût, cette méthode demande toutefois une bonne méthodologie de recherches et les outils d’observations appropriées et fournit davantage de données secondaires.
Finalement, chacune des méthodes énoncées est une technique et un outil indispensable au relationniste publique afin de générer des données et de permettre la mise en place d’un diagnostic pertinent, valable et fiable.
Marie-Rose Desautels
/ 27 février 2019Équipe G – Petit erratum
On devrait lire: « cette méthode demande toutefois une bonne méthodologie de recherche et les outils d’observation appropriées et fournit davantage de données secondaires. »
Aurélie Bolduc
/ 27 février 2019Équipe G – Erratum du petit erratum
Lire: « les outils d’observation appropriés »
Ariane Bédard Jade Côté-Goulet Maryam Gueraich Celia Mouhoub Audrée-Ève St-Aubin
/ 26 février 2019ÉQUIPE C
Ariane Bédard
Jade Côté-Goulet
Maryam Gueraich
Celia Mouhoub
Audrée-Ève St-Aubin
Peu importe le domaine d’études, la recherche constitue une action pertinente et stratégique pour se munir de données permettant de mieux comprendre la situation à laquelle une entreprise ou une organisation peut faire face. Dans un contexte de relations publiques, divers moyens et outils existent pour obtenir des données primaires utiles à la mise en oeuvre d’un diagnostic.
Pour y parvenir, il est adéquat d’effectuer une recherche descriptive. Dans cette optique, l’observation est une méthode digne de considération. Ce type de recherche est particulièrement utilisé lorsque les sujets sont des enfants ou des animaux. Cette observation permet de saisir le comportement des sujets dans leur environnement quotidien et d’en dégager des données et des subtilités. Ces dernières permettent de comprendre le « quoi », le « quand », le « pourquoi » ainsi que le « comment » d’un phénomène donné. Toutefois, avant d’entamer le processus d’observation, les chercheurs doivent définir leur ou leurs objectifs, choisir le milieu d’observation, soit en milieu naturel ou en milieu artificiel, choisir la stratégie d’observation, choisir la méthode de collecte de données, ainsi que choisir les sujets de leur étude (Roy, 1990).
Parmi les outils dédiés à la collecte de données, on retrouve également le sondage. Le sondage est “une enquête statistique d’opinion basée sur un échantillon représentatif “ (Observatoire des sondages, 2013). Il est de mise de mentionner qu’on dénombre plusieurs types de sondage dans le cadre d’une recherche. On retrouve le sondage spectacle, administratif, commercial ou encore le sondage ponctuel, outil le plus populaire de par son faible coût et sa simplicité d’exécution. Tout sondage se base sur un questionnaire qui peut être administré de différentes manières. Il peut être effectué par téléphone ou en face-à-face. Il peut aussi être auto-administré, donc être envoyé par courrier, distribué en mains propres ou envoyé par mode électronique. Ainsi, le chercheur peut choisir la méthode d’administration de son questionnaire selon les besoins de sa recherche. S’il le juge pertinent, il est aussi possible d’utiliser l’ensemble des méthodes dans le cadre d’une même étude. L’essentiel est de trouver le mode d’administration le plus efficace, qui permet une collecte d’information de qualité et qui est peu coûteux. De plus, la forme du questionnaire varie tout dépendamment des données recherchées. Que les questions soient ouvertes ou fermées, que le questionnaire soit court ou long, le principe fondamental repose sur la cohérence, la fidélité et la validité du questionnaire afin qu’au final, il puisse représenter un instrument de recherche pertinent. Enfin, l’élaboration du questionnaire doit indéniablement prendre en considération le répondant, d’où la nécessité de former des questions agréables à répondre (Litalien, 2019, séance 6).
Différemment, il existe aussi une technique nommée le focus group. Il s’agit d’un groupe composé de personnalités hétérogènes qu’on oriente sur un sujet concernant une organisation. Cet outil permet, par exemple, de connaître le positionnement réel d’une entreprise sur le marché. Une conversation de groupe dure entre une et deux heures et est composée de groupes de 8 à 10 personnes. Il est nécessaire de poser des questions objectives pour ne pas corrompre les participants et du même fait biaiser les résultats de l’entrevue. Les conversations peuvent être semi-structurées et ainsi être dirigées par un(e) animateur(trice) dynamique. Elles peuvent aussi être complètement ouvertes, selon les critères exigés par l’organisation qui utilise cet outil (Litalien, 2019, séance 7).
Outre l’entrevue de groupe, l’entrevue individuelle est un autre moyen pour assurer la récolte de données primaires. Elle permet le déroulement d’un échange direct entre l’interviewé et l’intervieweur. Similaire à une conversation, le but de l’entretien est de connaître la compréhension que l’interviewé se fait d’un phénomène et ce, en l’interrogeant. Cependant, afin que la démarche soit efficace, il est important de faire preuve d’une certaine souplesse afin que l’entrevue se déroule de la même manière qu’un échange. En effet, il est primordial que le participant se sente à l’aise de s’exprimer et d’expliquer sa vision du monde quant à un phénomène donné (Litalien, 2019, séance 7).
Litalien, Guy. (2019). Les outils – sondage: notes de cours de la séance 6, COM3106. Université du Québec à Montréal, Département de communication.
Litalien, Guy. (2019). L’entretien de groupe: notes de cours de la séance 7, COM3106. Université du Québec à Montréal, Département de communication.
Observatoire des sondages. (2013). Qu’est-ce qu’un sondage?. Récupéré de http://www.observatoire-des-sondages.org/
Roy, Carole. (1990). Une introduction à l’utilisation des méthodes qualitatives de recherche en marketing. Récupéré de http://neumann.hec.ca/pages/jacques.nantel/notes/Marketing/textes/protocolnantel.pdf
Josiane Bélanger-Riendeau
/ 27 février 2019Équipe D
Josiane Bélanger-Riendeau
Gabrielle-Rose Girard
Ariane Rochette
Gabriel Fleurant
Marianne B. Matteau
Comment procéder et avec quels outils pour générer des données primaires afin d’établir un diagnostic en relations publiques?
Commentaire critique
Afin d’établir un diagnostic en relations publiques, il est important d’appliquer une méthodologie rigoureuse à nos démarches en plus d’utiliser des méthodes qui sont à jour et efficaces. Dans cet ordre d’idées, il existe plusieurs outils pratiques que nous pouvons utiliser pour récolter des données primaires dans un cadre de recherche et d’évaluation. Dès lors, le sondage et le groupe d’entretien, aussi appelé focus group, sont deux outils pertinents et efficaces pour récolter ces données qui sont nécessaires au développement d’une recherche formative.
D’une part, le sondage est un outil pratique qui est d’une grande flexibilité et qui est très polyvalent. Pour ce faire, nous devons avoir recours à un questionnaire et à un échantillon. Cet échantillon doit être déterminé de façon à ce qu’il représente bien le public cible de la problématique. Tandis que le questionnaire caractérise le sondage en rendant les résultats de celui-ci explicites à travers un grand nombre de variables. Le but premier de cette méthode est de formuler des questions précises afin d’analyser les réponses et obtenir de l’information sur la problématique posée en amont. Deux types de questions sont utilisés dans les sondages: les questions ouvertes et les questions fermées. Il existe plusieurs manières de distribuer un sondage. Celui-ci peut se faire grâce à des entrevues, soit par téléphone ou face à face. Il peut aussi être distribué comme un questionnaire autoadministré qui serait envoyé par courrier, distribué main à main ou par mode électronique. Afin de déterminer de quelle manière nous pouvons partager notre sondage, il est important de considérer les éléments géographiques, le budget, le temps accordé ainsi que le taux de réponse. D’ailleurs, à l’ère de l’évolution des technologies, le sondage est un moyen extrêmement avantageux lorsqu’on le combine à d’autres (Litalien, 2019).
D’autre part, le groupe d’entretien est une méthode qualitative qui permet de récolter des informations précises sur un sujet en récoltant les opinions et les idées des participants. Un schéma d’entretien est nécessaire dans ce genre de récolte de données, car il permet d’entretenir la discussion autour des thèmes principaux de la recherche et de rester dans les limites de celle-ci. Ce schéma, aussi appelé, grille d’entretien ou enchaînement séquentiel, doit être fait sous le modèle de l’entonnoir afin d’amener graduellement le sujet et de connaître le positionnement de l’organisation au sein des individus de ce groupe. Ainsi, pendant deux heures maximum, le groupe doit être dirigé par un animateur qui saura amener tous les individus à participer à la discussion, car il est important que les résultats soient exacts et qu’ils ne comportent aucun biais. De plus, il doit veiller à ce que les échanges entre les personnes soient agréables, fluides et respectueux. Ces discussions permettront d’identifier les tendances et de dévoiler les particularités de certains enjeux selon un groupe en considérant les différences d’âge, de scolarité et d’appartenance culturelle (Litalien, 2019).
Somme toute, la récolte de données primaires, peu importe les moyens utilisés (sondages, groupes d’entretien, etc.), doit se faire à l’aide d’une méthodologie minutieuse et approfondie afin d’avoir des résultats exacts. De plus, une combinaison de ces moyens peut dresser un portrait plus exhaustif de l’entreprise et de son contexte situationnel. Au final, ces démarches permettront d’établir un diagnostic représentatif.
(Contenu basé sur les notes de cours de Guy Litalien et sur la compréhension des concepts enseignés dans le cadre du cours Recherche et évaluation en relations publiques.)
Équipe A
/ 5 mars 2019Commentaire critique équipe A :
Coutu, Marie-Michèle
Côté, Guillaume
Laroche, Maude
Lyonnais-St-Martin, Florence
Rousseau, Jessica
Les données primaires sont les plus importantes lorsque vient le temps d’obtenir un diagnostic en relations publiques puisqu’elles donnent beaucoup d’information sur l’environnement de l’entreprise. Lorsqu’elles sont agencées avec les données secondaires, un résultat optimal en découle. Il existe plusieurs façons de récolter ces données primaires notamment les sondages, les conversations en groupe et les rencontres individuelles.
Le sondage est une façon très pertinente de récolter des données primaires pour établir un diagnostic en relations publiques. En effet, le sondage est un instrument de mesure qui sert à recueillir des informations. Il existe différents types de sondage qui s’adapte aux divers usages de ce dernier. Plusieurs questions sont posées à un groupe de personnes en particulier pour enregistrer les réponses afin d’obtenir rapidement de l’information sur la problématique étudiée. Pour faciliter la tâche, il faut d’abord déterminer l’échantillon à partir d’une population définie pour finalement établir le questionnaire. L’élaboration du questionnaire se fait en quatre étapes ; la sélection des concepts et indicateurs, la formulation des questions, la mise en forme et le pré-test du questionnaire. Pour une meilleure analyse, il faut être rigoureux et faire une analyse préliminaire et méthodologique, car le sondage est un outil doté d’une grande flexibilité et est très polyvalent.
Le groupe de discussion, aussi appelé entretien de groupe, est un atout pour la collecte d’informations primaires. Parmi ses nombreux avantages, cet outil permet entre autres d’évaluer la position des répondants sur un sujet précis, de mieux comprendre leur point de vue, ainsi que de mieux repérer les tendances ou encore les attentes d’un groupe. Le groupe de discussion est donc un outil qualitatif réunissant des personnes avec des points communs, afin qu’ils échangent sur questions précises. L’essentiel de cette méthode repose sur les discussions entre les individus. Il est donc important d’établir un environnement de confiance où les participants pourront s’exprimer en toute honnêteté.
Afin de réaliser un groupe de discussion, il faut réaliser plusieurs étapes. D’abord, le recrutement des participants. Il faut ensuite élaborer une grille d’entretien qui traite et divise tous les thèmes qui seront abordés lors de la discussion. Puis, il faut une animation du groupe de discussion qui favorise l’échange et l’évolution de la discussion. C’est après les échanges que l’on peut analyser les propos qui ont été exprimés au cours de cette discussion et ainsi dresser un portrait de plusieurs informations primaires.
Les rencontres individuelles sont également un moyen utile de collecter de l’information primaire. La particularité d’une rencontre individuelle, c’est qu’elle permet d’approfondir la recherche puisqu’elle se déroule avec un seul sujet à la fois. Que ce soit au téléphone ou en personne, cette méthode crée un lien de confiance et un échange plus intime avec l’interviewer ce qui facilite la cueillette d’informations privilégiées. L’interviewer peut gérer le temps de l’entretien et choisir d’accorder plus d’importance à un thème selon le répondant. Il est alors possible de bien collecter les réponses du sujet. Également, en ayant qu’un seul individu à interroger, on s’assure d’avoir son opinion pour chacune des questions posées ce qui n’est nécessairement pas le cas dans des entrevues de groupes. Par ailleurs, le sujet ne risque pas d’être influencé par d’autres interlocuteurs parce qu’il est seul avec l’animateur. On s’assure ainsi d’obtenir l’opinion réelle du participant. Bien que coûteux, ce processus peut s’avérer utile lorsque l’on est à la recherche de données très précises, données parfois plus personnelles.
En conclusion, ces trois moyens sont d’excellentes façons de collecter des informations pour une recherche en relations publiques. La méthode choisie par l’entreprise dépendra de plusieurs facteurs comme le temps, les moyens financiers, le sujet de recherche et les sujets interrogés. Chacune de ces démarches entraîne la collecte de données primaires en comportant des avantages comme des inconvénients. Il est du devoir de l’équipe de relations publiques d’identifier le moyen convenant à leur situation.
Maude Laroche
/ 5 mars 2019Commentaire critique équipe A :
Coutu, Marie-Michèle
Côté, Guillaume
Laroche, Maude
Lyonnais-St-Martin, Florence
Rousseau, Jessica
Les données primaires sont les plus importantes lorsque vient le temps d’obtenir un diagnostic en relations publiques puisqu’elles donnent beaucoup d’information sur l’environnement de l’entreprise. Lorsqu’elles sont agencées avec les données secondaires, un résultat optimal en découle. Il existe plusieurs façons de récolter ces données primaires notamment les sondages, les conversations en groupe et les rencontres individuelles.
Le sondage est une façon très pertinente de récolter des données primaires pour établir un diagnostic en relations publiques. En effet, le sondage est un instrument de mesure qui sert à recueillir des informations. Il existe différents types de sondage qui s’adapte aux divers usages de ce dernier. Plusieurs questions sont posées à un groupe de personnes en particulier pour enregistrer les réponses afin d’obtenir rapidement de l’information sur la problématique étudiée. Pour faciliter la tâche, il faut d’abord déterminer l’échantillon à partir d’une population définie pour finalement établir le questionnaire. L’élaboration du questionnaire se fait en quatre étapes ; la sélection des concepts et indicateurs, la formulation des questions, la mise en forme et le pré-test du questionnaire. Pour une meilleure analyse, il faut être rigoureux et faire une analyse préliminaire et méthodologique, car le sondage est un outil doté d’une grande flexibilité et est très polyvalent.
Le groupe de discussion, aussi appelé entretien de groupe, est un atout pour la collecte d’informations primaires. Parmi ses nombreux avantages, cet outil permet entre autres d’évaluer la position des répondants sur un sujet précis, de mieux comprendre leur point de vue, ainsi que de mieux repérer les tendances ou encore les attentes d’un groupe. Le groupe de discussion est donc un outil qualitatif réunissant des personnes avec des points communs, afin qu’ils échangent sur questions précises. L’essentiel de cette méthode repose sur les discussions entre les individus. Il est donc important d’établir un environnement de confiance où les participants pourront s’exprimer en toute honnêteté.
Afin de réaliser un groupe de discussion, il faut réaliser plusieurs étapes. D’abord, le recrutement des participants. Il faut ensuite élaborer une grille d’entretien qui traite et divise tous les thèmes qui seront abordés lors de la discussion. Puis, il faut une animation du groupe de discussion qui favorise l’échange et l’évolution de la discussion. C’est après les échanges que l’on peut analyser les propos qui ont été exprimés au cours de cette discussion et ainsi dresser un portrait de plusieurs informations primaires.
Les rencontres individuelles sont également un moyen utile de collecter de l’information primaire. La particularité d’une rencontre individuelle, c’est qu’elle permet d’approfondir la recherche puisqu’elle se déroule avec un seul sujet à la fois. Que ce soit au téléphone ou en personne, cette méthode crée un lien de confiance et un échange plus intime avec l’interviewer ce qui facilite la cueillette d’informations privilégiées. L’interviewer peut gérer le temps de l’entretien et choisir d’accorder plus d’importance à un thème selon le répondant. Il est alors possible de bien collecter les réponses du sujet. Également, en ayant qu’un seul individu à interroger, on s’assure d’avoir son opinion pour chacune des questions posées ce qui n’est nécessairement pas le cas dans des entrevues de groupes. Par ailleurs, le sujet ne risque pas d’être influencé par d’autres interlocuteurs parce qu’il est seul avec l’animateur. On s’assure ainsi d’obtenir l’opinion réelle du participant. Bien que coûteux, ce processus peut s’avérer utile lorsque l’on est à la recherche de données très précises, données parfois plus personnelles.
En conclusion, ces trois moyens sont d’excellentes façons de collecter des informations pour une recherche en relations publiques. La méthode choisie par l’entreprise dépendra de plusieurs facteurs comme le temps, les moyens financiers, le sujet de recherche et les sujets interrogés. Chacune de ces démarches entraîne la collecte de données primaires en comportant des avantages comme des inconvénients. Il est du devoir de l’équipe de relations publiques d’identifier le moyen convenant à leur situation.