Diagnostic RP: obtenir des données primaires COM3106 gr 20

Depuis la semaine dernière, nous avons vu en classe les approches pour obtenir des données primaires. À cela, les équipes de notre groupe cours ont réalisé deux ateliers pratiques sur une mise en situation en matière de relations publiques.

La troisième partie de cette activité pédagogique et qui compte pour 5 points consiste à commenter sur la question suivante :

Comment procéder et avec quels outils pour générer des données primaires afin d’établir un diagnostic en relations publiques?

Le commentaire doit être publié au plus tard le 24 février 16 h.  Un membre de chaque équipe publie le commentaire et s’assure d’inscrire le numéro de l’équipe afin que les points soient attribués à tous les membres de son équipe. Votre commentaire doit faire de 3 à 4 paragraphes.

Au grand plaisir de vous lire.

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21 commentaires

  1. audrey canuel

     /  19 février 2019

    Équipe K (juliette ferland, rose lemay, audrey canuel, guillaume dumontier)

    Premièrement, les données primaires sont recueillies à l’aide d’information non-existantes, c’est-à-dire que ce sont des informations que nous devons aller chercher nous-même. Il existe plusieurs façon de recueillir ces données, mais les méthodes les plus utilisées sont les sondages et les focus group. On peut aussi préciser les réponses obtenues dans les deux méthodes précédentes à l’aide d’une entrevue personnelle.

    Les sondages évoquent une idée d’exploration. Ils servent à se faire une idée plus globale de l’opinion publique, sans être précis à 100%. En ciblant un groupe particulier, nous tentons de récolter de l’information qui pourrait être utiles à l’amélioration d’un service/produit par exemple. Il existe plusieurs types de question de sondage: les questions fermées servent à savoir à qui on s’adresse et les questions ouvertes servent à connaître l’opinion de ceux à qui on s’adresse. Le sondage est une méthode simple et efficace qui génère facilement les données primaires.

    Ensuite, pour récolter des données primaires, le focus group est une bonne alternative. Le focus group est méthode qualitative qui permet de recueillir, sur un sujet précis, les opinions des participants. Il repose sur les échanges entre le participant et l’animateur, dont ce dernier doit gagner avant tout la confiance de ce premier. L’entretien de groupe, communément appelé focus group, est surtout utilisé pour en apprendre davantage sur des groupes précis de même que de dégager une compréhension d’un phénomène d’intérêt.

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  2. Marc-Antoine Nunez

     /  19 février 2019

    ÉQUIPE I :
    Marc-Antoine Nunez-Pelletier
    Roseline Siaud
    Max-Olivier Audet
    Catherine Lagacé
    Clotilde Ferron-Gagnon

    Tout d’abord, la phase de recherche en amont est primordiale. Elle permet de récolter des éléments factuels et vérifiables qui permettront éventuellement de poser le diagnostic communicationnel adéquat. Les données primaires constituent l’essence même de cette étape préalable. Ces données sont récoltées par le chercheur ou la chercheuse. Elles émanent directement de l’échantillon enquêté. Toutefois, certaines règles doivent être respectées afin de s’assurer du consentement des participants. À l’aide de lettres de consentement dûment remplies, leur intégrité se voit ainsi clairement protégée. L’anonymat des participants encouragera ceux-ci à répondre de manière authentique, sans filtre. De cette façon, le diagnostic en relations publiques sera le reflet véritable de la situation.

    Il existe plusieurs méthodes et outils pour collecter ces données primaires. On retrouve tout d’abord, le fameux sondage. En recourant à des questions, cet instrument de mesure permettra de recueillir des informations représentatives d’une population visée. Le sondage étant de nature très flexible, il pourra fournir autant des informations qualitatives ou quantitatives. Il peut éclairer une organisation sur la satisfaction de sa clientèle tout en discernant mieux ses besoins et ses attentes. L’échantillon sera à la base d’un programme de communication, et par le fait même d’un diagnostic en relations publiques. Un autre outil essentiel à l’élaboration d’un bon diagnostic en relations publiques est l’audit de communication. Ce dernier permet d’analyser l’ensemble des caractéristiques du contexte d’une organisation. Ce regard externe permettra de faire état de la situation, en tenant compte des acteurs et des parties prenantes, mais également du positionnement de l’organisation dans la sphère médiatique. Cette phase est un réel baromètre de la réussite ou de l’échec des actions de relations publiques. Finalement, les entretiens de groupe (focus group) représentent une autre méthode appropriée pour recueillir des données primaires. Cette fois-ci, elles seront toutefois de nature qualitative. Les focus group reposent essentiellement sur les échanges entre les participants (8 à 12 personnes). Leurs opinions seront recueillies et l’organisation pourra éventuellement en tirer des tendances. Ces outils ne sont qu’un fragment des méthodes accessibles pour un chercheur ou une chercheuse afin d’établir un diagnostic en relations publiques.

    Les outils mentionnés précédemment s’inscrivent dans un processus de recherche bien précis. Il faut tout d’abord déterminer les faits saillants de l’entreprise. Ensuite, le contexte et les enjeux doivent être analysés afin d’obtenir une vue d’ensemble de la situation. Les acteurs en présence doivent aussi être pris en considération, car ils ont un impact sur les décisions de l’organisation. Les outils permettant de recueillir des données primaires entrent en compte lorsque vient le temps de déterminer quels sont les moyens disponibles pour l’entreprise en matière de communication. Il faut finalement établir quel est le positionnement de l’entreprise au sein de la population, en identifiant notamment ses forces, ses faiblesses et ses risques potentiels et actuels. Finalement, c’est à ce moment que le professionnel en relations publiques pourra poser un diagnostic complet. À ce point, il possédera les informations nécessaires, issues des données primaires, afin de proposer des recommandations adéquates.

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  3. Marc-Antoine Nunez

     /  19 février 2019

    ÉQUIPE I :
    Marc-Antoine Nunez-Pelletier
    Roseline Siaud
    Catherine Lagacé
    Clotilde Ferron-Gagnon
    Max-olivier Audet

    Tout d’abord, la phase de recherche en amont est primordiale. Elle permet de récolter des éléments factuels et vérifiables qui permettront éventuellement de poser le diagnostic communicationnel adéquat. Les données primaires constituent l’essence même de cette étape préalable. Ces données sont récoltées par le chercheur ou la chercheuse. Elles émanent directement de l’échantillon enquêté. Toutefois, certaines règles doivent être respectées afin de s’assurer du consentement des participants. À l’aide de lettres de consentement dûment remplies, leur intégrité se voit ainsi clairement protégée. L’anonymat des participants encouragera ceux-ci à répondre de manière authentique, sans filtre. De cette façon, le diagnostic en relations publiques sera le reflet véritable de la situation.

    Il existe plusieurs méthodes et outils pour collecter ces données primaires. On retrouve tout d’abord, le fameux sondage. En recourant à des questions, cet instrument de mesure permettra de recueillir des informations représentatives d’une population visée. Le sondage étant de nature très flexible, il pourra fournir autant des informations qualitatives ou quantitatives. Il peut éclairer une organisation sur la satisfaction de sa clientèle tout en discernant mieux ses besoins et ses attentes. L’échantillon sera à la base d’un programme de communication, et par le fait même d’un diagnostic en relations publiques. Un autre outil essentiel à l’élaboration d’un bon diagnostic en relations publiques est l’audit de communication. Ce dernier permet d’analyser l’ensemble des caractéristiques du contexte d’une organisation. Ce regard externe permettra de faire état de la situation, en tenant compte des acteurs et des parties prenantes, mais également du positionnement de l’organisation dans la sphère médiatique. Cette phase est un réel baromètre de la réussite ou de l’échec des actions de relations publiques. Finalement, les entretiens de groupe (focus group) représentent une autre méthode appropriée pour recueillir des données primaires. Cette fois-ci, elles seront toutefois de nature qualitative. Les focus group reposent essentiellement sur les échanges entre les participants (8 à 12 personnes). Leurs opinions seront recueillies et l’organisation pourra éventuellement en tirer des tendances. Ces outils ne sont qu’un fragment des méthodes accessibles pour un chercheur ou une chercheuse afin d’établir un diagnostic en relations publiques.

    Les outils mentionnés précédemment s’inscrivent dans un processus de recherche bien précis. Il faut tout d’abord déterminer les faits saillants de l’entreprise. Ensuite, le contexte et les enjeux doivent être analysés afin d’obtenir une vue d’ensemble de la situation. Les acteurs en présence doivent aussi être pris en considération, car ils ont un impact sur les décisions de l’organisation. Les outils permettant de recueillir des données primaires entrent en compte lorsque vient le temps de déterminer quels sont les moyens disponibles pour l’entreprise en matière de communication. Il faut finalement établir quel est le positionnement de l’entreprise au sein de la population, en identifiant notamment ses forces, ses faiblesses et ses risques potentiels et actuels. Finalement, c’est à ce moment que le professionnel en relations publiques pourra poser un diagnostic complet. À ce point, il possédera les informations nécessaires, issues des données primaires, afin de proposer des recommandations adéquates.

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  4. ÉQUIPE I :
    Marc-Antoine Nunez-Pelletier
    Roseline Siaud
    Catherine Lagacé
    Clotilde Ferron-Gagnon
    Max-olivier Audet

    Tout d’abord, la phase de recherche en amont est primordiale. Elle permet de récolter des éléments factuels et vérifiables qui permettront éventuellement de poser le diagnostic communicationnel adéquat. Les données primaires constituent l’essence même de cette étape préalable. Ces données sont récoltées par le chercheur ou la chercheuse. Elles émanent directement de l’échantillon enquêté. Toutefois, certaines règles doivent être respectées afin de s’assurer du consentement des participants. À l’aide de lettres de consentement dûment remplies, leur intégrité se voit ainsi clairement protégée. L’anonymat des participants encouragera ceux-ci à répondre de manière authentique, sans filtre. De cette façon, le diagnostic en relations publiques sera le reflet véritable de la situation.

    Il existe plusieurs méthodes et outils pour collecter ces données primaires. On retrouve tout d’abord, le fameux sondage. En recourant à des questions, cet instrument de mesure permettra de recueillir des informations représentatives d’une population visée. Le sondage étant de nature très flexible, il pourra fournir autant des informations qualitatives ou quantitatives. Il peut éclairer une organisation sur la satisfaction de sa clientèle tout en discernant mieux ses besoins et ses attentes. L’échantillon sera à la base d’un programme de communication, et par le fait même d’un diagnostic en relations publiques. Un autre outil essentiel à l’élaboration d’un bon diagnostic en relations publiques est l’audit de communication. Ce dernier permet d’analyser l’ensemble des caractéristiques du contexte d’une organisation. Ce regard externe permettra de faire état de la situation, en tenant compte des acteurs et des parties prenantes, mais également du positionnement de l’organisation dans la sphère médiatique. Cette phase est un réel baromètre de la réussite ou de l’échec des actions de relations publiques. Finalement, les entretiens de groupe (focus group) représentent une autre méthode appropriée pour recueillir des données primaires. Cette fois-ci, elles seront toutefois de nature qualitative. Les focus group reposent essentiellement sur les échanges entre les participants (8 à 12 personnes). Leurs opinions seront recueillies et l’organisation pourra éventuellement en tirer des tendances. Ces outils ne sont qu’un fragment des méthodes accessibles pour un chercheur ou une chercheuse afin d’établir un diagnostic en relations publiques.

    Les outils mentionnés précédemment s’inscrivent dans un processus de recherche bien précis. Il faut tout d’abord déterminer les faits saillants de l’entreprise. Ensuite, le contexte et les enjeux doivent être analysés afin d’obtenir une vue d’ensemble de la situation. Les acteurs en présence doivent aussi être pris en considération, car ils ont un impact sur les décisions de l’organisation. Les outils permettant de recueillir des données primaires entrent en compte lorsque vient le temps de déterminer quels sont les moyens disponibles pour l’entreprise en matière de communication. Il faut finalement établir quel est le positionnement de l’entreprise au sein de la population, en identifiant notamment ses forces, ses faiblesses et ses risques potentiels et actuels. Finalement, c’est à ce moment que le professionnel en relations publiques pourra poser un diagnostic complet. À ce point, il possédera les informations nécessaires, issues des données primaires, afin de proposer des recommandations adéquates.

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  5. Roseline Siaud

     /  19 février 2019

    Équipe I:
    Roseline Siaud
    Marc-Antoine Nunez-Pelletier
    Clotilde Ferron-Gagnon
    Max-Olivier Audet
    Catherine Lagacé

    Tout d’abord, la phase de recherche en amont est primordiale. Elle permet de récolter des éléments factuels et vérifiables qui permettront éventuellement de poser le diagnostic communicationnel adéquat. Les données primaires constituent l’essence même de cette étape préalable. Ces données sont récoltées par le chercheur ou la chercheuse. Elles émanent directement de l’échantillon enquêté. Toutefois, certaines règles doivent être respectées afin de s’assurer du consentement des participants. À l’aide de lettres de consentement dûment remplies, leur intégrité se voit ainsi clairement protégée. L’anonymat des participants encouragera ceux-ci à répondre de manière authentique, sans filtre. De cette façon, le diagnostic en relations publiques sera le reflet véritable de la situation.

    Il existe plusieurs méthodes et outils pour collecter ces données primaires. On retrouve tout d’abord, le fameux sondage. En recourant à des questions, cet instrument de mesure permettra de recueillir des informations représentatives d’une population visée. Le sondage étant de nature très flexible, il pourra fournir autant des informations qualitatives ou quantitatives. Il peut éclairer une organisation sur la satisfaction de sa clientèle tout en discernant mieux ses besoins et ses attentes. L’échantillon sera à la base d’un programme de communication, et par le fait même d’un diagnostic en relations publiques. Un autre outil essentiel à l’élaboration d’un bon diagnostic en relations publiques est l’audit de communication. Ce dernier permet d’analyser l’ensemble des caractéristiques du contexte d’une organisation. Ce regard externe permettra de faire état de la situation, en tenant compte des acteurs et des parties prenantes, mais également du positionnement de l’organisation dans la sphère médiatique. Cette phase est un réel baromètre de la réussite ou de l’échec des actions de relations publiques. Finalement, les entretiens de groupe (focus group) représentent une autre méthode appropriée pour recueillir des données primaires. Cette fois-ci, elles seront toutefois de nature qualitative. Les focus group reposent essentiellement sur les échanges entre les participants (8 à 12 personnes). Leurs opinions seront recueillies et l’organisation pourra éventuellement en tirer des tendances. Ces outils ne sont qu’un fragment des méthodes accessibles pour un chercheur ou une chercheuse afin d’établir un diagnostic en relations publiques.

    Les outils mentionnés précédemment s’inscrivent dans un processus de recherche bien précis. Il faut tout d’abord déterminer les faits saillants de l’entreprise. Ensuite, le contexte et les enjeux doivent être analysés afin d’obtenir une vue d’ensemble de la situation. Les acteurs en présence doivent aussi être pris en considération, car ils ont un impact sur les décisions de l’organisation. Les outils permettant de recueillir des données primaires entrent en compte lorsque vient le temps de déterminer quels sont les moyens disponibles pour l’entreprise en matière de communication. Il faut finalement établir quel est le positionnement de l’entreprise au sein de la population, en identifiant notamment ses forces, ses faiblesses et ses risques potentiels et actuels. Finalement, c’est à ce moment que le professionnel en relations publiques pourra poser un diagnostic complet. À ce point, il possédera les informations nécessaires, issues des données primaires, afin de proposer des recommandations adéquates.

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  6. Alexandra Beauregard-Rodriguez

     /  19 février 2019

    Équipe J (Alexandra Beauregard-Rodriguez, Audrey Blanchette, Florence Gauthier, Marianne Héroux et Raphaëlle Perrot)

    Tout d’abord, pour établir un diagnostic en relations publiques, il faut effectuer la recherche de données secondaires. Il est important d’établir un profil de l’entreprise pour laquelle le relationniste travaille. De cette manière, il sera possible de prévenir les risques potentiels puisqu’on aura accès aux forces et aux faiblesses de l’entreprise.

    Ensuite, l’évaluation de l’opinion des parties prenantes (public, partenaires, concurrents) est primordiale dans le processus de recherche sur l’organisation. Cela permet d’avoir une vision extérieure de l’organisation. Aussi, lorsqu’un relationniste établit un diagnostic, il doit prendre en compte les enjeux, les opportunités et les menaces possibles que peut rencontrer une entreprise. Cela permet de se préparer à différents scénarios auxquels l’organisation peut faire face.

    Pour arriver à faire un bon diagnostic à l’aide des données primaires, il faut utiliser les bons outils. Pour créer les données nécessaires à l’évaluation, on peut utiliser différentes méthodes de collectes d’informations. Le sondage est un des moyens le plus efficaces pour y arriver puisqu’il existe plusieurs variantes qui permettent d’atteindre différents publics. SurveyMonkey et Google Form sont quelques exemples de logiciels qui permettent de faire des sondages. Les entrevues téléphoniques, face à face et de groupe sont d’une grande importance pour pouvoir récolter des données rapidement.

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  7. maude nolet

     /  21 février 2019

    ÉQUIPE F (Maude Nolet, Valérie Piché, Èvelyne Champagne, Maxime LeBel, Jessica Therance)

    1. Sondage
    Pour recueillir des données primaires, le sondage permet de soutirer les informations exactes désirées par l’entreprise auprès des publics ciblés. En effet, les réponses obtenues suite aux questions posées dans le sondage permettent à l’organisation d’enligner leurs actions futures. Il existe différentes structures de sondages qui permettent de spécifier les informations recueillies. Par exemple, lorsque l’on s’intéresse à la satisfaction du public, le sondage organisationnel est de mise. Dans un autre contexte, si l’on cherche à connaître les besoins et les attentes d’une clientèle, il est préférable d’opter pour un sondage commercial.

    2. Focus group
    Si l’on souhaite obtenir des réponses plus développées et précises, le focus group est de mise. Ce dernier permet de rassembler un public ciblé par des critères spécifiques. Ces individus ont comme rôle de partager leurs opinions et leurs idées sur un sujet présélectionné par l’entreprise. Grâce à cet échantillon, l’entreprise obtiendra des résultats qui lui permettront de se faire une idée de l’opinion général de son public cible.

    3. Observation sur le terrain/expérimentation
    De plus, afin de récolter des informations sur un public cible précis, il est possible de faire des observations et/ou expérimentations. Observer une personne dans son mode de vie permet de cerner ses habitudes et ses façons d’être sans qu’elle ressente une certaine pression, comme elle pourrait sentir dans un focus group ou dans une entrevue. Les expérimentations permettent d’analyser un comportement précis de la part du public cible. Il s’agit de les mettre dans une situation X et observer leur réaction.

    4. Entrevue
    L’entrevue est un moyen très personnel afin de recueillir des données primaires. Celle-ci permet de poser des questions prédéfinies face à face avec la personne d’intérêt pour l’entreprise. Ce moyen permet d’être plus précis que le sondage puisqu’il peut y avoir des questions qui émergent des réponses de la personne interviewer. Il s’agit aussi d’un moyen plus efficace pour poser des questions ouvertes. De plus, l’entrevue permet de voir le langage corporel de la personne interviewé et d’analyser celui-ci. Ce langage corporel devient donc un sous-message à chaque réponse donnée par le répondant.

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  8. Alexandra Beauregard-Rodriguez

     /  22 février 2019

    Équipe J (Alexandra Beauregard-Rodriguez, Audrey Blanchette, Florence Gauthier, Marianne Héroux et Raphaëlle Perrot)
    Tout d’abord, pour établir un diagnostic en relations publiques, il faut effectuer la recherche de données secondaires. Il est important d’établir un profil de l’entreprise pour laquelle le relationniste travaille. De cette manière, il sera possible de prévenir les risques potentiels puisqu’on aura accès aux forces et aux faiblesses de l’entreprise.
    Ensuite, l’évaluation de l’opinion des parties prenantes (public, partenaires, concurrents) est primordiale dans le processus de recherche sur l’organisation. Cela permet d’avoir une vision extérieure de l’organisation. Aussi, lorsqu’un relationniste établit un diagnostic, il doit prendre en compte les enjeux, les opportunités et les menaces possibles que peut rencontrer une entreprise. Cela permet de se préparer à différents scénarios auxquels l’organisation peut faire face.
    Pour arriver à faire un bon diagnostic à l’aide des données primaires, il faut utiliser les bons outils. Pour créer les données nécessaires à l’évaluation, on peut utiliser différentes méthodes de collectes d’informations. Le sondage est un des moyens le plus efficaces pour y arriver puisqu’il existe plusieurs variantes qui permettent d’atteindre différents publics. SurveyMonkey et Google Form sont quelques exemples de logiciels qui permettent de faire des sondages. Les entrevues téléphoniques, face à face et de groupe sont d’une grande importance pour pouvoir récolter des données rapidement.

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  9. Sabrina Sévigny

     /  22 février 2019

    ÉQUIPE D (Laurianne Francoeur, Mylène Lemieux, Sabrina Sévigny et Marianne Simard):

    En relations publiques, le diagnostic de la situation de l’entreprise est crucial, car il permet aux relationnistes de bien comprendre et planifier le processus communicationnel qu’ils doivent mettre en place dans le but de régler le problème du client. Pour établir un diagnostic, il faut passer par plusieurs étapes, dont l’analyse du contexte organisationnel, du positionnement, des différents acteurs, etc. Pour réaliser leur recherche, de nombreux relationnistes ont recours aux données primaires, qui sont un type de donnée formelle. Les données primaires, contrairement aux données secondaires, sont des informations originales, recueillies par l’organisation ou l’entreprise dans le cadre d’un projet précis. Il existe différents moyens de récolter ce genre de donnée, certains étant plus populaires que d’autres: quelques outils présentent une méthode quantitative, alors que d’autres mettent en valeur des résultats de type qualitatif. Voici donc quelques exemples d’outils qui permettent de générer des données primaires lorsque l’on cherche à formuler le diagnostic d’une organisation ou d’une entreprise.

    Premièrement, le sondage est un outil d’exploration très utile pour amasser des données primaires, quantitatives et qualitatives, relatives à un questionnement ou à une problématique de départ dans une organisation. Cet outil est caractérisé par le recours à des questions. Lorsqu’un sondage est effectué, plusieurs informations données par un échantillon représentatif de la cible sont recueillies, afin d’analyser et de représenter le mieux possible la composition de celle-ci. Il est primordial que les questions soient pertinentes, neutres et claires, afin d’assurer la bonne compréhension des répondants. Les questions peuvent être ouvertes ou fermées, le tout dépendant de la précision des données que l’on veut recueillir.

    Deuxièmement, un second outil grandement utilisé pour compiler des données primaires est l’entretien de groupe. Celui-ci, habituellement conduit par un schéma d’entretien, est une méthode qualitative qui permet non seulement d’obtenir des informations sur un public cible en particulier, mais également de connaître l’opinion des gens autour de la table. En effet, il s’agit d’une rencontre, guidée par un animateur choisi au préalable, qui réunit plusieurs acteurs afin de leur poser une panoplie de questions sur des sujets précis. Des questions ouvertes sont majoritairement posées afin d’enflammer davantage la discussion et les échanges entre les participants.

    Finalement, quelques autres méthodes sont aussi pertinentes pour recueillir des données primaires utiles à la recherche, comme l’expérimentation et l’observation. L’expérimentation se fait lorsqu’il y a manipulation d’un élément précis d’une situation dans le but de voir comment cette action influence le reste de la situation et les publics impliqués: c’est un test de cause à effet. Pour l’observation, les relationnistes l’utilisent lorsqu’ils cherchent à voir la réalité, et ce, en observant des sujets dans leur milieu naturel. Toutes ces méthodes de recherche de données primaires servent à mieux comprendre les publics visés. De cette façon, il est possible pour les relationnistes d’améliorer leurs stratégies et de mieux cibler leurs communications.

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    • EQUIPE E (EMILIE MARTEL, JEANNE BEAUCHAMP, CHARLES-ETIENNE GENDRON, LAURIANNE ST-HILAIRE, MELODY BEAUDIN)

      Les données primaires permettent d’obtenir des informations pertinentes et précises, en lien avec la recherche effectuée. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Les trois critères sur lesquels repose la validité d’un questionnaire sont la précision, la pertinence et la neutralité.

      Les données primaires, contrairement aux données secondaires, ne constituent pas des informations qui sont déjà disponibles. Elles sont issues de nouvelles recherches, et générèrent donc de nouvelles données. Elles permettent d’obtenir des informations plus pertinentes et précises, puisqu’elles sont directement liées à notre étude. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Pour affiner les résultats de la recherche, on peut aussi avoir recours à des audits de communication, sondages, entretiens personnels, entretiens en groupe et l’analyse de contenu. Ces outils permettent une cueillette de données qualitative, plutôt que quantitative.

      La collecte de donnée primaire s’inscrit aussi dans l’environnement dans lequel elle est faite. Il faut tenir compte de cet environnement avant d’effectuer la collecte pour s’assurer que notre échantillon correspond à celui ciblé. Il faut aussi tenir compte de l’environnement après afin de poser un bon diagnostic selon nos résultats obtenus.

      Répondre
  10. Emilie Martel

     /  23 février 2019

    ÉQUIPE E (EMILIE MARTEL, JEANNE BEAUCHAMP, LAURIANNE ST-HILAIRE, CHARLES-ÉTIENNE GENDRON, MELODY BEAUDIN)

    Les données primaires permettent d’obtenir des informations pertinentes et précises, en lien avec la recherche effectuée. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Les trois critères sur lesquels repose la validité d’un questionnaire sont la précision, la pertinence et la neutralité.

    Les données primaires, contrairement aux données secondaires, ne constituent pas des informations qui sont déjà disponibles. Elles sont issues de nouvelles recherches, et générèrent donc de nouvelles données. Elles permettent d’obtenir des informations plus pertinentes et précises, puisqu’elles sont directement liées à notre étude. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Pour affiner les résultats de la recherche, on peut aussi avoir recours à des audits de communication, sondages, entretiens personnels, entretiens en groupe et l’analyse de contenu. Ces outils permettent une cueillette de données qualitative, plutôt que quantitative.

    La collecte de donnée primaire s’inscrit aussi dans l’environnement dans lequel elle est faite. Il faut tenir compte de cet environnement avant d’effectuer la collecte pour s’assurer que notre échantillon correspond à celui ciblé. Il faut aussi tenir compte de l’environnement après afin de poser un bon diagnostic selon nos résultats obtenus.

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  11. Émilie Martel

     /  23 février 2019

    ÉQUIPE E (EMILIE MARTEL, JEANNE BEAUCHAMP, LAURIANNE ST-HILAIRE, CHARLES-ETIENNE GENDRON, MELODY BEAUDIN)

    Les données primaires permettent d’obtenir des informations pertinentes et précises, en lien avec la recherche effectuée. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Les trois critères sur lesquels repose la validité d’un questionnaire sont la précision, la pertinence et la neutralité.

    Les données primaires, contrairement aux données secondaires, ne constituent pas des informations qui sont déjà disponibles. Elles sont issues de nouvelles recherches, et générèrent donc de nouvelles données. Elles permettent d’obtenir des informations plus pertinentes et précises, puisqu’elles sont directement liées à notre étude. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Pour affiner les résultats de la recherche, on peut aussi avoir recours à des audits de communication, sondages, entretiens personnels, entretiens en groupe et l’analyse de contenu. Ces outils permettent une cueillette de données qualitative, plutôt que quantitative.

    La collecte de donnée primaire s’inscrit aussi dans l’environnement dans lequel elle est faite. Il faut tenir compte de cet environnement avant d’effectuer la collecte pour s’assurer que notre échantillon correspond à celui ciblé. Il faut aussi tenir compte de l’environnement après afin de poser un bon diagnostic selon nos résultats obtenus.

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  12. Émilie Martel

     /  23 février 2019

    EQUIPE E (EMILIE MARTEL, JEANNE BEAUCHAMP, CHARLES-ETIENNE GENDRON, LAURIANNE ST-HILAIRE, MELODY BEAUDIN)

    Les données primaires permettent d’obtenir des informations pertinentes et précises, en lien avec la recherche effectuée. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Les trois critères sur lesquels repose la validité d’un questionnaire sont la précision, la pertinence et la neutralité.

    Les données primaires, contrairement aux données secondaires, ne constituent pas des informations qui sont déjà disponibles. Elles sont issues de nouvelles recherches, et générèrent donc de nouvelles données. Elles permettent d’obtenir des informations plus pertinentes et précises, puisqu’elles sont directement liées à notre étude. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Pour affiner les résultats de la recherche, on peut aussi avoir recours à des audits de communication, sondages, entretiens personnels, entretiens en groupe et l’analyse de contenu. Ces outils permettent une cueillette de données qualitative, plutôt que quantitative.

    La collecte de donnée primaire s’inscrit aussi dans l’environnement dans lequel elle est faite. Il faut tenir compte de cet environnement avant d’effectuer la collecte pour s’assurer que notre échantillon correspond à celui ciblé. Il faut aussi tenir compte de l’environnement après afin de poser un bon diagnostic selon nos résultats obtenus.

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  13. Emilie Martel

     /  23 février 2019

    EQUIPE E (EMILIE MARTEL, JEANNE BEAUCHAMP, CHARLES-ETIENNE GENDRON, LAURIANNE ST-HILAIRE, MELODY BEAUDIN)

    Les données primaires permettent d’obtenir des informations pertinentes et précises, en lien avec la recherche effectuée. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Les trois critères sur lesquels repose la validité d’un questionnaire sont la précision, la pertinence et la neutralité.

    Les données primaires, contrairement aux données secondaires, ne constituent pas des informations qui sont déjà disponibles. Elles sont issues de nouvelles recherches, et générèrent donc de nouvelles données. Elles permettent d’obtenir des informations plus pertinentes et précises, puisqu’elles sont directement liées à notre étude. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Pour affiner les résultats de la recherche, on peut aussi avoir recours à des audits de communication, sondages, entretiens personnels, entretiens en groupe et l’analyse de contenu. Ces outils permettent une cueillette de données qualitative, plutôt que quantitative.

    La collecte de donnée primaire s’inscrit aussi dans l’environnement dans lequel elle est faite. Il faut tenir compte de cet environnement avant d’effectuer la collecte pour s’assurer que notre échantillon correspond à celui ciblé. Il faut aussi tenir compte de l’environnement après afin de poser un bon diagnostic selon nos résultats obtenus.

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  14. Émilie Martel

     /  23 février 2019

    Les données primaires permettent d’obtenir des informations pertinentes et précises, en lien avec la recherche effectuée. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Les trois critères sur lesquels repose la validité d’un questionnaire sont la précision, la pertinence et la neutralité.

    Les données primaires, contrairement aux données secondaires, ne constituent pas des informations qui sont déjà disponibles. Elles sont issues de nouvelles recherches, et générèrent donc de nouvelles données. Elles permettent d’obtenir des informations plus pertinentes et précises, puisqu’elles sont directement liées à notre étude. Elles peuvent être recueillies par le biais d’observations, d’enquêtes, d’expérimentations, d’entrevues et de groupes de discussion. Pour affiner les résultats de la recherche, on peut aussi avoir recours à des audits de communication, sondages, entretiens personnels, entretiens en groupe et l’analyse de contenu. Ces outils permettent une cueillette de données qualitative, plutôt que quantitative.

    La collecte de donnée primaire s’inscrit aussi dans l’environnement dans lequel elle est faite. Il faut tenir compte de cet environnement avant d’effectuer la collecte pour s’assurer que notre échantillon correspond à celui ciblé. Il faut aussi tenir compte de l’environnement après afin de poser un bon diagnostic selon nos résultats obtenus.

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  15. Catherine

     /  24 février 2019

    Équipe G (Catherine Rousseau, Justine Boucher, Emilie Mikolajczak)

    Les données primaires sont des données que l’organisation doit chercher pour réaliser la recherche formative et la recherche évaluative le plus précisément possible sur une problématique ou une préoccupation définie. Nous avons pris connaissance de trois outils afin de recueillir ces données : le sondage, l’entretien de groupe et l’entretien individuel. Pour que ces outils soient pertinents, le chercheur doit commencer par définir le problème et se questionner sur les informations manquantes. Il doit aussi être capable de rejoindre l’échantillon. Ensuite, plusieurs éléments différencient les trois outils.

    1. Le sondage pose des questions fermées et ouvertes à un échantillon déterminé par le chercheur dans le but de comprendre des faits. Avant d’entrer en contact avec l’échantillon, une vérification du questionnaire, soit un pré-test, permet de vérifier la qualité, la simplicité du vocabulaire et l’utilité des questions. Le chercheur doit aussi penser à la façon qu’il va traiter les données après avoir récolter les réponses qui doivent être honnêtes pour éviter que les résultats soient faux ou contradictoires.

    2. L’entretien de groupe est un groupe de personnes échangeant sur un sujet donné. Il permet de mieux satisfaire les exigences du public en cernant davantage leurs attentes ou les tendances. Les données primaires viennent de la part des personnes qui partagent leur vision, leurs opinions et leurs attentes. Le chercheur doit élaborer, avec soin, une grille d’entretien qui contient la problématique, les objectifs et les sujets à aborder. Afin de fluidifier la conversation, il est important d’attacher une attention particulière à l’animation de la discussion. Un rapport écrit présente les analyses et les résultats.

    3. L’entretien individuel est une entrevue réalisée qu’avec une seule personne. Il permet d’obtenir des informations d’un individu tandis que l’entretien de groupe fait ressortir les différences entre les visions, les opinions et les attentes du groupe. Les étapes de préparation reviennent au même que pour l’entretien de groupe. Toutefois, contrairement à ce dernier, l’entretien individuel se concentre sur une seule personne.

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  16. Jasmine

     /  24 février 2019

    Équipe C (Gabrielle Cassagnes-Lemoine, Jasmine Corbeil-Létourneau, William Jutras et Juliane Moreau)

    Le diagnostic d’une situation de relations publiques se fait en plusieurs étapes. La première étape de l’audit de relations publiques est de comprendre le contexte dans lequel baigne l’organisation. Cela signifie qu’il faut connaître les enjeux d’affaires et de communication en plus de s’intéresser à la place que ceux-ci occupent dans l’organisation La deuxième étape est de s’informer sur les différentes parties prenantes de l’entreprise pour savoir qui sont nos alliés et nos concurrents. La troisième étape est d’analyser l’utilisation de leurs moyens et leurs outils de communication, comme leur site web. L’étape finale qui précède les recommandations à l’organisation est d’analyser leurs forces et leurs faiblesses sur le marché pour mieux saisir les menaces qui existent. Toutes ces étapes peuvent être diagnostiquées à l’aide de données secondaires, par exemple, les rapports sur les ventes de l’organisation ou une revue de presse. Cependant, si aucune des sources de données secondaires internes ou externes est en mesure de répondre à l’enjeu communicationnel, alors l’organisation doit se pencher sur des données primaires. Les données primaires sont des informations à chercher auprès de notre marché cible. La recherche de données primaires est plutôt coûteuse, donc c’est une option qui est recommandée aux entreprises ayant un plus gros budget. Pour générer des données primaires il y a trois outils possibles, soit les groupes de discussion, les sondages et les entretiens individuels.

    Le sondage est un instrument de mesure destiné à recueillir des informations précises sur un enjeu. Les sondages font appel à un échantillonnage dans le but de représenter le mieux possible la population visée. Le sondage mise sur un questionnaire formé de questions ouvertes et fermées qui permettent de recueillir les réponses de nos répondants dans l’optique de les étudier et d’en tirer profit. Cet instrument permet de récolter des informations quantitatives non-observables comme l’emploi du temps. Grâce à l’évolution des technologies, il existe des outils qui facilite la transmission des sondages à leur échantillons. Ces outils sont des modules web qui permettent de générer des sondages. Par exemple, Survey Monkey et Google Forms sont des plateformes gratuites pour créer nos questionnaires. Cependant, les plateformes gratuites n’impliquent pas de confidentialité, ainsi tout le monde peut y avoir accès. Pour que le sondage soit le plus efficace possible, quatre exigences doivent être remplies : la disponibilité des informateurs, leur capacité à répondre, la transmission fidèle de l’information et un enregistrement fidèle de l’information. Il est également important de considérer nos enjeux afin de réfléchir à des hypothèses qui seront infirmées ou confirmées par les données recueillies. Les concepts de notre recherche doivent être bien définis puisqu’ils permettront bien orienter nos questions. Lors de l’élaboration de nos questions, il faut s’assurer que le vocabulaire utilisé est compréhensible pour le répondant et qu’il est objectif.

    L’entretien individuel est un autre instrument de mesure destiné à recueillir des données primaires. Pour ce type d’outil, le questionnaire est administré par un interviewer en face-à-face ou par téléphone et procure des données qualitatives. L’entretien par téléphone est le mode le plus populaire étant donné son coût stable et la qualité de couverture qu’il permet. En effet, avec les entretiens par téléphone, les personnes en milieu isolé ont les mêmes chances d’être questionnés que ceux qui habitent les métropoles ou les banlieues. Cela se fait en partie grâce à la génération aléatoire des numéros de téléphones. Les entretiens téléphoniques permettent également un meilleur contrôle et une meilleure supervision puisqu’ils se font à partir d’une même salle. Par contre, les entretiens téléphoniques limitent le temps d’entrevue à une trentaine de minutes seulement, ce qui restreint la possibilité de réponses élaborées des répondants. Pour ce qui est de l’entretient en face-à-face, cet outil considéré comme la crème des sondages est polyvalent et permet l’élaboration de questions longues. La durée de ce type d’entretien individuel est d’environ une à deux heures. Cependant, les entretiens en face-à-face sont très coûteux et offrent un moins grand contrôle sur le déroulement, étant donné que les interviewers sont répartis sur un grand territoire géographique. La présence de l’interviewers dans les entretiens en face-à-face peut également créer des réponses biaisées, puisque le répondant voudra offrir une meilleure image de lui-même.

    L’entretien de groupe est un instrument qui permet de recueillir des données primaires qualitatives de l’opinion des participants. Il permet d’identifier les positions de groupes d’individus sur différents sujets. Cet outil repose sur des échanges entre les différents participants et permet d’aborder certains thèmes proposés pendant la discussion. Un entretient de groupe comporte habituellement de huit à douze personnes. Les opinions des différents participants sont recueillies par l’organisation pour ensuite être analysés afin d’en ressortir les tendances. Les données recueillies sont précises et utiles afin de comprendre une certaine situation. Par contre, il faut considérer que les opinions des répondants peuvent varier selon leur culture, nationalité etc. Il est donc important de ne pas généraliser et de conduire plusieurs entretiens de groupe différents afin d’avoir davantage de diversité dans les réponses.

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  17. Camille Lavoie

     /  24 février 2019

    ÉQUIPE B : Camille Lavoie, Sandrine Gagné, Alexandra Ouellet

    Les données primaires forment une réelle mine d’or pour les relationnistes souhaitant établir un diagnostic quelconque ! Encore faut-il savoir comment s’y prendre et à l’aide de quels outils les générer… Nous aborderons trois outils fréquemment utilisés et décrirons leurs procédures respectives.

    1 – Sondage
    Une première méthode qui permet de recueillir des données primaires est le sondage. C’est une méthode quantitative qui peut se définir comme un questionnaire portant sur une problématique définie auquel un échantillon du groupe cible répond. Il existe plusieurs types de sondage, adaptés à la situation de recherche. Il se distingue des autres outils parce que ce sont les réponses à ses questions qui correspondent aux données. Le sondage, quand il est réalisé de manière probabiliste et en respectant une méthode scientifique, permet de généraliser au groupe cible complet, les résultats obtenus. C’est un outil qui comporte plusieurs avantages. Tout d’abord, c’est un outil flexible et polyvalent puisqu’il est possible de poser un nombre illimité de questions et d’analyser un nombre élevé de variables avec le même questionnaire. Le principe est aussi très simple pour les répondants, ce qui permet un haut taux de participation. De plus, les nouvelles technologies permettent de rendre plus accessibles les sondages, et ainsi, d’augmenter le taux de réponse. Toutefois, rédiger les différentes questions et choisir les plus pertinentes est un travail qui nécessite du temps. Les questions doivent être neutres, pertinentes et précises. De plus, il est essentiel que les répondants soient disponibles pour répondre aux questions et que la compréhension de celles-ci soit facile. Finalement, il est très important que l’enregistrement et la transmission des réponses soient effectués de manière honnête en respectant fidèlement la pensée des répondants. Le processus de sondage peut se résumer en six étapes :
    1) L’enquêteur sélectionne les concepts et les indicateurs, c’est-à-dire qu’il choisit la problématique et les variables sur lesquelles portera son sondage. Il détermine aussi la taille de l’échantillon nécessaire ainsi que la méthode d’échantillonnage utilisé.
    2) L’enquêteur doit formuler les questions en gardant en tête qu’elles doivent être précises, pertinentes et neutres. Les questions peuvent être ouvertes ou fermées.
    3) L’enquêteur doit par la suite déterminer la mise en forme du questionnaire, c’est-à-dire la longueur, l’ordre des questions et ainsi de suite.
    4) L’enquêteur fait par la suite un prétest pour vérifier la qualité du questionnaire avant de l’envoyer à l’échantillon complet.
    5) L’enquêteur procède au sondage sur l’échantillon.
    6) L’enquêteur analyse les données recueillies et les présente afin de déterminer en quoi celles-ci font avancer sa recherche.

    2 – Entretien (de groupe et individuel)
    Une deuxième méthode fréquemment utilisée pour obtenir des données primaires est l’entretien, aussi appelée entrevue. Celui-ci peut s’effectuer en groupe (à la façon d’un « focus group ») ou encore de manière individuelle. Dans les deux cas, son plus grand avantage est sa polyvalence, c’est-à-dire que l’animateur peut adapter ses questions en fonction des interventions du ou des participant(s). Toutefois, cette méthode peut aussi entraîner l’animateur à introduire des biais de façon plus ou moins intentionnelle. L’entretien se déroule habituellement de la façon suivante :
    1) L’enquêteur doit d’abord énoncer la problématique à approfondir et les objectifs de recherche qui lui sont liés. L’équipe de recherche doit également s’entendre sur la forme de l’entretien (de groupe ou individuel, durée, etc.) ainsi que sur le type et le nombre de personnes à interroger.
    2) L’enquêteur rédige ensuite un questionnaire de base, c’est-à-dire un questionnaire qui dirigera adéquatement l’animateur dans l’angle de recherche souhaité tout en lui accordant une certaine liberté pour s’adapter aux réactions du ou des participant(s).
    3) Il s’agit maintenant du moment de recruter le ou les participants. Ils peuvent être choisis de manière probabiliste ou non probabiliste, selon le cas.
    4) Vient ensuite le temps d’embaucher un animateur qui mènera l’entretien. Il importe de savoir que ce n’est pas tout le monde qui peut occuper un tel poste ! On veillera alors à embaucher quelqu’un ayant déjà mené des entretiens semblables et à le préparer correctement.
    5) C’est finalement l’heure de l’entretien ! Cela aura habituellement lieu dans un endroit tranquille où l’équipe de recherche pourra assister au déroulement de l’entretien (particulièrement dans le cas d’entretiens de groupe) derrière une vitre teintée. L’animateur guidera alors l’entretien comme il le doit et consultera au besoin l’équipe de recherche pour s’assurer que le tout répond à leurs objectifs de recherche initiaux.
    6) Les résultats seront ensuite compilés et analysés par l’équipe de recherche.

    3 – Observation
    Une troisième méthode qui permet l’obtention de données primaires est celle de l’observation. Cette dernière consiste à récolter des informations sur les comportements, les habitudes et les interactions sociales, entre autres, des individus dans leur milieu « naturel », c’est-à-dire sans que l’enquêteur interagisse avec les sujets de recherche. En effet, l’observation est principalement utilisée lorsque l’entrevue et le sondage ne peuvent fournir les informations nécessaires à la recherche. Un exemple concret serait l’observation des chiens face à un nouveau type de nourriture sèche ; il est impossible de les interviewer puisqu’ils ne parlent pas! L’observation vient alors fournir certaines données primaires qualitatives qui aident à la recherche. Un des avantages de cette méthode est qu’elle diminue en partie le risque de biais, puisque les sujets de recherche – ceux qui sont observés – ne le savent pas et donc sont moins enclins à agir de façon biaisée. De plus, l’observation permet réellement de considérer le contexte global qui entoure une situation, ce qui rend les résultats plus fiables. Par contre, cette méthode de recherche pour obtenir des données primaires peut être très exigeante pour l’enquêteur puisque celui-ci doit s’assurer de tout observer et surtout de tout noter. Il est également possible d’énoncer que ce type de recherche peut être plutôt subjectif et donc que les résultats peuvent changer d’un enquêteur à un autre. Concernant la procédure à suivre, l’observation s’effectue en 5 grandes étapes :
    1) L’enquêteur choisit la situation et les comportements à observer, puis il détermine un lieu d’observation (ex.: lieu public, bureau d’entreprise, etc.).
    2) L’enquêteur doit élaborer une grille d’observation incluant tous les indicateurs à observer ainsi qu’une zone pour noter ses observations.
    3) L’enquêteur procède à l’observation en notant tous les détails des comportements dans la grille d’observation.
    4) L’enquêteur analyse les résultats notés en les comparant notamment entre eux.
    5) L’enquêteur présente les faits saillants de sa recherche ainsi que sa compréhension des données primaires obtenues pour faire avancer la recherche.

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  18. Annick Brisbane Agbo

     /  24 février 2019

    Equipe H ( Annick Brisbane Agbo, Justine Bastien, Karianne Pelletier, Fabrice Amevor, Karla Salinas )

    Tout d’abord, en relations publiques, la recherche est un processus qui nous permet d’analyser des informations relatives à une problématique de relations publiques. Ces éléments nous permettront ensuite d’établir un meilleur diagnostic et de donner des recommandations utiles à la prise de décision. On utilise généralement deux sources de données : les données primaires et secondaires. Les données primaires sont les informations que les chercheur(e)s vont recueillir sur un projet de recherche en particulier. Il est donc important d’aller sur le terrain pour générer des informations à l’aide de plusieurs méthodes et outils telles que : l’observation, l’enquête, l’expérimentation, l’entrevue, les groupes de discussion et le sondage. Nous allons nous concentrer sur les outils de mesures les plus utilisés : le sondage et le focus-group.

    Sondage
    Le sondage est un instrument de mesure qui nous permet de recueillir des informations relatives à une problématique de départ. Le sondage a recours à des questions fermées et ouvertes auxquelles doit répondre un échantillon déterminé par le chercheur dans le but de comprendre des faits. L’échantillon doit être représentative de la population visée. Il faut aussi s’assurer de la qualité, la simplicité du vocabulaire et l’utilité des questions par un pré-test avant de faire passer notre sondage à l’échantillon choisi. Il faut éviter d’inclure des biais involontaires dans les questions si l’on veut obtenir les réponses honnêtes et pour éviter que les résultats soient faux ou contradictoires. Le chercheur doit aussi penser à la façon de traiter les données qu’il va obtenir après le sondage.

    L’entretien de groupe ou focus-group
    L’entretien de groupe est une méthode qualitative dans lequel un groupe de personnes échangent sur un sujet précis. Le but est de recueillir l’opinion des participants pour mieux comprendre les motivations et les freins de chacun d’eux et d’ainsi mieux satisfaire leurs attentes. Les entretiens de groupes sont faciles à réaliser et peu coûteux, mais peuvent parfois être teintés de l’influence de certains participants sur les autres. Il est donc important que durant l’entretien, l’animateur sollicite l’opinion de tous les membres du groupe pour faciliter la fluidité de la conversation et pour obtenir des résultats de recherche précis et utiles. Le chercheur doit élaborer au préalable, avec soin, une grille d’entretien qui contient la problématique, les objectifs et les sujets à aborder.

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  19. Caroline Villemure

     /  24 février 2019

    Équipe A: Michelle Collette, Dominik Lapierre, Vanessa Proulx-Laporte et Caroline Villemure

    Dans le but d’établir un diagnostic d’un enjeu en relations publiques, plusieurs outils permettent de récolter des données primaires de manière efficace. Parmi ceux-ci, le sondage permet d’explorer une problématique auprès d’un public cible et de recueillir des informations utiles à l’élaboration d’une stratégie de relations publiques. Pour ce faire, les relationnistes doivent choisir un échantillonnage précis et élaborer un questionnaire. Les questions peuvent être ouvertes ou fermées, mais il est important qu’elles soient précises et neutres. En fonction du public visé, le sondage peut être auto administré (courriel, courrier, distribué en main propre) ou être effectué en entrevue (téléphonique ou en personne). L’un des avantages du sondage est sa flexibilité. Il permet de poser une grande variété de questions afin de récolter des données exactes sur des aspects précis, et cela de façon rapide. Le sondage permet aussi une analyse polyvalente des données afin de fournir des résultats à l’organisation.

    L’entretien de groupe est une méthode qualitative qui permet d’aborder certains aspects d’un enjeu de relations publiques plus en profondeur et de recueillir les perceptions des participants. Pour effectuer celui-ci, il faut élaborer une grille d’entretien au préalable, souvent faite sous le modèle de l’entonnoir; du plus général au plus spécifique, avec des questions ouvertes. Également, il faut s’assurer que l’animateur de la discussion est apte à mener un entretien de qualité. Les groupes de discussion sont habituellement composés de huit à douze personnes. Par la suite, les relationnistes doivent compiler et analyser les échanges entre les participants dans l’optique de rédiger un rapport. L’entretien de groupe permet de mieux comprendre une situation et d’en identifier les tendances et les perceptions, en plus de déterminer les positions d’un groupe par rapport à des enjeux précis.

    D’un autre côté, l’entretien individuel amène une meilleure compréhension d’un enjeu avec l’expérience ou l’expertise d’une personne. Il s’agit d’un moyen efficace lorsque les relationnistes désirent s’entretenir avec des cadres supérieurs ou des clients afin de mieux comprendre un phénomène sur lequel ils s’interrogent. Cela permet aussi de découvrir le point de vue d’un expert par rapport à son domaine d’expertise. Ce type d’entretien est plus souple que l’entretien de groupe et il se rapproche davantage du ton d’une conversation. Lors de l’entretien, il est important d’instaurer un climat de confiance entre l’interviewé et l’intervieweur afin de pouvoir pleinement approfondir différents thèmes préétablis. Après l’entretien, il faut en faire un rapport qui peut prendre la forme d’un verbatim ou d’une synthèse des faits importants. En plus de ces trois outils, il est également possible de générer des données primaires en faisant de l’observation sur le terrain, une enquête ou des expérimentations afin d’accroître la connaissance d’une situation donnée.

    Bref, plusieurs moyens et outils sont à la disposition des relationnistes afin d’établir leur diagnostic. Bien que l’obtention des données primaires demande un grand budget et beaucoup de temps, l’analyse de ces données peut amener des résultats essentiels au diagnostic de la situation. De manière générale, il est recommandé d’utiliser diverses techniques afin d’obtenir des résultats précis. Le relationniste doit donc mettre à profit son esprit critique afin de déterminer quels outils utiliser pour rendre compte d’un enjeu de relations publiques et ainsi, élaborer des stratégies appropriées et efficaces.

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  20. Sami Rahmoun

     /  27 février 2019

    Équipe  » I  »
    – Audreanne Cuerrier
    – Audrey Beauchemin St-Onge
    – Sami Rahmoun

    Équipe I

    Les données primaires représente une génération de nouvelle information qui se découvre lors d’observation par des enquêtes, des entrevues ainsi que des discussions de groupe. Les informations nouvelles émanant de ces différentes techniques sont recueillies puis analysées des chercheurs dans une optique précise, généralement dans le but d’éclaircir une certaine ambiguïté, de résoudre une hypothèse ou encore de répondre à certaines interrogations, entre autres.

    L’une des méthodes pour recueillir ces données est le sondage. Cette méthode a comme but de recueillir des données quantitatives ou qualitatives sur l’opinion du public sondé, considérant à un sujet précis et bien défini. Le sondage est la méthode de recherche la plus utilisé grâce à sa simplicité et son efficacité. Il s’agit d’établir des questions sur la satisfaction, le comportement, l’opinion, la classification des publiques et autres. Cette méthode peut se traduire par deux formes, celle de questionnaires écrits et celle d’entrevue. Tout d’abord, il est important de savoir quels sont les objectifs de sondage, ensuite déterminer l’échantillon du ou des public(s) cible(s), puis élaborer le questionnaire. Le sondage doit être compréhensible, accessible et stratégiquement conçu de manière à bien cerner l’information qui doit en ressortir. L’élaboration du questionnaire se rapporte à la sélection des concepts et des indicateurs, à la formulation de question, au choix de mise en forme et au pré-test du questionnaire. Les questions qui y sont présentes sont de style fermées, offrant des choix de réponses ou de styles ouvertes, qui laissent le lecteur à l’élaboration d’une réponse qui leur est propre. Il s’agit d’une méthode très efficace, mais qui peut également avoir un taux d’invalidité de l’information. Les questions se doivent de rester simple et de ne pas mettre le lecteur dans une position où il serait confus ou tenté de mentir à la question (par gêne ou encore par embarras, par exemple).

    On peut également retrouver comme méthodes de collecte d’informations primaires l’entretien de groupe. On parle ici de discussions de groupes semi-structuré accompagné d’un animateur neutre qui vise à récolter de l’information avec un nombre de questions limités, étant déjà prévue d’avance. Cette technique permet de directement questionner les participants et d’orienter les questions en fonction des réponses données par les participants. Cette méthode est également très efficace, car elle permet d’engendrer des débats d’opinions entre ceux-ci, d’approfondir les questionnements et à comprendre l’opinion des participants. Évidemment, le choix de l’animateur est d’une très grande importance, car c’est lui qui devra faire des interventions si la discussion dégénère. Celui-ci doit être totalement neutre et capable de mettre les participants à l’aise dès le début de la séance. Cette méthode nécessite moins de préparation que la méthode précédente, car le but sera d’initier, pour ensuite entretenir, une discussion naturelle avec le peu d’intervention possible. De plus, l’un des avantage d’effectuer une discussion de groupe est qu’il permet de collecter un volume important d’informations, très rapidement et à moindre coût.

    Finalement, l’observation est une autre méthode efficace qui peut être utilisé pour établir un diagnostic en relations publiques. Il s’agit de répertorier, traiter et analyser le comportement d’individus dans une situation particulière, où le but est de comprendre la réaction et l’interprétation du public cible. Cette méthode se rapporte toutefois à l’interprétation des chercheurs. Il est donc important de traiter l’information de manière la plus objective possible pour un diagnostic efficace.

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