Question aux étudiants du COM3106 gr 20 Hiver 2018

Voici un échange  avec mes étudiants du COM3106 H 2018 groupe 20 à l’ UQAM. Les commentaires de mes étudiants porteront sur la démarche scientifique.

Nous avons vu en classe les différents éléments du processus d’une recherche scientifique, réaliser des ateliers sur des termes comme : intuition, croyance, raisonnement logique, science et objectivité. Également, nous avons égalament réalisé une réflexion en équipe sur le processus d’une recherche scientifique en nous inspirant des notions de BONNEVILLE, L., GROSJEAN, S., LAGACÉ, M., Introduction aux méthodes de recherche en communication, Gaëtan Morin Éditeur, Montréal, 2007.

En bref, les objectifs de la recherche scientifique sont les suivants :

  • Identifier, au moyen d’observations systématiques, les phénomènes qui se posent avec récurrence dans la réalité
  • Décrire les phénomènes observés
  • Expliquer ou démontrer les phénomènes
  • Comprendre, saisir, les phénomènes observés en dégageant, par exemple, le sens de ceux-ci
  • Prédire les phénomènes observés, par conséquent être en mesure, autant que faire se peut, d’anticiper certaines actions ou certains comportements qui sont susceptibles de se poser dans tel ou tel contexte
  • Transformer, voire améliorer certains phénomènes observés, par conséquent agir sur ceux-ci de façon à (re)produire un effet souhaité ou souhaitable.

 

Quant au processus, la figure suivante illustre les différentes étapes :

 

figuredemarchescientifique

 

Question pour mes étudiants du COM3106 groupe 20 H2018

En trois paragraphes, les retombées sociales et scientifiques d’une recherche représentent les impacts que cette dernière aura en fonction des objectifs que se donne le chercheur(e). Pour les deux premiers paragraphes : en quoi les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales contribue à l’avancement des connaissances ou à l’état du savoir dans la discipline des relations publiques et des communications  en s’appuyant sur une démarche scientifique reconnue? Le troisième paragraphe de votre commentaire doit contenir un bref résumé du sujet (et l’hyperlien pour accéder à ce document scientifique) d’un mémoire ou une thèse en relations publiques ou en communication disponibles dans une bibliothèque universitaire. Pour trouver un mémoire ou une thèse, je vous suggère de commencer votre recherche avec Archipel. Vous pourriez également utiliser un article scientifique en communication (ne pas oublier d’y insérer l’hyperlien).

Vous avez jusqu’au 11 février 17 h pour publier votre commentaire dans le présent blogue. Nous ferons un retour en classe sur vos commentaires. Au plaisir de vous lire.

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59 commentaires

  1. Melanie Bourcier

     /  4 février 2018

    Les relations publiques, selon la Société canadienne des relations publiques (SCRP), peuvent se définir comme étant la gestion des relations entre une organisation et ses divers publics par l’entremise de la communication, afin d’atteindre une compréhension mutuelle, de réaliser des objectifs organisationnels et de servir un intérêt public. D’un autre côté, les sciences sociales désignent l’ensemble des disciplines portant sur la société, telles que la sociologie, le droit, l’économie, la démographie, la science politique, l’anthropologie et l’ethnologie. Or, tout public, dans le domaine des relations publiques, est inclus dans l’ensemble de la société et c’est sur cette société que des phénomènes peuvent être observés pour entamer une recherche scientifique. Il va donc sans dire que la recherche scientifique en sciences sociales est directement liée à l’avancement des connaissances ou l’état du savoir dans les relations publiques.

    Par exemple, la recherche peut amener à comprendre des phénomènes sociaux et puis les considérer et améliorer la communication selon les publics de l’organisation. De plus, en pouvant prédire des phénomènes observés durant la recherche, une entreprise pourrait anticiper une certaine forme de communication ou un comportement qui pourrait créer du trouble pour l’image de cette dernière. Finalement, en étudiant bien la démographie et l’économie, par exemple, une entreprise pourrait viser des publics plus susceptibles de bien réagir à leurs messages, produits ou services. Bref, rechercher des phénomènes portant sur la société ne peut qu’améliorer la compréhension de celle-ci et aider l’entreprise à mieux cerner et à mieux servir ses propres publics.

    Le mémoire que j’ai trouvé, écrit par Laura Bergamo, porte sur l’utilisation des systèmes d’alerte socionumériques en situation de crise. Dans une société qui a passé des médias traditionnels à l’utilisation d’Internet, l’auteure examine les apports de ces systèmes ainsi qu’un en particulier : Safety Check. De plus, elle analyse les enjeux et les limites de ces dispositifs tout en recensant les attentes des publics et des organismes de secours dans des situations de gestion de crise dans le but d’avancer les pratiques dans le domaine de la communication.

    http://www.archipel.uqam.ca/id/eprint/10870

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  2. Sébastien Larosa (LARS13069706)

     /  7 février 2018

    Les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales contribuent à l’avancement des connaissances en relations publiques, car ils permettent aux organisations et aux relationnistes de toujours être à l’afflux des nouveautés. En effet, les organisations, pour maintenir une certaine notoriété, doivent maintenir de bonnes relations avec leurs publics. Par contre, nous vivons actuellement dans des sociétés modernes quiévoluent très rapidement, de même que les individus qui les composent. Tout est en constant changement. Par conséquent, les compagnies ont le devoir de toujours rester au courant des dernières tendances ainsi que des derniers développements pour continuer à comprendre leurs publics et à maintenir un certain avantage sur leurs concurrents. La recherche a alors un rôle important à jouer, car elle peut procurer à ces entreprises les données nécessaires pour qu’elles puissent toujours garder cet avantage.

    Ensuite, la recherche permet l’avancement des connaissances, car elle tente toujours d’expliquer des phénomènes récents. En effet, depuis quelques années, on assiste à l’avènement des réseaux sociaux, à l’importance des influenceurs, etc. Tous ces événements amènent un lot de questions, de problèmes, de causes ainsi que de conséquences. Les relationnistes se posent alors énormément de questions par rapport à toutes ces variables et aux effets qu’elles peuvent avoir sur les individus. Les chercheurs en sciences sociales ont, donc la possibilité d’analyser ces phénomènes en profondeur. Ils peuvent proposer des hypothèses ainsi que des stratégies. Grâce à ces divers éléments, ils pourront finalement trouver les connaissances nécessaires pour répondre aux différentes questions et interrogations soulevées par les relationnistes.

    Le texte a été écrit par Mélanie Millette en 2015. Elle est diplômée de l’UQAM et a un doctorat en communication. Sa thèse porte sur l’usage des médias sociaux dans les luttes pour la visibilité. Elle se concentre particulièrement sur le cas des minorités francophones au Canada anglais. En effet, elle tente de montrer que les réseaux sociaux permettent une certaine visibilité qui se divise en deux parties. La première est instrumentale et la deuxième est plutôt reliée à la reconnaissance qui implique un plus grand engagement. De plus, l’auteure cherche à démontrer les limites et les avantages de la visibilité engendrée par les réseaux sociaux en proposant que cette visibilité va leur permettre de prendre une plus grande place dans la sphère publique.

    http://www.archipel.uqam.ca/8050/

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  3. Judith Lafleur

     /  7 février 2018

    La recherche scientifique en communication et en relations publiques est d’une grande utilité. Celle-ci permet différents avancements. En effet, de nos jours, les entreprises s’intéressent davantage aux faits et aux chiffres réels pour les aider dans leur prise de décision. C’est donc souvent dans ces cas que la recherche devient de grande importance. Le domaine des relations publiques est en constante évolution et la recherche permet aux entreprises d’avoir des données fiables avec lesquelles travailler. Aussi, elle leur permet d’être constamment au courant de ce qui se passe dans leur domaine. Bref, la recherche scientifique en science sociale offre aux entreprises des moyens de prendre des décisions plus éclairées basées sur des faits vérifiés.

    Aussi, ces recherches scientifiques permettent aux professionnels de relations publiques d’en connaitre davantage sur l’environnement dans lequel ils oeuvrent. Comme mentionné plus haut, l’univers des communications est en constant mouvement. Les recherches basées par exemple, sur les réseaux sociaux et sur les méthodes de communication permettent de se tenir à jour sur le domaine. Elles permettent aussi aux relationnistes d’adapter leurs approches et leurs stratégies au monde qui les entoure. Aussi, les recherches offrent la possibilité d’étudier des problèmes communicationnels et de trouver des solutions.

    J’ai choisi le mémoire de Laura Bergamo de l’Université du Québec à Montréal. Celui-ci porte sur les safety check sur les réseaux sociaux qui ont commencé à être utilisés par le public lors des attentats de Paris en 2015. Ceux-ci permettent aux individus de prévenir leurs contacts sur les réseaux sociaux qu’ils sont en sécurité. Le mémoire étudie les impacts de ces safety check sur la gestion de communication de crise. Il aborde principalement les limites de ces alertes dans une situation de crise mais aussi les attentes des organismes de secours envers ces alertes, tout cela dans le but de faire avancer les pratiques dans le domaine.

    Cliquer pour accéder à M15372.pdf

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  4. Sabrina Marcil (MARS01549406)

     /  7 février 2018

    Les recherches scientifiques peuvent parfois paraitre inutiles, mais, au contraire, elles sont très importantes. En effet, il est primordial d’investir du temps et de l’argent dans la recherche scientifique puisqu’elle contribue à l’avancement des connaissances dans tous les domaines possibles tels que les relations publiques. Les grandes organisations doivent se doter des meilleurs moyens et des meilleurs outils qui leurs permettront d’avoir les meilleures communications et le meilleur lien avec leur clientèle. C’est pour cette raison que la recherche scientifique est primordiale. En effet, il est important pour tous les communicateurs travaillant pour des entreprises de se tenir à jour dans les nouvelles trouvailles faites par les chercheurs en communication.

    Aussi, se tenir à jour au sujet des recherches scientifiques permet aussi de confirmer ou d’infirmer certaines théories émises par d’autres recherches faites précédemment. Cela permet d’être de plus en plus certain du fonctionnement des communications entre les individus. Le domaine des communications, en particulier celui des relations publiques, est un domaine qui évolue rapidement grâce aux nouvelles technologies. C’est pour cette raison que les communicateurs doivent sans cesse trouver de nouvelles techniques plus actuelles qui permettent d’améliorer les différentes façons que l’humain a de communiquer.

    La recherche que j’ai trouvé a été faite par Marta Anadon, Ph. D. à l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle amorce une réflexion sur les acquis de la recherche de type qualitative. Selon ses recherches, ces acquis ne sont pas indépendants du contexte général ayant orienté le développement des sciences sociales et humaines. Avec ces recherches, elle vise à montrer que les approches qualitatives ont consolidés la dimension épistémologique de ces sciences et qu’elles ajoute à la légitimité des recherches faites selon ce modèle. Cette recherche nous permet de se questionner sur ce type d’approche qui est souvent questionné puisqu’il permet plusieurs variétés de réponses et qui vient déstabilisé le milieu scientifique qui utilise actuellement des méthodes plutôt quantitative.

    Cliquer pour accéder à manadon_ch.pdf

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  5. La recherche scientifique en sciences sociales contribue grandement à l’avancement des connaissances dans le domaine des relations publiques et des communications. En effet, les résultats sont essentiels pour contribuer au progrès du savoir dans une entreprise. En relations publiques, et dans tous les domaines des communications, les choses sont toujours en constante évolution. C’est pourquoi il est important de se baser sur des statistiques et des chiffres fiables. C’est donc grâce à la recherche scientifique que l’on trouve ces données. Les outils utilisés sont fiables et permettent de trouver des informations pertinentes et précises.

    De plus, les résultats obtenus grâce à ces recherches permettent une meilleure compréhension du monde dans lequel nous vivons. Que ce soit par l’entremise d’un groupe focus, d’une entrevue semi-dirigée ou d’un sondage, les réponses recueillies de la part des répondants sont représentatives de la population étudiée. Bien sûr, il peut exister des marges d’erreur, surtout dans le cas d’un sondage avec des questions fermées, car les gens n’ont pas la possibilité de vraiment exprimer ce qu’ils pensent. Donc, la recherche scientifique est un excellent outil pour essayer de comprendre des phénomènes de société.

    Le mémoire d’Alexandre Provencher, « Vers une approche sociale ou managériale des relations publiques? : le cas du printemps érable », porte sur la grève étudiante de 2012, plus particulièrement de l’utilisation des relations publiques dans cette crise. Monsieur Provencher explique que les relations publiques se caractérisent par deux approches, soit l’approche sociale et l’approche managériale. De ces deux concepts, découlent de trois pratiques : le modèle social, le modèle de la communication bidirectionnelle symétrique et le modèle managérial. Ces pratiques ont toutes une façon différente de voir les relations publiques. L’auteur explique donc le rôle que les acteurs de la grève ont eu dans la lignée des relations publiques. Il tente aussi d’expliquer, à l’aide des concepts mentionnés plus haut, pourquoi il y a eu un bris de communication entre les acteurs de la crise étudiante, et ce à l’aide d’une analyse de contenue faite auprès de communiqués de presse, points de presse et entrevues du gouvernement du Québec et des associations étudiantes.

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  6. Lori Ethier

     /  7 février 2018

    Alors que les sciences sociales regroupent tout ce qui a trait aux comportements de l’être humain, il va s’en dire qu’élaborer des recherches en science sociale contribue à la compréhension globale des comportements et des tendances de notre société contemporaine. De plus, les études et les recherches en science sociale touchent plusieurs disciplines qui influencent notre comportement soit l’économie, la démographie et le droit. De son côté, les relations publiques, selon le SCRP : «consistent à la gestion des relations entre une organisation et ses divers publics par l’entremise de la communication», et ce, dans le but d’une harmonie communicationnelle, une compréhension mutuelle afin d’atteindre les objectifs organisationnels et de servir les différents publics visés. Il est important de noter que le terme recherche est employé dans le sens qu’un chercheur étudie un phénomène qui l’intéresse pour en faire ressortir de nouvelles connaissances et actualiser nos savoirs sur ledit sujet.

    


À partir de ces faits, on peut en déduire que les différentes recherches scientifiques en sciences sociales influencent les choix et les façons de faire des agents de relations publiques, car pour bien comprendre leurs publics et la société dans lequel les agents de relations publiques œuvrent il faut les étudier et s’adapter aux nouvelles tendances. En effet, pendant que les chercheurs en science sociale s’inspirent d’études déjà réalisées pour élaborer une problématisation pour ensuite contribuer à la naissance de nouveaux savoirs, les agents en relations publiques eux élaborent des stratégies de toutes sortent pour rejoindre leurs publics cibles d’une façon la plus fidèle possible pour ensuite répondre à leur objectif et régler les différents enjeux que vivent les organisations. Avec l’internet et les différents médias sociaux qui poussent les agents d’innover à une vitesse remarquable, il va de soi que les agents et les chercheurs travaillent de concert pour réussir à suivre la vague, les tendances sociétales toujours en mouvance et saisir un phénomène que les agents auraient pus échapper faute de temps. De ces faits, c’est pourquoi il va de soi que les chercheurs en science sociale, avec leurs recherches, influencent et facilite l’avancement des connaissances et du savoir dans le domaine des relations publiques.

    
Pour aller dans le même ordre d’idées concernant l’influence de l’avancement technologique et les médias sociaux sur les relations publiques, le mémoire que j’ai choisi est REPENSER L’AGENDA-SETTING À L’ÈRE DES MÉDIAS SOCIONUMÉRIQUES : ÉTUDE DE CAS SUR TWITTER, un ouvrage réalisé dans le cadre de la maitrise en communication à L’UQAM par Mathieu Arseneault. Dans ce présent ouvrage, l’auteur aborde la théorie de McCombs et Shaw soit l’Agenda-Setting. Cette théorie reproche aux médias de masse d’influencer la population sur ce qu’il est important de valoriser dans notre société en accordant à certains évènements précis plus de visibilité et d’espace médiatique que d’autres. Ainsi, en 2018, alors que les médias de masse ont perdu de la valeur et que nous sommes tous branchés sur différents réseaux qui nous informent de tout et n’importe quoi, la théorie de McCombs et de Shaw se doit d’être actualisée et d’inclure les médias socionumériques. Pour ce faire, Mathieu Arseneault étudie Twitter et son système d’Hashtag, en se basant sur 6 mots-clics influant dans le contexte politique québécois pendant la période d’écriture du mémoire, relève la présence vicieuse et la nouvelle problématique des médias de masse sur le réseau populaire et fais une mise en garde concernant la diffusion de nouvelles par monsieur et madame tout le monde. Il relève également un concept clé pour comprendre l’évolution de l’Agenda-Setting et du contrôle de l’information, le Gatekeeping.



    Cliquer pour accéder à M13880.pdf

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  7. camille chateauneuf

     /  8 février 2018

    La recherche scientifique en sciences sociales est un domaine très vaste qui regroupe plusieurs objectifs : décrire, expliquer, comprendre, prédire et transformer. Ceux-ci apparaissent comme étant indissociables les uns et des autres et forment un tout qui apporte une plus value au domaine de la communication pour diverses raisons. La première raison réside dans l’identification. Jusqu’à lors, les faits posant problèmes de façon récurrente n’étaient pas pris en compte et par conséquent se répétaient ad vitam aeternam pour ne jamais permettre une évolution de la discipline dans le temps. A partir du moment où les recherches ont mis en lumière ce phénomène d’identification, le domaine des communication fut beaucoup plus connecté à la réalité et put rectifier les erreurs repérées pour toujours s’améliorer davantage au fil du temps dans un monde en constant changement.

    L’identification révélée par les recherches fut une avancée d’une grande importance, cependant, identifier un problème est une chose mais faire en sorte qu’il ne se reproduise plus en est une autre. C’est en ce sens que la recherche scientifique est une plus-value, elle aide à comprendre un phénomène et surtout elle permet de développer des facultés telles que l’anticipation pour éviter de refaire les mêmes erreurs et toujours avoir un coup d’avance sur ce qui viendra par la suite. De plus, à la suite de l’identification du problème une transformation peut avoir lieu et le fait de publier le résultat de celle-ci permet à l’ensemble des membres du domaine des communications d’en prendre note. Grâce à la recherche en science sociale le domaine des relations publiques à conscience des changements à opérer, les effectuent et en font profiter tout un chacun pour une meilleure communication.

    Le texte que j’ai choisi pour illustrer mon propos s’intitule « Les relations chercheurs-praticiens comme déterminant de l’utilisation des connaissances issues des recherches : étude dans le domaine des sciences humaines et sociales ». Cette thèse rédigée par Gervais Mathieu-Joël à pour but de mettre en exergue les relations chercheurs-praticiens et de comprendre le rôle qu’occupaient celles-ci dans les recherches en sciences humaines et sociales. J’ai trouvé ce texte pertinent car il est un excellent exemple d’identification, d’explication, de transformation et d’utilisation des connaissances issues des recherches.

    http://www.archipel.uqam.ca/10872/

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  8. Les sciences sociales sont l’étude des phénomènes et interactions sociales. Quant aux relations publiques, elles sont la gestion des relations entre une organisation et ses différentes parties prenantes et ce, par le biais de la communication. En effet, il est important d’effectuer des recherches scientifiques sociales, car l’étude du comportement humain dans le domaine des communications contribue à l’avancement des connaissances en relations publiques. C’est un domaine qui est constamment en évolution et on se doit d’être à jour.

    En gestion, il est important de considérer les avancements et recherches au niveau social, car on veut constamment s’adapter pour trouver une meilleure façon de communiquer avec nos différents publics. Le rôle des relations publiques évolue et change constamment et il faut donc absolument être à l’affût des nouvelles tendances et changement. Par exemple, en gestion de crise, une organisation doit être prête à répondre à ses publics et ce, grâce à diverses stratégies qui ont fait l’objet de recherches scientifiques en sciences sociales. Il est donc important de les considérer si l’on veut atteindre nos différents objectifs auprès des publics cibles.

    Le mémoire « Du rôle des relations publiques dans la relation entre les organisations et leurs parties prenantes dans un contexte nord-américain » par Mathieu Sauvé questionne le rôle des relations publiques dans les organisations nord-américaines, notamment au niveau de l’imprécision entourant cette pratique. En effet, personne ne s’entend pour donner la même définition de cette pratique. Au niveau organisationnel on trouve une fonction de gestion à cette pratique. En bref, il faut retenir que les relationnistes ont un rôle à jouer qui dépasse leurs compétences. C’est-à-dire qu’ils sont dans une position importante et ils sont responsables des messages qu’ils véhiculent dans l’espace public. Également, les entreprises devraient se munir d’un modèle managérial des relations publiques.

    http://www.archipel.uqam.ca/2791/1/M11294.pdf

    Alexandra Leclerc

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  9. Laurie Paradis

     /  8 février 2018

    Le domaine des sciences sociales est vaste quant aux disciplines qu’elles couvrent. Au cours de mon parcours scolaire, j’ai appris à définir les sciences sociales comme étant l’étude des comportements humains et des phénomènes de société. Les travailleurs en relations publiques ont beaucoup à gagner en restant informés des résultats de divers études dans les domaines sociaux. En effet, les professionnels des relations publiques sont appelés à offrir un service de communication entre une organisation et ses publics. Ils se voient participer à l’évolution des organisations de multiples façons tel que mentionné dans « Le Mandat de Melbourne » présenté en français par la Société Canadienne des relations publiques. Selon ce document, leur mandat est le suivant : « Définir et maintenir la personnalité et les valeurs de l’organisation, instaurer une culture d’écoute et d’engagement, [et] inciter les individus et les organisations à adopter des comportements responsables. » Ce nouveau mandat reflète l’importance de la société dans laquelle elles évoluent pour chaque organisation, quelle qu’elle soit. Cela en étant dit, il semble alors primordial pour les professionnels de relations publiques d’être informés à propos des recherches concernant les individus d’une société avec lesquels l’organisation tente de tisser des liens de confiance. Ainsi, il est pertinent d’avancer que des professionnels de relations publiques informés au sujet de la recherche scientifique en sciences sociales permettent l’avancement du domaine des communications et des relations publiques puisque ces connaissances ajoutées amènent de nouvelles façons de faire, de nouvelles idées et peut-être même des inspirations d’études futures sur des phénomènes sociaux à lier à des problèmes de communication.

    Par contre, il est important de préciser que les recherches en sciences sociales qui inspirent les relationnistes doivent être assurément bâties sur une démarche scientifique reconnue. Sans cela, les résultats obtenus n’ont pas de valeur. La rigueur de méthodologie requise par une démarche scientifique reconnue offre un gage de fiabilité et de représentativité beaucoup plus significatif qu’une démarche qui ne l’est pas. À cet effet, les professionnels des relations publiques devraient être attentifs à ce type de détail lors de la lecture de résultats scientifique.

    La thèse que j’ai choisi de présenter s’intitule « Vérité et conformisme dans la communication sur les réseaux socionumériques », a été écrit par Mehlia Bissière, Yanick Farmer et Amina Benkirane et date de 2015. Cette recherche rapporte que les personnes ont tendance à se conformer à l’opinion populaire malgré le fait que l’interaction soit virtuelle et non face à face. Dans un contexte social où les interactions numériques se multiplient, ces membres de la Chaire de relations publiques et de communication marketing de l’UQAM ont tenté d’évaluer le comportement des individus, à savoir plus précisément, si on peut compter sur des forums de discussions en ligne pour avoir une représentation véridique des opinions. Il est à noter que les chercheurs précisent une légère différence avec une autre étude réalisée sur le conformisme d’opinion dans un groupe physique. Ils expliquent que le conformisme en ligne est légèrement moins important qu’en personne.

    Cliquer pour accéder à rapport_dec2015_v2.pdf

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  10. Maylisande Poulin

     /  9 février 2018

    Selon la Société canadienne des relations publiques, cette discipline « consiste en la gestion des relations entre une organisation et ses divers publics par l’entremise de la communication, afin d’atteindre une compréhension mutuelle, de réaliser les objectifs organisationnels et de servir l’intérêt public. » (Flynn, Gregory et Valin, 2008) Par le mot « publics » on comprend alors qu’il s’agit de groupes d’individus catégorisés selon différents critères qui les distinguent et faisant partie de la société. D’ailleurs, les sciences sociales incluent tous les domaines qui sont en lien direct avec la société et qui ont un impact sur celle-ci, tels que la géographie, la psychologie, la sociologie et autres. Alors, comme la société est un phénomène en constante évolution, les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales permettent aux relations publiques de suivre ce changement et de continuer à être efficace auprès de leurs publics.

    De plus, toute action faite en relations publiques dépend de la société, c’est pourquoi il est nécessaire d’avoir une bonne compréhension de celle-ci. Toutefois, afin d’obtenir cette compréhension, il faut recueillir une grande variété de données qui permettront de déduire quelles stratégies utiliser selon les différents types de publics. Le rôle de la recherche scientifique en sciences sociales est de fournir ces informations dont les relations publiques dépendent. D’ailleurs, puisque la recherche s’appuie sur une démarche scientifique connue, les relations publiques s’assurent de baser leurs démarches sur des données qui sont fondées. Donc, la recherche scientifique et les relations publiques sont très complémentaires puisque l’objectif de la recherche est d’identifier, de décrire, d’expliquer, de comprendre, de prédire et de transformer des phénomènes sociaux et que les relations publiques mettent en application ces résultats selon leur contexte et leurs enjeux.

    Le mémoire que j’ai choisi s’intitule « La fonction communication au sein d’un projet » et a été réalisé par Martine Dubois dans le cadre d’une maîtrise en communication à l’UQAM. Le mémoire aborde la fonction de communication dans un projet précis dans une organisation. Il permet de comprendre les différents impacts positifs et négatifs que cette fonction peut apporter dans le cadre d’un projet et de voir comment la fonction de communication fonctionne et interagit concrètement avec les autres secteurs organisationnels. Ce mémoire est pertinent à mon avis, car il combine la recherche scientifique et le domaine des communications afin d’expliquer le phénomène mis de l’avant, soit la fonction de communication au sein d’un projet.

    Cliquer pour accéder à M14814.pdf

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  11. Depuis toujours l’homme a voulu comprendre le monde dans lequel il évoluait et c’est pour répondre à ce besoin que la recherche scientifique est née. Que ce soit en économie, en éducation, en médecine ou même en science sociale, la recherche scientifique permet au chercheur de répondre à des questionnements à l’aide d’une méthodologie claire et rationnelle qui l’aise des traces vérifiables. Cette méthode, dite scientifique, aide à la crédibilité des résultats obtenus par le chercheur et permet un consensus dans le secteur de recherche en question et pousse toujours plus loin les questionnements. Particulièrement en science sociale, où les études portent sur les activités et les comportements humains, qui ne sont en aucun cas une science exacte, la méthodologie permet de mettre de l’avant un cadre structuré et systémique qui aide à la reconnaissance de la démarche et des résultats par les paires. Nous pouvons donc affirmer que les impacts des résultats obtenus lors de recherches scientifiques en science sociale sont grands dans la discipline des relations publiques.

    En effet, les relations publiques sont un secteur des communications qui s’intéressent aux individus et très particulièrement aux moyens de créer de bonnes relations entre l’entreprise et les différents clients. Pour ce faire, le relationniste doit bien comprendre les comportements de ceux-ci. Nous pouvons donc affirmer que les résultats obtenus dans les différentes recherches en sciences sociales peuvent faire avancer les connaissances dans le domaine des relations publiques. En plus de permettre aux chercheurs et aux professionnels du milieu de comprendre les comportements des individus, la recherche scientifique permet de les prédire et de les changer grâce à une méthodologie rigoureuse comportant sept étapes indissociables. En prenant connaissance de ces résultats, le relationniste a donc une bonne connaissance des comportements de ses clients et peut même les prédire et les changer, ce qui lui donne un avantage considérable. Les recherches scientifiques en science sociale sont donc très importantes pour le domaine des relations publiques.

    Le mémoire que j’ai choisi pour ce travail est le traitement médiatique du mouvement #AgressionNonDénoncée dans la presse écrite québécoise francophone.Celui-ci a été écrit par Raphaëlle Savard-Moisant et a été déposé en mai 2017. Dans le mémoire, il est question de vérifier dans quelle mesure la combinaison du mot clic percutant et des réseaux sociaux a modifié la façon dont la presse québécoise traite les agressions sexuelles. Le mouvement #AgressionNonDénoncée a été initié en octobre 2014 et avait comme objectif de mettre à la disposition de tous un endroit pour témoigner de leur agression. Il a été démontrer à l’aide de la théorie de cadrage et des représentations sociales que le mot clic #AgressionNonDénoncée a fait évoluer la façon dont la presse représentait les violences sexuelles. Toutefois, un certain pourcentage de journalistes a continué à alimenter les préjugés et les stéréotypes dans leurs écrits. Cette recherche a donc mis en lumière la limite de la portée des mot clic dans les journaux.

    http://www.archipel.uqam.ca/9675/

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  12. Pamela Samedy

     /  9 février 2018

    La théorie communicationnelle n’en est pas une qui est figée dans le temps. Elle évolue. Elle évolue avec la société et grâce aux avancées des autres sphères qui y sont connectées. C’est pour cette raison que nous pouvons affirmer que la recherche scientifique en sciences sociales contribue de manière significative à l’avancement des connaissances dans la sphère des communications et des relations publiques. En effet, comme elle porte sur des éléments qui caractérisent la société contemporaine, la recherche scientifique en sciences sociales permet aux relationnistes et à toute autre personne qui travaille dans le domaine de la communication d’acquérir des connaissances théoriques et pratiques qui vont les aider à expliquer certains comportements et à mieux évoluer dans leur profession en les mettant à jour sur les nouvelles pratiques qui sont plus appropriées et qui correspondent mieux à la société dans laquelle nous évoluons.

    Dans une optique de relations publiques, la recherche scientifique en sciences sociales permet aussi aux organisations de trouver des moyens plus efficaces pour rejoindre leurs publics cibles. En effet, en faisant des recherches sur l’ensemble du corps social dans lequel elles opèrent, celles-ci pourront élaborer des plans de communication qui corréleront avec les résultats observés. Nous pouvons donner l’exemple des restaurants McDonald en France qui, après avoir analysé les nouveaux comportements nutritionnels des Français qui, maintenant, se soucient plus de leur santé et consomment plus de repas équilibrés, ont décidé d’offrir des repas qui leur conviendront mieux, comme des produits sans gluten et même un burger végétarien. Nous pouvons donc observer comment les organisations se servent de la recherche scientifique en sciences sociales pour se créer une image que la société dans laquelle elles évoluent saura apprécier.

    Le mémoire que j’ai choisi, écrit par Cassy Pelletier en 2017, porte sur des comportements observés en milieu de travail et a pour titre : « Les réseaux sociaux numériques et la proximité des relations entre collègues de travail : le rôle de la communication électronique et des stratégies de gestion des frontières ». Dans son texte, l’auteure, en se basant sur de la recherche récemment faite sur les RSN, explique comment la communication électronique a une influence positive sur les relations interprofessionnelles en les rendant plus étroites. L’auteure a, toutefois, tenu à préciser que d’autres variables sont à considérer dans l’étude des relations entre collègues de travail, comme le partage des valeurs par exemple. Néanmoins, les recherches ont démontré que les relations construites sur les RSN expliquent mieux la proximité des collègues de travail que les stratégies employées pour gérer les identités personnelles et professionnelles.

    Cliquer pour accéder à M15171.pdf

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  13. Annie Brouillette

     /  10 février 2018

    Tout comme les autres disciplines des sciences sociales, les relations publiques sont indissociables de la recherche scientifique. Étant au sein un domaine qui ne cesse d’évoluer, les professionnels des communications doivent alors constamment développer et acquérir de nouvelles connaissances. Le chapitre neuf du livre Les relations publiques dans une société en mouvance, rédigé par Pierre Bérubé avec la collaboration de Guy Litalien, témoigne de cette réalité : « L’importance de la recherche, de l’évaluation et de la mesure des résultats en relations publiques est reconnue internationalement par les associations regroupant les professionnels de cette spécialité du domaine des communications. » Par exemple, les relationnistes doivent évaluer l’atteinte des objectifs d’une campagne, entre autres, par le biais de résultats mesurables. Les résultats démontrés doivent être tangibles et doivent se baser sur des preuves et des connaissances approfondies sur le sujet. La recherche, l’évaluation et la mesure des résultats ont d’ailleurs contribués à témoigner de la véritable valeur des relations publiques. En effet, c’est une discipline qui procure une valeur stratégique à l’organisation, ce qui va bien au-delà des simples mesures financières.

    Les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales contribuent évidemment à l’avancement des connaissances. D’ailleurs, l’un des buts premiers de la recherche est de contribuer à une avancée de connaissances dans un domaine précis, tel que les relations publiques. En s’appuyant sur une démarche scientifique reconnue, l’information diffusée est alors crédible et objective, ce qui permet aux professionnels de s’appuyer sur ces études. Un relationniste mieux informé, ayant eu recours à la recherche scientifique, est plus efficace dans ses opérations et ses stratégies. Il est ici important de souligner que la diffusion des résultats est primordiale pour que ceux-ci aient une véritable valeur auprès de la communauté scientifique. Cette diffusion des résultats permet de faire constamment évoluer la profession, que ce soit pour mieux comprendre certains phénomènes ou pour découvrir de nouvelles techniques.

    La mémoire de maîtrise de Pierre Bérubé, intitulée Les indicateurs mesurables en relations publiques dans un contexte de tableau de bord de gestion (2005), illustre très bien ces propos. En effet, l’auteur démontre l’importance de la recherche en relations publiques en s’appuyant, entre autres, sur les techniques utilisées, le choix des indicateurs et les différentes phases du processus. Pierre Bérubé aborde d’ailleurs la notion de rentabilité, soit la valeur des investissements en relations publiques, en se basant sur l’étude de Grunig réalisée en 2002. Cette recherche permet de constater à quel point les relations publiques contribuent à l’atteinte des objectifs d’une entreprise. Bien que ce mémoire date de plus de dix ans, les propos sont encore tout à fait pertinents et permettent une meilleure compréhension de la nécessité de la recherche en relations publiques.
    (http://www.crpcm.uqam.ca/pages/docs/centres/lap/PB_mémoire_200501c2.pdf)

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  14. Léa Kerrien-Viémon

     /  10 février 2018

    Le domaine des relations publiques est en évolution constante. C’est pour cette raison que les résultats en matière de recherche scientifique en sciences sociales contribuent à l’avancement des connaissances en communication, dans un monde où la communication est changeante, mais demeure primordiale dans toutes les sphères de notre société. La connaissance de toutes ces diverses sphères de notre société actuelle est cruciale, étant donné que toutes les théories communicationnelles sont fondées au sein des individus vivant en société.

    Il existe diverses démarches qui contribuent grandement aux résultats des recherches scientifiques. En communications, les moyens sont larges : il peut s’agir de sondages, de focus group, ou encore d’entrevues. Peu importe le moyen utilisé, le chercheur qui s’intéresse à la recherche va se baser sur les données recueillies pour alimenter ses opinions et ses résultats. Étant donné que le monde des communications est au fondement des individus, il est de mise que nombre de données soient tirées des individus afin d’alimenter les résultats. C’est pour cette raison que les divers moyens de recherche scientifiques mentionnées plus haut ne sont pas à négliger.

    Le mémoire de maîtrise intitulé  » Les réseaux sociaux-numériques et la proximité des relations entre collègues de travail : le rôle de la communication électronique et des stratégies de gestion des frontières « , écrit par Cassy Pelletier, porte sur les réseaux sociaux-numériques, et plus précisément et sur les relations interpersonnelles qu’entretiennent les individus au travers ces réseaux. L’objectif de ce mémoire était de savoir si les réseaux sociaux contribuaient positivement à la communication entre les individus, ou au contraire, nuisaient aux échanges entre ces derniers. C’est avec quatre hypothèses proposées par divers experts que l’auteur amorce ses recherches, et c’est sous celles-ci qu’il va découvrir plusieurs questionnements futurs concernant les communications par rapport aux réseaux sociaux-numériques. De ce fait, il termine en expliquant que les entreprises en communications et en relations publiques doivent absolument prendre en compte cet univers communicationnel qui est en constant changement afin de se préparer aux futurs enjeux et conséquences liées aux réseaux sociaux.

    Cliquer pour accéder à M15171.pdf

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  15. Gabrielle Larocque

     /  10 février 2018

    Selon le Mandat de Melbourne, les relations publiques ont pour mandat de bâtir et renforcer des liens entre une organisation et ses publics. Ainsi, elles contribuent à la société. Les sciences sociales, quant à elles, englobent toutes les sciences ou disciplines qui étudient les interactions sociales, soit la sociologie, le droit, l’économie, la démographie, l’anthropologie, etc. En quoi les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales contribuent à l’avancement des connaissances dans les communications et les relations publiques ? Il est clair que la recherche en sciences sociales contribue à l’avancement des savoirs en relations publiques. Tout d’abord, comme le mandat d’un relationniste consiste à renforcer les liens entre l’organisation et les publics, la recherche en sciences sociales permet de mieux comprendre ses différents publics. Par exemple, une étude en sociologie, science qui étudie les humains dans leur milieu social, pourrait permettre de comprendre un public cible important et ainsi contribuerait à mieux le cibler.

    Par ailleurs, les relations publiques consistent également à comprendre et communiquer la personnalité de l’organisation. Or, pour ce faire, le relationniste doit analyser l’environnement externe et interne de l’entreprise. Six catégories sont susceptibles d’influencer une organisation : politique, économique, socio-culturel, technologiques, environnementaux et légaux. C’est donc dans cette perspective que les sciences sociales deviennent pertinentes. Elles contribuent fortement à l’avancement des connaissances. Les résultats des différentes recherches en économie, en sciences politiques, en sociologie, en droit permettent de saisir le macro-environnement ayant un impact sur l’organisation, et au final, sur les publics. En s’appuyant sur une démarche scientifique, les chercheurs en sciences sociales analysent donc une panoplie de phénomènes nécessaires à la compréhension d’une entreprise et des publics. Il est important d’investir temps et argent en recherche, puisque cela contribue fortement à l’avancement des savoirs, non seulement en relations publiques, mais aussi dans d’autres professions.

    La thèse choisie se nomme Métamorphoses numériques de la culture et des médias : quelques pistes de réflexion, coordonnée par Éric George et Lena Hübner. En fait, il s’agit d’un document du centre de recherche interuniversitaire communication, information société (CRICIS). Ce document rassemble plusieurs articles d’universitaires portants notamment sur les enjeux sociopolitiques de la communication numérique. En effet, depuis les années 2000, les communications ont connu un virage drastique vers le numérique : les écrans ainsi que les réseaux de toutes sortes sont omniprésents dans notre quotidien.  » L’ère numérique  » est devenue une expression s’appliquant à une grande majorité des activités de la société et a révolutionné le monde des communications. Toutefois, cette révolution numérique comporte son lot d’enjeux au niveau socio-politique, économique, légal, etc. Quels sont les impacts des communications numériques sur la société ? Comment les gouvernements règlementent-elles celles-ci ? Une piste de réflexion est également abordée par Maxime Ouellet et al. Ils s’interrogent sur le contrôle social via le Big Data, soit la collecte de données numériques sur la population. Le Big Data est un enjeu politique important concernant la surveillance étatique et tendrait même vers un régime totalitaire. D’où l’importance d’étudier ce phénomène. Par ailleurs, les communications numériques ont révolutionné les domaines des médias et du journalisme : citoyen-participant, médias numériques, réseaux sociaux… Enfin, la dernière partie porte davantage sur les aspects légaux des communications à l’ère du numérique. Ce regroupement de textes d’universitaires démontre donc l’importance de la recherche en sciences sociales et ces contributions aux domaines des relations publiques.

    Cliquer pour accéder à Cahiers2017_VF.pdf

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  16. magaliboule

     /  10 février 2018

    On peut constater qu’il y a plusieurs théories communicationnelles, ces théories évoluent et divergent les unes des autres, mais elles ont un point en commun : elles découlent de la recherche scientifique. En communication, il est primordial de comprendre comment les individus communiquent entre eux, ce qu’ils apprécient et au contraire, ce qu’ils détestent entendre, pourquoi ils prennent une décision plutôt qu’une autre ou ce qui influence leurs décisions. La recherche scientifique en science sociales permet de comprendre le comportement humain et de se servir de ces connaissances de façon éthique pour devenir un expert des communications. Il est extrêmement important que les relationnistes ou tous ceux qui travaillent en communication aient des informations vérifiables, de qualités et scientifiques pour comprendre et aider le public.
    Ensuite, par science sociales Le dictionnaire des définitions entend : l’étude des humains et de la société. C’est-à-dire leur activités, comportements, pensée intentions, modes de vie et l’évolution de l’être humain. Par relations publiques, on parle plutôt de : « la gestion des relations entre une organisation et ses divers publics par l’entremise de la communication, afin d’atteindre une compréhension mutuelle, de réaliser les objectifs organisationnels et de servir l’intérêt public.» (Flynn, Gregory et Valin, 2008). La recherche doit être rigoureuse pour permettre aux experts en communications de comprendre les changements constants dans les pensés et comportements des individus. Les stratégies communicationnelles des relationnistes pour réaliser les objectifs organisationnels sont créées en fonction des informations qu’ils ont sur ce que les individus d’un milieu veulent, aiment, pensent, etc. Il serait impossible pour un relationniste de bien faire son travail en ne sachant pas qui est le public et ce qu’il veut, car sa stratégie ne pourrait jamais être efficace. Depuis l’ère des technologies, les rôles des relationnistes ont beaucoup changé et c’est avec la recherche qu’on peut rester au courant des tendances du présent. C’est avec des sondages, des groupes focus, des entrevus, des données quantifiables et des échantillons représentatifs qu’il est possible d’analyser, avec la marge d’erreur la plus faible, les comportements passés, présents et futurs des individus.
    Dans la thèse d’Anne-Marie Gagné :« La relation de confiance en relations publiques : vers un modèle d’adéquation contextuelle optimale », il est question de la problématique de l’image négative que possède le métier de relationniste, car il y aurait une manipulation de l’information pour protéger l’entreprise plutôt que les individus. L’objectif la recherche est d’identifier les éléments permettant l’établissement d’une relation de confiance entre les relationnistes et les parties prenantes de l’entreprise. La recherche inclue de nombreuses disciplines connexes aux relations publiques (la sociologie, les sciences économiques et de la gestion, le marketing et la psychologie). En résumé, l’analyse des recherches qualitatives a permis de démontrer quels sont les éléments de confiance en relations publiques. Également, elle a permis de développer un nouveau modèle de théorie communicationnelle de confiance en relations publiques : le modèle de l’adéquation contextuelle optimale, modèle démontre la possibilité d’une relation de confiance et d’une relation de méfiance en relations publiques. Ce modèle démontre que la confiance dépend de la perception des intérêts d’une entreprise selon le public, de la perception de l’intégrité de l’entreprise selon le public et selon les attentes initiales du public auprès de l’entreprise.

    Magali Boulé
    http://www.archipel.uqam.ca/4464/

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  17. Véronique Leclerc

     /  10 février 2018

    La recherche scientifique est une activité qui vise à dépasser le sens commun par le développement d’un savoir «objectif». Qu’elle relève de la recherche appliquée, qui vise à fournir des solutions pratiques à des problèmes concrets, ou de la recherche fondamentale, qui cherche à accroître la connaissance du monde, la recherche scientifique est d’une grande utilité dans tous les domaines, notamment en relations publiques. Elle contribue à l’avancement des connaissances dans cette discipline en cherchant à identifier, décrire et expliquer des phénomènes communicationnels, mais aussi à les prédire et à les transformer. Ces deux dernières dimensions représentent, selon moi, le plus grand apport de la recherche scientifique pour le monde des relations publiques.

    Tout d’abord, le fait que la recherche, en s’appuyant sur une démarche scientifique reconnue, permette d’anticiper les phénomènes observés est une faculté d’une très grande utilité qui a un impact concret sur le métier des professionnels en communication. Si, par exemple, une crise ou un déséquilibre est susceptible de se produire dans une situation donnée, la capacité de l’envisager à l’avance permet d’instaurer des mesures ou de procéder à certains changements pour éviter une problématique. D’un autre côté, la recherche scientifique vise aussi à transformer des phénomènes de communications, d’agir directement sur ceux-ci, dans l’optique d’obtenir un effet prévisible et souhaité. La recherche devient donc un outil de changement social ayant un impact réel sur les actions menées par les relationnistes au quotidien. De plus, la diffusion des données scientifiques résultantes permet l’avancement du domaine des relations publiques et des sciences sociales en général pour le bien commun.

    Le mémoire que j’ai choisi s’intitule « Les influenceurs dans le cadre d’une campagne de relations publiques sur les médias socionumériques : le cas de l’exposition Chihuly : un univers à couper le souffle du Musée des beaux-arts de Montréal ». Il a été rédigé par Sarah Morissette, étudiante à la maîtrise en communication à l’UQAM, en 2016. En bref, cette recherche s’intéresse à la participation des influenceurs au sein d’une campagne de relations publiques menée sur les médias socionumériques. En analysant le cas de l’exposition Chihuly aux Musées des beaux-arts de Montréal, l’objectif de la recherche était essentiellement de comprendre l’implication des influenceurs dans la campagne de communication, en particulier sur la plateforme Twitter. Grâce à cette recherche, la grande valeur de la veille et de l’écoute ainsi que l’importance des recherches sur les médias socionumériques ont été mises en évidence. Finalement, l’étude propose de nouveaux outils de recherche et de récolte de données et une actualisation de la théorie du two-step flow de Katz et Lazarsfeld.

    Cliquer pour accéder à M14385.pdf

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  18. Les résultats de la recherche scientifique en science sociale contribuent à l’avancement des connaissances ou à l’état du savoir dans la discipline de relations publiques et de communication, grâce aux étapes qui compose la recherche. Tout d’abord, l’identification de l’objet de la recherche permet au chercheur de se questionner sur divers sujets (par exemple : les relations publiques).Celui-ci se base principalement sur ses connaissances personnelles et son intuition, ce qui l’amène à percevoir certaines lacunes informationnelles dans le domaine d’étude choisit (problématisation liée à l’état des connaissances).Par la suite, l’on peut émettre une hypothèse qui viendra répondent aux questionnements précédents, ce qui aidera grandement à l’avancement des connaissances du domaine de recherche choisit au départ, soit le secteur d’activité des relations publiques, ou il sera important de définir les publics que l’on veut étudiés , mais aussi de formuler un objectif de recherche.

    Par la suite, viendra le temps de choisir une méthode de recherche pertinente et efficace (soit une méthode quantitative ou qualitative) pour notre domaine d’étude, ce qui fera en sorte de se rapprocher de la conclusion. L’étape qui s’en suit est donc la récolte de donnée, puisque l’on vient d’élaborer une stratégie de recherche. Les résultats de la recherche apparaissent donc après avoir effectué cette dernière étape. Dans l’œuvre de Bonneville, Le processus d’une recherche scientifique, il y a plusieurs étapes primordiales qui permettront l’avancement de l’état du savoir, ainsi que des connaissances. Cela fait donc en sorte, que le chercheur se questionnera d’avantages et voudra absorber de nouvelles informations et connaissances plus facilement. Le chercheur pourra dès maintenant identifier, décrire, comprendre, expliquer, prédire et transformer des phénomènes qui paraissaient incompréhensible pour lui.

    Le mémoire que j’ai choisi de résumé s’intitule « La couverture médiatique du débat des chefs au Québec : information ou spectacle télévisuel? » et fut écrit par Christine Bouthillier. Pour commencer, l’auteur propose un questionnement sur la couverture médiatique du débat des chefs au Québec, ceci correspond donc à l’identification de l’objet de recherche. Elle propose donc la réflexion que la couverture médiatique de l’émission pourrait s’avérer modifier, ce qui correspond à la problématisation des connaissances. . Dans son œuvre, elle émet l’hypothèse que le traitement du débat des chefs dans les médias tend à présenter une vision déformée du débat. Par la suite, l’auteur élabore une stratégie de recherche, soit qu’elle vérifie l’historique de l’émission pour ensuite effectuer une étude de cas qui permettra d’analyser la couverture médiatique. Le moment de la récolte de données, celle-ci réalise que de nombreux acteurs et processus influencent le traitement journalistique du débat. Le résultat s’avère donc qu’il existe des différences entre la couverture médiatique du débat des chefs et les propos qu’y ont tenus les candidats. L’on peut donc remarquer que la recherche scientifiques est bel et bien présente pour le domaine de relations publiques et s’avère très utiles.

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  19. Kassandra Sénécal

     /  10 février 2018

    Bien que la véritable pratique des relations publiques telle qu’on la connaît aujourd’hui s’est développée au depuis peu, celle-ci est indispensable au maintien des relations de confiance entre une organisation et ses publics. Les relations publiques sont un bon médiateur dans les gestions des communications, autant à l’interne qu’à l’externe, car elles tiennent comptes de tous les aspects et les besoins de ses différents publics afin de les aider à atteindre leurs objectifs. Pour ce faire, il est évident que cette discipline doit avoir recours aux sciences sociales, car ces dernières permettent une meilleure compréhension de notre société et des individus qui la compose. On peut définir les sciences sociales comme « l’étude lié aux activités et au comportement des être humains. » Celles-ci « analysent donc les manifestations de la société, aussi bien matérielles que symbolique. » Ceci étant dit, la recherche scientifique en sciences sociales joue un rôle cruciale dans l’avancement, l’amélioration et l’évolution de la pratique des relations publiques. Les résultats de recherches doivent être étudiés et comprit afin de s’assurer que les relationniste possèdent toutes les connaissances requises à l’accomplissement de leur mandat.

    Pour ce faire, la discipline des relations publiques propose une démarche en quatre étape : recherche, analyse, communication et évaluation. L’étape cruciale dans cette démarche est celle de la recherche, car, avant d’entreprendre la réalisation d’un mandat, il est primordial de connaître et comprendre l’environnement d’une organisation; ses enjeux, ses publics, ses attitudes, etc. La société, étant en changement constant, demande aux relationniste de rester à l’affût de tout ce qui se passe. Les différents public expriment de nouveaux besoins à chaque jour. Il est donc important d’être outillé au maximum afin d’arriver à satisfaire ces besoins. La recherche est une pratique qui se doit d’être constante, car plusieurs phénomènes restent à comprendre. Les relations publiques oeuvrent dans le domaine des communications, qui est lui aussi constamment en mouvement. La recherche permet donc d’étudier les problèmes communicationnnels auxquelles notre société fait face et d’apporter des solutions. Les relationniste se servent de la recherche afin de s’outiller et élargir leur éventail de connaissances.

    Avec la montée des médias socionumériques et l’accélération de la transmission de l’information, le monde des communications, plus précisément celui des relations publiques, a dû faire face à de nouveaux défis. En effet, le mémoire de Laura Bergamo propose une analyse des avantages à utiliser les médias socionumériques lors de la gestion de crise. Pour ce faire, elle met l’accent sur l’usage des alertes socionumériques, car « ils mettent les publics au centre du processus, grâce à l’intelligence collective. » Bergamo nous fait mention du Safety Check, car il est l’un des dispositifs le plus utilisé lors de situation de crise. Tout au long de son mémoire, elle tente de nous expliquer les enjeux et les limites des systèmes d’alerte socionumérique dans le but de faire avancer la recherche et les pratiques dans le domaine de la communication, plus précisément, dans l’exercice de la gestion de crise.

    http://www.archipel.uqam.ca/id/eprint/10870

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  20. William Quenneville

     /  10 février 2018

    Selon l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), la recherche scientifique consiste en « un mode particulier d’acquisition de connaissances utilisant des moyens structurés et systématiques pour recueillir des données, c’est-à-dire des méthodes, en vue de mieux comprendre ou expliquer un phénomène. » En instaurant une routine ou une méthode précise et calculable dans un domaine comme celui de la recherche, on permet à toutes les recherches se basant sur cette technique d’avoir des résultats comparables et possiblement quantifiables. En ayant une base égale, il devient plus facile de comparer plusieurs données de différentes sources.
    Comme la recherche scientifique peut se baser sur des données observables, il peut sembler complexe d’obtenir des réponses variées et précises qui représentent la population à l’étude. En utilisant des méthodes comme les sondages, les groupes de discussion ou bien encore les études de cas, il est possible d’obtenir le genre de réponses voulues, que ce soit de courtes réponses claires ou de plus profondes réponses. Ces techniques permettent un éclairage sur les préférences et réponses des répondants sur des sujets qui peuvent être difficilement quantifiés en chiffres et en pourcentages seulement.
    Le texte choisit a comme titre « Les influenceurs dans le cadre d’une campagne de relations publiques sur les médias socionumériques : le cas de l’exposition Chihuly : un univers à couper le souffle du Musée des Beaux-arts de Montréal ». L’auteur, Sarah Morissette, a déposé ce mémoire en 2016. Elle décrit dans son texte la stratégie médiatique du MBAM d’inclure des influenceurs, dont certains se sont impliqués d’eux-mêmes, sur le réseau social Twitter afin de faire la promotion de l’exposition. Afin de pouvoir développer cette idée, elle a dû rencontrer l’attaché de presse de la campagne (entrevue) puis a ensuite analysé les caractéristiques des personnes influentes (étude de cas). Pour arriver à ses conclusions, Morissette a dû faire appel aux méthodes de la recherche scientifique et a donc pu conclure des réponses à sa problématique et a pu éclairer l’apport des médias sociaux dans une campagne ainsi que l’inclusion d’influenceurs et de leurs démographiques, d’où l’importance de la veille et de l’écoute.

    http://www.archipel.uqam.ca/id/eprint/8786

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  21. Ziad Harbaoui

     /  10 février 2018

    La recherche est définitivement un préalable à l’exercice des relations publiques. Puisque le recours à l’intuition, c’est-à-dire aux pressentiments ou aux expériences personnelles, est insuffisant pour le relationniste, celui-ci se doit de collecter des informations dans diverses recherches scientifiques utiles qui interprètent notamment les concepts de parties prenantes ou médias, afin de mettre à jour la pratique de sa profession. À titre d’exemple, le seul fait pour le relationniste de développer ses connaissances communicationnelles sur l’expression verbale ou non verbale peut permettre d’augmenter la réceptivité d’une tribune à l’information donnée lors d’un discours.

    De plus, l’acquisition de savoirs scientifiques est aussi un atout lorsque le relationniste doit procéder à une reddition de comptes auprès de l’organisation qui le mandate. Par exemple, un relationniste doit justifier ses inclinaisons et ses interventions auprès de son client. La recherche scientifique étant un mode d’acquisition de connaissances utilisant des moyens structurés pour recueillir des données, l’organisation pour laquelle il opère peut être rassurée de la validité et la cohérence de ses opérations. D’ailleurs, les organisations s’attendent donc à un travail de rigueur chez les relationnistes. Résoudre un problème organisationnel demande une démarche scientifique rigoureuse, à laquelle la fonction de relations publiques prend part. Par ailleurs, la recherche, en tant qu’outil fondamental, permet de vérifier la portée d’une campagne de relations publiques. De plus, l’aspect communicationnel de cette profession nécessite de s’informer. À titre d’exemple, le domaine de la psychologie sociale est d’ailleurs très utile et consulté dans le domaine des relations publiques. Les phénomènes sociaux sont donc perpétuellement en changement: une tendance en essor chez les relationnistes consiste à adopter une attitude avant-gardiste en actualisant constamment ses connaissances sociales et scientifiques afin de mieux connaître la société.

    Le sujet choisi a pour thème « Les stratégies de communication du lobby des boissons énergisantes au Québec ». Au coeur d’un débat où l’impact des boissons énergisantes sur la santé est discuté au sein de l’espace public, un puissant lobby qui regroupe les fabricants de boissons énergisantes cherche à défendre leur vente.Plusieurs stratégies sont décortiquées à travers une étude basée sur de multiples entrevues et communications médiatiques: cette étude démontre quels arguments et outils sont utilisés par ce lobby. L’étude de ces publications et entretiens a amené comme constation que l’Association canadienne des boissons déploie 3 arguments pour valoriser la vente de boissons énergisantes: l’assurance que ce sont des produits sûrs, la liberté du consommateur d’acheter ce qu’il souhaite et la garantie que le lobby est responsable et se conforme aux réglementations. Par ailleurs, l’étude permet de découvrir que plusieurs stratégies de communications, référant à des techniques de marketing, sont avancées par le lobby qui défend les marques de boissons énergisantes. Il est important de considérer la présence d’un débat démocratique sain puisque le lobby est confronté à d’autres intervenants qui défendent des intérêts divergents. D’ailleurs, les notions de « stratégies de communications » et de « lobby » sont parties intégrantes du domaine des relations publiques.

    (http://www.archipel.uqam.ca/9674/)

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  22. Yancy Leblanc

     /  11 février 2018

    Sachant que les sciences sociales ont pour objet d’étude les activités et comportements des humains, il est évident qu’elles sont nécessaires dans le domaine des relations publiques. Il est important de faire une recherche préalable avant de prendre une décision ou d’établir des stratégies en entreprise. Cette recherche se dessine à travers six étapes qui permettent d’obtenir des résultats fiables et valides. La recherche scientifique dans les sciences sociales permet de mieux comprendre les motivations derrière les comportements des humains en société et sert à établir des liens entre ceux-ci. En relation publique, on tente d’établir des relations saines entre différents intermédiaires. Ces résultats sont donc essentiels au bon fonctionnement de ces relations.

    Il est important de se garder à l’affut des dernières avancées en relations publiques. Cela permet de toujours affiner les techniques utilisées pour créer de meilleures stratégies de communication et ainsi, développer de meilleures relations. Plus précisément, en comprenant mieux les comportements des individus, une entreprise aura plus de faciliter à prévoir la réaction des gens faces à leurs stratégies et augmenter les chances de réaliser leurs objectifs de communication.

    Comme la thèse « Les relations chercheurs-praticiens comme déterminant de l’utilisation des connaissances issues des recherches : étude dans le domaine des sciences humaines et sociales » de Mathieu-Joël Gervais (2017) l’illustre, les relations entre le chercheur et le praticien sont présentées comme étant le facteur le plus important afin de favoriser l’utilisation des connaissances issues des recherches en sciences humaines. Ce fait est confirmé par des études qualitatives et quantitatives portant sur la fréquence de consultation entre les deux interlocuteurs ainsi que le sujet abordé. Le tout souvent basé sur des catégories conceptuelles. Cela prouve en effet que cette collaboration peut avoir un effet sur le monde des relations publiques.

    Cliquer pour accéder à D3318.pdf

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  23. Valérie Lépine

     /  11 février 2018

    À la première vue, la recherche scientifique peut être perçue comme étant non essentielle, mais cette perception est erronée. Puisque la recherche en sciences sociales contribue grandement à l’avancement des connaissances dans les disciplines telles que les relations publiques et les communications. En effet, les résultats d’une telle recherche permettent aux relationnistes ou tous autres communicateurs d’obtenir une certaine notoriété ainsi que d’être à l’afflux des nouveautés de notre société. Il est évident que la société moderne est en mouvance constamment, c’est pourquoi l’état du savoir dans la discipline des relations publiques et des communications est primordial. Effectivement, selon André Akoun, auteur de la revue Nouvelles techniques de communication et nouveaux liens sociaux, nous sommes dans la société de l’information et de la communication, comme si informer et communiquer n’étaient pas des caractéristiques consubstantielles à toute société et aux hommes en tant que tels. Il est donc, important d’obtenir un large spectre de donnés afin, d’informer et de divulguer les résultats des phénomènes importants qui impliquent de près ou de loin la société.

    Par ailleurs, les recherches, dans ces disciplines, permettent l’avancement des connaissances, car elles tentent toujours d’expliquer des phénomènes récents. Ainsi, les recherches visent l’acquisition de connaissances et le développement de savoirs sur le monde, sur la communication et vise l’acquisition objective de connaissances et le développement de savoirs sur le monde. Nous pouvons voir ce phénomène en regardant simplement aux réseaux sociaux. Les médias ont énormément accru la quantité des connaissances que les groupes sociaux ont les uns des autres, mais ils ont également rendu tout contact réel superflu. (R. Sennett, dans Nouvelles techniques de communication et nouveaux liens sociaux)

    Le mémoire que j’ai choisi a été écrit par Laura Bergamo. En 2017, elle écrit son mémoire : Communication de crise et systèmes d’alerte socionumériques : de nouveaux outils pour répondre aux attentes des publics en situation de crise? Les débuts de l’utilisation des médias socionumériques sont illustrés dans ce mémoire. Il porte sur les points tournants de l’appropriation des médias socionumériques par les divers publics. De plus, son mémoire montre les enjeux et les limites de l’utilisation du Safety Check (systèmes d’alerte socionumériques en situation de crise). Il illustre que les médias en question sont essentiels pendant la crise, mais également tout au long du processus et après la crise.

    http://www.archipel.uqam.ca/id/eprint/10870

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  24. La recherche scientifique en sciences sociales permet d’étudier les humains et la société dans leurs activités, leurs comportements, leurs intentions, leur évolution, etc. Ces sciences ne font pas partie des sciences dites exactes ou naturelles, car elles étudient des objets dépendant de la culture des humains qui les analysent. Certaines personnes doutent donc de l’objectivité de ces recherches. Cependant, cette objectivité peut difficilement être mise en doute lorsqu’une recherche s’appuie sur une démarche scientifique reconnue. C’est, entre autres, en prenant conscience de leurs propres limites et en refusant l’absolu préalable, que les chercheurs arrivent à atteindre l’objectivité.

    Les résultats des recherches en sciences sociales permettent alors l’avancement des connaissances en relations publiques par le fait que les professionnels dans ce domaine agissent comme intermédiaires entre leur organisation et leurs publics. Ils doivent donc influencer certaines décisions, identifier les enjeux sociaux et définir les responsabilités sociales de leur organisation. Pour ce faire, ils doivent bien comprendre ces enjeux et les attentes de leurs publics. C’est alors que les recherches en sciences sociales leur permettent de baser leurs réflexions et leurs futurs projets sur des états de fait concernant la société qui entoure leur organisation.

    L’étude « Communication organisationnelle digitale : une analyse configurationnelle des motivations d’adoption des systèmes d’écrans à affichage dynamique » faite par Youssouph Coulibaly en 2017 s’intéresse aux motivations d’adoption des systèmes EAD pour les besoins de communication organisationnelle. Cette étude comporte trois objectifs. Le premier est d’identifier les principales motivations poussant les organisations à adopter cette technologie. Le deuxième est de découvrir les profils typiques de ces motivations afin de caractériser les organisations qui en font preuve. Le troisième est de déterminer si ces motivations sont influencées par certaines caractéristiques propres aux organisations étudiées. Les résultats de cette étude permettent alors aux gestionnaires de mieux comprendre les motivations d’obtention de systèmes EAD et aux fournisseurs de mieux connaître les besoins de leurs clientèles cibles.

    Cliquer pour accéder à M15232.pdf

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  25. La recherche scientifique en sciences sociales permet d’étudier les humains et la société dans leurs activités, leurs comportements, leurs intentions, leur évolution, etc. Ces sciences ne font pas partie des sciences dites exactes ou naturelles, car elles étudient des objets dépendant de la culture des humains qui les analysent. Certaines personnes doutent donc de l’objectivité de ces recherches. Cependant, cette objectivité peut difficilement être mise en doute lorsqu’une recherche s’appuie sur une démarche scientifique reconnue. C’est, entre autres, en prenant conscience de leurs propres limites et en refusant l’absolu préalable, que les chercheurs arrivent à atteindre l’objectivité.
    Les résultats des recherches en sciences sociales permettent alors l’avancement des connaissances en relations publiques par le fait que les professionnels dans ce domaine agissent comme intermédiaires entre leur organisation et leurs publics. Ils doivent donc influencer certaines décisions, identifier les enjeux sociaux et définir les responsabilités sociales de leur organisation. Pour ce faire, ils doivent bien comprendre ces enjeux et les attentes de leurs publics. C’est alors que les recherches en sciences sociales leur permettent de baser leurs réflexions et leurs futurs projets sur des états de fait concernant la société qui entoure leur organisation.
    L’étude « Communication organisationnelle digitale : une analyse configurationnelle des motivations d’adoption des systèmes d’écrans à affichage dynamique » faite par Youssouph Coulibaly en 2017 s’intéresse aux motivations d’adoption des systèmes EAD pour les besoins de communication organisationnelle. Cette étude comporte trois objectifs. Le premier est d’identifier les principales motivations poussant les organisations à adopter cette technologie. Le deuxième est de découvrir les profils typiques de ces motivations afin de caractériser les organisations qui en font preuve. Le troisième est de déterminer si ces motivations sont influencées par certaines caractéristiques propres aux organisations étudiées. Les résultats de cette étude permettent alors aux gestionnaires de mieux comprendre les motivations d’obtention de systèmes EAD et aux fournisseurs de mieux connaître les besoins de leurs clientèles cibles.

    Cliquer pour accéder à M15232.pdf

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  26. Bianca Dri

     /  11 février 2018

    Les relations publiques, faisant partie des sciences sociales, présentent une part d’incertitude et de variabilité, reliées au fait que contrairement aux sciences de la nature, les sciences sociales ont pour objet d’étude les phénomènes humains et leurs interactions sociales. D’abord, la démarche scientifique reconnue fait en sorte que les recherches en sciences sociales ne soient pas basées sur des croyances et intuitions, mais sur un raisonnement logique, de même que sur des faits. Les recherches scientifiques permettent de suivre le caractère extrêmement changeant des humains (et donc de leurs relations et leurs communications). Les résultats d’une recherche scientifique permettent de suivre avec clarté, objectivité et assurance la variabilité du caractère humain. En résumé, les résultats d’une recherche scientifique contribuent à l’avancement des connaissances en relations publiques par le fait qu’ils amènent une meilleure compréhension des phénomènes humains et de leurs interactions, objets des communications. Les recherches scientifiques permettent donc aux relationnistes, en constante interactions avec les autres, d’être à l’affût des dernières avancées dans leur domaine.

    Ensuite, dans le même ordre d’idées, les résultats provenant d’une recherche scientifique contribuent à l’avancement des connaissances en relations publiques puisqu’ils amènent quelque chose de tangible, qui agit comme preuve pour les différentes organisations afin de démontrer la pertinence des communications. Les résultats d’une recherche scientifique permettent de mieux outiller une entreprise dans l’atteinte de ses objectifs. Ces résultats contribuent à faire en sorte qu’une organisation connaisse mieux ses publics. Elle peut alors mieux interagir avec eux. En bref, les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales agissent à titre de référence dans toutes les actions pouvant être entreprises par les communications. Ils ajoutent un facteur de crédibilité auprès des dirigeants.

    L’article scientifique choisi s’intitule La relation de confiance en relation publiques : vers un modèle d’adéquation contextuelle optimale, rédigé par Anne-Marie Gagné et Pierre Mongeau. L’article présente la recherche de type qualitatif qui a été conduite à propos de la relation de confiance entre un relationniste et ses parties prenantes. Le mode de collecte de données choisi pour cette recherche a été l’entrevue semi-dirigée. Les deux chercheurs proposent d’abord l’hypothèse selon laquelle il existerait un modèle d’évolution procédural de la confiance, en présentant les différents stades par lesquels peuvent passer la confiance. La recherche a finalement permis de faire comprendre aux chercheurs que la relation de confiance entre un relationniste et ses parties prenantes ne se construit pas tout à fait de façon procédurale, tel que cru initialement.

    Cliquer pour accéder à Gagn%C3%A9%2C%20Mongeau%20%282011%29.pdf

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  27. D’une part, selon le SCRP, les relations publiques relèvent de la gestion des relations entre une entreprise et ses multiples publics par le biais de la communication, dans le but d’arriver à « une compréhension mutuelle, de réaliser des objectifs organisationnels et de servir l’intérêt public. » D’autre part, les sciences sociales représentent l’ensemble de plusieurs disciplines qui analyse les comportements humains et la société. Ainsi, les relations publiques et les sciences sociales sont intimement liées puisque ce sont deux domaines complémentaires. En effet, le domaine des relations publiques est en constante évolution et il est important de faire des recherches scientifiques afin de rester à l’affut.

    Les recherches scientifiques contribuent à l’avancement des connaissances dans notre discipline car elles permettent l’acquisition de connaissances, le développement de savoirs et la compréhension de certains phénomènes. Grâce à ses recherches, les relationnistes sont donc en mesure d’avancer des données fiables et objectives aux organisations qui réclament leurs services. Ainsi, lorsque ceux-ci devront élaborer une stratégie en relation publiques, ils auront les outils et les données nécessaires à l’élaboration de cette dernière grâce aux informations qu’ils auront recueillies sur les public cibles, l’environnement, les comportements et la société en mouvance.

    Pour ma part, j’ai sélectionné le mémoire de Julie Bouliane de l’Université du Québec à Montréal. Ce dernier porte sur l’utilisation de Facebook pour réaliser des projets d’équipe tant à l’université que dans le domaine professionnel et les problématiques qui peuvent en découler. Elle fait surtout référence aux différentes normes d’utilisation de ce réseau social qui diffère chez certains individus. En effet, plusieurs l’utilisent à des fins uniquement professionnelles et d’autre utilisent cette plateforme pour y divulguer des informations assez personnelles. Elle a donc fait des recherches dans le milieu universitaires et professionnelles par le biais d’entretiens semi-dirigés pour connaître les impacts d’utilisation de Facebook dans ces situations bien précises.

    http://www.archipel.uqam.ca/10791/

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  28. Frédérique Lorrain

     /  11 février 2018

    Pour commencer, la recherche scientifique permet de dépasser le sens commun. Elle permet en effet de chiffrer, de comprendre et d’analyser certains phénomènes qui apparaissent au sein de notre société ou qui démontrent certains changements. Même si un phénomène X est observé, cela ne veut pas dire qu’il est généralisable. On utilise donc la recherche scientifique pour venir confirmer ou infirmer des théories et pouvoir dire ensuite si l’on peut ajouter cette dite théorie à notre champ de connaissances. En effet, c’est en analysant les résultats d’une recherche que l’on peut se rendre compte de l’exactitude d’une corrélation entre deux ou plusieurs variables, le but étant d’obtenir des données chiffrées exactes et valides.

    Par ailleurs, une fois les résultats de recherche analysés, il sera possible d’utiliser ces résultats comme base à d’autres recherches. Comme ils auront été qualifiés de valides et fiables, ils peuvent servir de source à d’autres projets de recherche, ou encore être le début d’une piste hypothétique sur un phénomène lié à celui préalablement étudié. Ces nouvelles recherches permettront de valider de nouvelles hypothèses, qui seront à leur tour la source d’inspiration d’autres projets. Ainsi, une étude en amenant une autre, il est possible, grâce à la recherche scientifique, de générer de nouvelles connaissances qui, rappelons-le, permettront de développer différents produits ou de trouver certaines solutions auxquelles nous pouvons faire face.

    La thèse que j’ai choisi est une étude de cas portant sur les processus communicationnels de la SAQ en gestion de crise. On s’intéresse ici à la manière dont les processus communicationnels sont mis en place et utilisés dans une situation de gestion de crise. Au cours de l’étude du dossier, les chercheurs ont infirmé leur hypothèse, qui supposait une augmentation de la sollicitation des processus communicationnels et qu’une crise ne viendrait pas changer la structure de ces processus. C’est finalement le contraire qui a été constaté: la sollicitation des processus n’a pas augmenté et leur structure s’est vue modifiée au courant de la crise.

    http://www.archipel.uqam.ca/4467/

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  29. La recherche scientifique est un processus très important ayant souvent comme objectif d’atteindre de nouvelle connaissance et de développer un savoir sur un sujet donné. Les relations publiques, faisant partie des sciences sociales, sont une discipline ou la recherche est un élément-clé. En effet, ce domaine est en perpétuel changement et nécessite donc une évolution constante des connaissances concernant divers sujets. La recherche devient donc essentielle en relations publiques, même si des fois, elle est négligée. Évidemment, cette importance se traduit aussi dans le domaine des relations publiques, mais aussi plusieurs autres sujets des sciences sociales tels que l’anthropologie, les sciences politiques, la linguistique et même la politique sociale.

    Un autre objectif important de la recherche scientifique est d’acquérir des connaissances, mais surtout des qui sont objectives (donc qui décrit des faits sans opinion ou jugement). L’objectivité est de mise dans le domaine des relations publiques. Avec l’avènement des médias sociaux et de la propagation rapide de l’information, nous voulons nous assurer que l’information est toujours la plus objective et véridique possible. Alors, ce désir d’objectivité est une autre preuve que les sciences sociales ont besoin d’une recherche scientifique dans le processus de la recherche d’informations.

    J’ai choisi la thèse de Mathieu-Joel Gervais publié en 2017. Dans la thèse « Les relations chercheurs-practiciens comme déterminant de l’utilisation des connaissances issues des recherches: étude dans le domaine des sciences humaines et sociales» l’auteur tente de comprendre le rôle de chacun des postes et d’expliquer plus en profondeur les connaissances récoltées des recherches en sciences humaines et sociales. La thèse aborde aussi d’autres sujets tels que la divergence entre les données récoltés suite à des recherches en science sociale comparé à celles qui sont réellement utilisées. Par contre, la relation chercheur et praticien et son influence sur la recherche est vraiment au coeur de ce texte.

    http://www.archipel.uqam.ca/10872/

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  30. La recherche scientifique est un processus très important ayant souvent comme objectif d’atteindre de nouvelle connaissance et de développer un savoir sur un sujet donné. Les relations publiques, faisant partie des sciences sociales, sont une discipline ou la recherche est un élément-clé. En effet, ce domaine est en perpétuel changement et nécessite donc une évolution constante des connaissances concernant divers sujets. La recherche devient donc essentielle en relations publiques, même si des fois, elle est négligée. Évidemment, cette importance se traduit aussi dans le domaine des relations publiques, mais aussi plusieurs autres sujets des sciences sociales tels que l’anthropologie, les sciences politiques, la linguistique et même la politique sociale.

    Un autre objectif important de la recherche scientifique est d’acquérir des connaissances, mais surtout des qui sont objectives (donc qui décrit des faits sans opinion ou jugement). L’objectivité est de mise dans le domaine des relations publiques. Avec l’avènement des médias sociaux et de la propagation rapide de l’information, nous voulons nous assurer que l’information est toujours la plus objective et véridique possible. Alors, ce désir d’objectivité est une autre preuve que les sciences sociales ont besoin d’une recherche scientifique dans le processus de la recherche d’informations.

    J’ai choisi la thèse de Mathieu-Joel Gervais publié en 2017. Dans la thèse « Les relations chercheurs-practiciens comme déterminant de l’utilisation des connaissances issues des recherches: étude dans le domaine des sciences humaines et sociales» l’auteur tente de comprendre le rôle de chacun des postes et d’expliquer plus en profondeur les connaissances récoltées des recherches en sciences humaines et sociales. La thèse aborde aussi d’autres sujets tels que la divergence entre les données récoltés suite à des recherches en science sociale comparé à celles qui sont réellement utilisées. Par contre, la relation chercheur et praticien et son influence sur la recherche est vraiment au coeur de ce texte.

    http://www.archipel.uqam.ca/10872/

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  31. La recherche scientifique est un processus très important ayant souvent comme objectif d’atteindre de nouvelle connaissance et de développer un savoir sur un sujet donné. Les relations publiques, faisant partie des sciences sociales, sont une discipline ou la recherche est un élément-clé. En effet, ce domaine est en perpétuel changement et nécessite donc une évolution constante des connaissances concernant divers sujets. La recherche devient donc essentielle en relations publiques, même si des fois, elle est négligée. Évidemment, cette importance se traduit aussi dans le domaine des relations publiques, mais aussi plusieurs autres sujets des sciences sociales tels que l’anthropologie, les sciences politiques, la linguistique et même la politique sociale.

    Un autre objectif important de la recherche scientifique est d’acquérir des connaissances, mais surtout des qui sont objectives (donc qui décrit des faits sans opinion ou jugement). L’objectivité est de mise dans le domaine des relations publiques. Avec l’avènement des médias sociaux et de la propagation rapide de l’information, nous voulons nous assurer que l’information est toujours la plus objective et véridique possible. Alors, ce désir d’objectivité est une autre preuve que les sciences sociales ont besoin d’une recherche scientifique dans le processus de la recherche d’informations.

    J’ai choisi la thèse de Mathieu-Joel Gervais publié en 2017. Dans la thèse « Les relations chercheurs-practiciens comme déterminant de l’utilisation des connaissances issues des recherches: étude dans le domaine des sciences humaines et sociales» l’auteur tente de comprendre le rôle de chacun des postes et d’expliquer plus en profondeur les connaissances récoltées des recherches en sciences humaines et sociales. La thèse aborde aussi d’autres sujets tels que la divergence entre les données récoltés suite à des recherches en science sociale comparé à celles qui sont réellement utilisées. Par contre, la relation chercheur et praticien et son influence sur la recherche est vraiment au coeur de ce texte. .

    http://www.archipel.uqam.ca/10872/

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  32. Annabelle Pouliot

     /  11 février 2018

    Les sciences sociales sont des études qui analysent principalement les réactions et les comportements des êtres humains en rapport avec la société. Les relations publiques, elles, agissent comme gestionnaires des relations entre les publics et son organisation. Elles comportent aussi un ensemble méthodes pour créer des liens et donc assurer une bonne communication et une bonne relation entre ceux-ci. La société ne cesse d’ évoluer et les résultats des recherches en sciences sociales aident à faire évoluer les campagnes de relations publique dans le même sens.

    En relations publiques, les actions et stratégies sont établies selon des données recueillies dans la société. Vous comprendrez donc que c’est données n’existeraient certainement pas sans les recherches en sciences sociales. En se servant d’une méthode de recherche scientifique reconnue, les chercheurs en sciences sociales s’assure de fournir des données fondées en effectuant plusieurs études sur le publics et en suivant plusieurs règles d’objectivité et de liberté d’expression : des sondages, des entrevues semi-dirigée, focus group, etc. Le chercheur qui effectue les recherche, s’assure donc de faire ressortir les éléments importants du sondage ou de l’entrevue pour préciser les résultats obtenus préalablement lors de ses recherches. Ces résultats seront donc utilisé par le relationniste lors de ses campagnes pour lui permettre de mieux cibler les besoins et les demandes de ses publics. C’est pourquoi, les relations publiques et les résultats des recherches en sciences sociales sont complémentaire et s’enrichissent en suivant l’évolution de la société.

    Le mémoire que j’ai choisi dans le cadre du travail est celle de Laura Bergamo. Écrit en 2017, ce mémoire s’intitulant Communication de crise et système d’alerte socionumériques : De nouveaux outils pour répondre aux attentes des publics en situation de crise ? L’auteur aborde dans son mémoire l’évolution des plateformes socionumériques dans la société et explique de quelle façon les publics se sont adapté et accommodés à l’utilisation de ceux-ci à la suite des attentats de Paris survenus en 2015. Bergamo explique entre autre ce que sont, et à quoi servent les systèmes d’alertes socionumériques tel le Safety Check, dans une situation de crise sociale. Comme tout systèmes, celui-ci comporte plusieurs limites d’utilisation, attentes des organismes de secours et impacts sur les publics, et ceux-ci sont très bien étudiés et définis dans le mémoire.

    Cliquer pour accéder à M15372.pdf

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  33. Rosemarie Gilbert

     /  11 février 2018

    C’est sans aucun doute : les résultats de recherches scientifiques dans le champ des sciences sociales apportent une plus-value au développement des connaissances dans le domaine des communications ainsi que dans le domaine des relations publiques; si, évidemment, les recherches sont faites en utilisant une démarche scientifique reconnue.

    Effectivement, si une ou des recherche(s) sont faites dans les domaines des communications et des relations publiques et que celles-ci suivent la démarche de la recherche scientifique (étudiée par des auteurs comme Bonneville, Grosjean et Lagacé), les résultats obtenus ne peuvent qu’être pertinents et valables. C’est pourquoi, les professionnels des relations publiques et des communications peuvent se fier et se baser à ces résultats de recherches pour approfondir leurs connaissances et/ou pour travailler sur d’autres projets de recherche; les connaissances acquises peuvent donc être approfondies et extrapolées.

    Sur la base d’archives Archipel de l’Université du Québec à Montréal, un travail de recherche de Danielle Lavoie (2009) à particulièrement attiré mon attention : «Relations publiques et développement durable : étude de cas des projets de dérivation partielle des rivières Portneuf et du Sault aux Cochons par Hydro-Québec» [Mémoire. Montréal (Québec, Canada), Université du Québec à Montréal, Maîtrise en communication.] Ce mémoire se veut être un travail de recherche fait à partir d’une étude de cas. Le cas dont il est question ici est en lien avec des projets de la société d’État qu’est Hydro-Québec, le développement durable, les parties prenantes, les modèles de relations publiques et la responsabilité sociale. Tous ces éléments sont mis en connexions et analysés à travers ce mémoire à l’aide d’une hypothèse qui est analysée et confirmée à travers le mémoire.

    http://www.archipel.uqam.ca/2321/

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  34. Marie-Pier Leboeuf

     /  11 février 2018

    Élaborer un plan de communication ou une campagne de relations publiques demande bien souvent une recherche au préalable, ne serait-ce que pour rester à l’affut des tendances sociétales qui évoluent rapidement. Bien connaître ses publics est capital pour savoir à qui l’on s’adresse, mais il est important également de comprendre certains facteurs sociaux et certains enjeux, par exemple, qui vont directement ou indirectement avoir une influence sur nos publics et sur notre entreprise afin d’être en mesure de bien se positionner. En d’autres termes, la recherche scientifique permet de comprendre et d’expliquer certains phénomènes, tout comme elle permet de résoudre certains problèmes spécifiques auxquels une société ou certains individus pourraient être confrontés. Prenons l’exemple d’une recherche qui porterait sur l’influence qu’ont les médias sociaux chez les adolescents. Certes, pour une entreprise qui s’adresse à ces jeunes, cette recherche offrira la possibilité de mieux structurer sa façon d’aborder les adolescents via les réseaux sociaux afin de les rejoindre plus facilement.

    À titre de relationniste, voire même dans le domaine des communications en général, nous sommes dépendants des données d’une recherche puisqu’elles sont inter-reliés avec notre façon de communiquer. La recherche scientifique, c’est d’ailleurs ce qui promet à une entreprise d’être constamment en croissance en permettant de concrètement améliorer les choses et d’évoluer avec la société. De ce fait, la recherche est plus souvent qu’autrement un investissement nécessaire puisqu’il faut prendre des moyens efficaces pour garder l’organisation bien ancrée dans le temps et dans l’espace, notamment en relations publiques. Les retombées sociales varieront selon l’objet de recherche initial, mais chaque recherche permettra d’acquérir des connaissances au terme d’un processus rigoureux et très méthodique. Ces connaissances fiables et crédibles, destinées à la reproduction, sont d’une grande utilité, que ce soit pour adapter le message communicationnel selon des données vérifiables afin de mieux atteindre ses publics par exemple.

    La thèse écrite par Mathieu-Joël Gervais, un étudiant au Doctorat en psychologie à l’Université du Québec, illustre très bien les propos ci-haut. Elle s’intitule «Les relations chercheurs-praticiens comme déterminant de l’utilisation des connaissances issues des recherches : étude dans le domaine des sciences humaines et sociales » (2017). Ce texte met en évidence l’écart actuel entre la recherche accrue, soit la production de données, versus l’utilisation moindre de ces connaissances. La relation entre les chercheurs et les praticiens s’agirait d’un facteur important pouvant jouer sur l’utilisation des données issues des recherches puisque ces relations favorisent l’accès, la crédibilité et la compréhension des connaissances. L’auteur nous démontre, par le fait même, l’importance du partage de ces connaissances en sciences humaines et sociales pour la société.

    http://www.archipel.uqam.ca/10872/

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  35. Élaborer un plan de communication ou une campagne de relations publiques demande bien souvent une recherche au préalable, ne serait-ce que pour rester à l’affut des tendances sociétales qui évoluent rapidement. Bien connaître ses publics est capital pour savoir à qui l’on s’adresse, mais il est important également de comprendre certains facteurs sociaux et certains enjeux, par exemple, qui vont directement ou indirectement avoir une influence sur nos publics et sur notre entreprise afin d’être en mesure de bien se positionner. En d’autres termes, la recherche scientifique permet de comprendre et d’expliquer certains phénomènes, tout comme elle permet de résoudre certains problèmes spécifiques auxquels une société ou certains individus pourraient être confrontés. Prenons l’exemple d’une recherche qui porterait sur l’influence qu’ont les médias sociaux chez les adolescents. Certes, pour une entreprise qui s’adresse à ces jeunes, cette recherche offrira la possibilité de mieux structurer sa façon d’aborder les adolescents via les réseaux sociaux afin de les rejoindre plus facilement.

    À titre de relationniste, voire même dans le domaine des communications en général, nous sommes dépendants des données d’une recherche puisqu’elles sont inter-reliés avec notre façon de communiquer. La recherche scientifique, c’est d’ailleurs ce qui promet à une entreprise d’être constamment en croissance en permettant de concrètement améliorer les choses et d’évoluer avec la société. De ce fait, la recherche est plus souvent qu’autrement un investissement nécessaire puisqu’il faut prendre des moyens efficaces pour garder l’organisation bien ancrée dans le temps et dans l’espace, notamment en relations publiques. Les retombées sociales varieront selon l’objet de recherche initial, mais chaque recherche permettra d’acquérir des connaissances au terme d’un processus rigoureux et très méthodique. Ces connaissances fiables et crédibles, destinées à la reproduction, sont d’une grande utilité, que ce soit pour adapter le message communicationnel selon des données vérifiables afin de mieux atteindre ses publics par exemple.

    La thèse écrite par Mathieu-Joël Gervais, un étudiant au Doctorat en psychologie à l’Université du Québec, illustre très bien les propos ci-haut. Elle s’intitule «Les relations chercheurs-praticiens comme déterminant de l’utilisation des connaissances issues des recherches : étude dans le domaine des sciences humaines et sociales » (2017). Ce texte met en évidence l’écart actuel entre la recherche accrue, soit la production de données, versus l’utilisation moindre de ces connaissances. La relation entre les chercheurs et les praticiens s’agirait d’un facteur important pouvant jouer sur l’utilisation des données issues des recherches puisque ces relations favorisent l’accès, la crédibilité et la compréhension des connaissances. L’auteur nous démontre, par le fait même, l’importance du partage de ces connaissances en sciences humaines et sociales pour la société.

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  36. Marie-Pier Leboeuf

     /  11 février 2018

    BLOGUE

    Élaborer un plan de communication ou une campagne de relations publiques demande bien souvent une recherche au préalable, ne serait-ce que pour rester à l’affut des tendances sociétales qui évoluent rapidement. Bien connaître ses publics est capital pour savoir à qui l’on s’adresse, mais il est important également de comprendre certains facteurs sociaux et certains enjeux, par exemple, qui vont directement ou indirectement avoir une influence sur nos publics et sur notre entreprise afin d’être en mesure de bien se positionner. En d’autres termes, la recherche scientifique permet de comprendre et d’expliquer certains phénomènes, tout comme elle permet de résoudre certains problèmes spécifiques auxquels une société ou certains individus pourraient être confrontés. Prenons l’exemple d’une recherche qui porterait sur l’influence qu’ont les médias sociaux chez les adolescents. Certes, pour une entreprise qui s’adresse à ces jeunes, cette recherche offrira la possibilité de mieux structurer sa façon d’aborder les adolescents via les réseaux sociaux afin de les rejoindre plus facilement.

    À titre de relationniste, voire même dans le domaine des communications en général, nous sommes dépendants des données d’une recherche puisqu’elles sont inter-reliés avec notre façon de communiquer. La recherche scientifique, c’est d’ailleurs ce qui promet à une entreprise d’être constamment en croissance en permettant de concrètement améliorer les choses et d’évoluer avec la société. De ce fait, la recherche est plus souvent qu’autrement un investissement nécessaire puisqu’il faut prendre des moyens efficaces pour garder l’organisation bien ancrée dans le temps et dans l’espace, notamment en relations publiques. Les retombées sociales varieront selon l’objet de recherche initial, mais chaque recherche permettra d’acquérir des connaissances au terme d’un processus rigoureux et très méthodique. Ces connaissances fiables et crédibles, destinées à la reproduction, sont d’une grande utilité, que ce soit pour adapter le message communicationnel selon des données vérifiables afin de mieux atteindre ses publics par exemple.

    La thèse écrite par Mathieu-Joël Gervais, un étudiant au Doctorat en psychologie à l’Université du Québec, illustre très bien les propos ci-haut. Elle s’intitule «Les relations chercheurs-praticiens comme déterminant de l’utilisation des connaissances issues des recherches : étude dans le domaine des sciences humaines et sociales » (2017). Ce texte met en évidence l’écart actuel entre la recherche accrue, soit la production de données, versus l’utilisation moindre de ces connaissances. La relation entre les chercheurs et les praticiens s’agirait d’un facteur important pouvant jouer sur l’utilisation des données issues des recherches puisque ces relations favorisent l’accès, la crédibilité et la compréhension des connaissances. L’auteur nous démontre, par le fait même, l’importance du partage de ces connaissances en sciences humaines et sociales pour la société.

    http://www.archipel.uqam.ca/10872/

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  37. Camille Vaillancourt

     /  11 février 2018

    La communication est un domaine en constante évolution possédant une quantité énorme d’ouvertures de sujets. En relation publique, la communication est composée notamment de méthodes et de techniques qui sont utilisées par des compagnies ou par la société. Généralement, la communication informe diverses situations à l’interne comme à l’externe. Dans ce milieu, il existe plusieurs types de recherches, notamment la recherche scientifique en sciences sociales. Cette recherche consiste à fournir des explications sur le monde et produire des résultats qui sont à la fois fiables et valides pour de futures recherches. Cependant, puisque la technologie évolue, la divulgation des informations se fait de plus en plus facilement. Les résultats doivent donc être bien véhiculés pour servir efficacement pour une recherche future, et si ce sont les résultats qui sont utilisés pour une recherche ils doivent être vérifiés et bien analysés avant de les utiliser.

    Ces résultats de recherche sont utiles à plusieurs niveaux. En effet, ils aident les chercheurs à répondre et à réagir plus efficacement à une situation donnée. Le pourquoi de la situation sera expliqué et la manière d’y remédier permettra aux chercheurs de savoir quoi faire et comment réagir à une situation comme celle-ci. De plus, les résultats pousseront à infirmer ou confirmer une hypothèse qui a été faite au tout début. L’évolution de cette hypothèse ne serait possible sans cette recherche. Les connaissances se développent aussi lorsque qu’elles sont analysées et en lien avec des expériences.

    J’ai sélectionné une recherche sur une étude de cas faite par François Moulin-Langevin tout récemment, en Janvier 2018. Son étude porte sur la communication et les rapports interculturels en gestion. Pour faire un résumé, son étude porte sur des travailleurs étrangers étant engagés par des employeurs québécois dans des petites et moyennes entreprises pour un emploi à temps partiel. Il appuie que les communications et la gestion de ses entreprises se ferait mieux avec la connaissance des diversités culturelles. C’est par la suite qu’il explique les moyens utilisés afin d’augmenter les connaissances des employeurs par le biais d’analyses, d’expériences vécues et d’attitudes envers les employés. Les lacunes ressorties, à l’aide de théories, porteront spécifiquement sur leurs faiblesses de communication et leurs rapports vis à vis la diversité culturelle des employés.

    http://www.archipel.uqam.ca/10808/

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  38. L’étymologie du mot « science » vient du latin « scientia » qui désigne l’ensemble des connaissances d’un sujet donné. Dès lors, les sciences dites sociales relèvent de phénomènes s’expliquant par des comportements humains. À l’inverse des mathématiques, de la physique et de la chimie, le savoir social est en constante évolution. Son évolution s’effectue de plus en plus rapidement grâce aux avancées technologiques, qui viennent parfois discréditer les connaissances d’hier. C’est pourquoi la recherche des sciences sociales est un outil indispensable à l’enrichissement de nos connaissances actuelles sur des sujets ayant été peu ou pas abordés. Elle est d’autant plus importante dans le domaine des communications puisque les résultats permettent d’évaluer l’impact que certaines stratégies peuvent avoir dans la sphère publique

    Peu importe la nature d’un travail dans le domaine des communications, il existe un élément récurent: le public cible. La recherche scientifique permet de collecter des données qui, par la suite, nous éclairent sur le consommateur, que ce soit sa manière de penser, la perspection qu’il a d’une entreprise ou d’un produit, son comportement dans diverses situations, etc. Ce sont ces informations qui définissent une stratégie communicationnelle et permettent de cibler une niche particulière. Par ailleurs, de certains résultats se dégagent certains comportements sociaux communs. Par exemple, en marketing elle permet de démontrer l’importance de certains éléments afin de réaliser une activation de commandite gagnante.

    Le mémoire de Cassandra Godin-Bergeron, « Étude du marketing de contenu et de son influence sur les comportements d’engagement des consommateurs », présente une recherche scientifique sur le marketing de contenu et sa place de plus en plus nécessaire dans la stratégie de communication des entreprises. Ce texte avait comme objectif d’approfondir la compréhension du marketing de contenu dans un processus stratégique d’activation de commandites ainsi que de déterminer les comportements d’engagement des consommateurs, numérique et réel, par apport au degré de pertinence d’une publication Facebook partagée par une entreprise sur sa page. Les résultats ont permis de confirmer que la pertinence d’une publication est influencée par son contenu.

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  39. Tania Salembier

     /  11 février 2018

    Les recherches en sciences sociales sont absolument nécessaires à l’évolution des connaissances dans le domaine des relations publiques et des communications, car elles s’intéressent à tout ce qui touche à l’humain et à son comportement. Il est logique de dire que les recherches en sciences sociales sont un atout aux relations publiques puisqu’il s’agit d’une discipline sociale. En effet, selon la SCRP, « les relations publiques consistent en la gestion des relations entre une organisation et ses divers publics par l’entremise de la communication afin d’atteindre une compréhension mutuelle […] ». Les savoirs acquis par l’entremise des résultats de ces recherches permettent aux relationnistes d’être mieux informés et surtout outillés pour comprendre, répondre et anticiper les besoins des groupes et des publics. La recherche en sciences sociales est à considérer comme un besoin de toutes les minutes, car ce domaine est en constante évolution en raison de la place occupée par l’humain en tant que sujet central.

    De ces faits, il est possible d’enchaîner en mentionnant combien les recherches scientifiques effectuées dans ce domaine sont non seulement utile à la compréhension générale, mais également dans les stratégies mises en pratique dans le quotidien des relationnistes. En effet, il n’est pas rare de voir les relationnistes utiliser des sondages et des groupes focus afin de mieux comprendre et communiquer avec son public. Le relationniste possède différentes méthodes pour analyser les composantes sociales de son public, comme l’environnement politique, légal, économique, etc. Les recherches permettent de donner des méthodes, mais surtout des connaissances qui vont du micro au macro-environnement. De la même manière, il est possible d’envisager la communication à partir des différentes théories qui ont émergées de recherches en communications. Un relationniste qui fait appel à des influenceurs est un relationniste qui connaît les recherches sur la théorie de la communication à deux étages et les diverses recherches sur les influenceurs, il est influencé par ces connaissances et résultats. Il tente de s’adapter aux tendances des nouveaux médias tout en s’efforçant de multiplier les idées et les manières de comprendre et d’atteindre les publics. Il va donc sans dire que les recherches sont nécessaires à l’évolution des connaissances et des façons de faire, les chercheurs et les agents de communication ont, de ce fait, un lien étroit à conserver face à l’évolution sociale fulgurante.

    Pour accompagner ces idées, le mémoire choisit est celui d’Alexandre Provencher et il s’intitule « Vers une approche sociale ou managériale des relations publiques : le cas du printemps érable ». Ce mémoire se base sur une analyse de contenu de la grève étudiante de 2012 afin de questionner la coupure communicationnelle par l’absence d’une définition consensuelle des relations publiques. Il y est dit qu’il existe deux approches théoriques soit l’approche managériale et l’approche sociale, et de ces deux approches découlent trois modèles soit le modèle social, le modèle de la communication bidirectionnelle symétrique et le modèle managérial. En bref, dans son analyse, il rappelle que les relations publiques sont stratégiques et contextualisées. L’application des théories peut être difficile, il propose donc des pistes de réflexions sur les théories en relations publiques et la manière de les repenser.

    Cliquer pour accéder à M13299.pdf

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  40. Luce Marchaison

     /  11 février 2018

    L’on peut dire de la recherche scientifique qu’elle cherche à dépasser le sens commun, soit à développer un savoir objectif par le biais de l’observation pour fournir des explications généralisables du monde ainsi qu’à produire des résultats valides et crédibles qui pourront être le fruit de recherches postérieures. En ce qui a trait plus particulièrement au domaine des relations publiques, elles sont un processus fondé sur de nombreuses aptitudes et connaissances qui nécessitent une compréhension pointue des besoins des organismes et de la diversité des publics, tout cela dans une société en mouvance. Ainsi, on peut comprendre que cette démarche construite d’une combinaison de savoirs et d’outils de communication se révèle être la formule pour former un relationniste expérimenté et averti.

    Une recherche approfondie et faite de manière consciencieuse va permettre d’établir une équation action-réaction adéquate au sein d’une organisation ou d’une entreprise. Grâce aux différentes méthodes et outils de recherche couramment utilisés; sondages, questionnaires, entrevues et groupes focus, le relationniste va être en mesure de prendre toutes les données qui ont été recueillies afin de déterminer des objectifs de communication spécifiques qui contribueront à l’amélioration, à la gestion et à l’orientation de problèmes qui surviennent ou de crises qui surgissent. De plus, il est essentiel de noter que la communication est centrale dans la démarche de relations publiques et que la tâche du relationniste se résume à construire un message particulier destiné à un public visé, et que ce dernier, durant des phases telles que l’élaboration d’une stratégie de recherche et l’analyse et l’interprétation des résultats, va tenter de déterminer les composantes et les variables susceptibles d’obstruer la portée du propos et l’efficacité du message. Ajoutons ici que l’on ne peut négliger l’impact des réseaux sociaux lorsqu’il est question de variables susceptibles d’altérer la portée du propos.

    À cet égard, la thèse que j’ai choisie s’intitule « Les perceptions de la vie privée des jeunes adultes liées à leurs pratiques et usages des réseaux socionumériques : le paradoxe de la vie privée revisité », écrite par Mary Jane Kwok Choon en 2016. On y analyse les rapports qu’entretiennent les jeunes adultes avec la notion de « vie privée » à partir de l’étude de leur usage quotidien des réseaux socionumériques; on y traite aussi des perceptions de la vie privée, qui sont altérées par les pratiques liées aux réseaux sociaux. On y observe aussi que les utilisateurs de Facebook ou de Twitter retirent ce qu’on appelle des bénéfices émotionnels en lien avec la notion de « rendement apparent » : ces jeunes adultes veulent accumuler de la reconnaissance intime (bonding) et du capital social (bridging) à travers leurs pratiques et échanges numériques. Les auteurs établissent ensuite qu’il y aurait une forme de « négociation » de la vie privée, oscillant entre l’exposition de soi et le fait de cacher certaines informations. Cette thèse met en évidence les différents facteurs qui façonnent ce paradoxe de l’image privée et publique et elle prouve la nécessité de se préoccuper de plusieurs dangers liés à la popularité des réseaux socionumériques. En conclusion, cette étude propose que l’on implante l’idée d’une éducation critique face aux médias, ceci même chez les adultes, vu la vitesse à laquelle ces sites se développent et considérant que la plupart des usagers n’ont, somme toute, que de faibles compétences techniques et peu de recul quant à la notion de vie privée.

    Hyperlien : http://www.archipel.uqam.ca/8933/

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  41. Andréanne Gagnon

     /  11 février 2018

    La recherche scientifique est un mode d’acquisition de connaissances qui comporte diverses étapes de réalisation, de la définition de l’objectif de recherche jusqu’à l’analyse des résultats. Elle nous permet de recueillir et de traiter des données qui propose une meilleure compréhension et explication d’un phénomène. La recherche, qu’elle soit quantitative, qualitative ou mixte, a pour fonction le développement de nouveaux savoirs et contribue au progrès de divers champs de la connaissance, dont celui des relations publiques. Les recherches effectuées doivent ensuite être diffusées afin de permettre le partage de ces avancées au sein de la société. La recherche scientifique constitue un moyen de former les individus à une meilleure compréhension du monde dans lequel nous évoluons et nécessite donc la diffusion de ses résultats.

    La société canadienne des relations publiques définit le secteur comme suit : « Les relations publiques consistent en la gestion des relations entre une organisation et ses divers publics par l’entremise de la communication, afin d’atteindre une compréhension mutuelle, de réaliser les objectifs organisationnels et de servir l’intérêt public. » Ainsi, les résultats des recherches effectuées dans le domaine des communications et des relations publiques, permettent aux organisations de mieux comprendre et cerner leurs publics dans le but d’anticiper leurs besoins. La transmission des résultats conduit à une meilleure évaluation des besoins des publics. À partir de ces résultats, il sera également possible d’élaborer des stratégies afin que les organisations se positionnent favorablement face à la concurrence, tout en accomplissant les divers objectifs définis par l’entreprise.

    Le mémoire sélectionné est celui de Sarah Morissette, finalisé en 2016, et intitulé « Les influenceurs dans le cadre d’une campagne de relations publiques sur les médias socionumériques : le cas de l’exposition Chihuly ; un univers à couper le souffle du Musée des Beaux Arts de Montréal ». Cette recherche porte sur la participation et l’engagement des influenceurs dans le cadre d’une campagne de relations publiques réalisée par le Musée des Beaux Arts de Montréal par l’entremise des médias socionumériques. Le cas à l’étude concerne la campagne réalisée dans le cadre de l’exposition de Dale Chihuly, un artiste du verre réalisant des œuvres installatives d’une singularité et d’une complexité spectaculaire. L’objectif de la recherche consiste à comprendre et analyser le comportement des influenceurs qui ont été approchés pour cette campagne et de ceux qui se sont naturellement appropriés le sujet, essentiellement via Twitter. Les résultats de l’analyse proposent de nouveaux outils de recherche et de collectes de données qui redéfinissent le modèle du Two step flow. Ces nouvelles données sont le résultat de nouveaux modes communicationnels instaurés par l’avènement du numérique et plus particulièrement des influenceurs.

    Cliquer pour accéder à M14385.pdf

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  42. Commentaire CO3106-20

    La recherche scientifique est utilisée par les professionnels afin de dépasser leur sens commun et de développer un savoir « objectif » dans le but de fournir des explications généralisables du monde. Si l’ont tien compte que l’objet d’étude des sciences sociales est lié aux activités et aux comportement des êtres humains, regroupant ainsi un grand nombre de domaine d’étude tel que la démographie, l’économie, la sociologie, le droit, les sciences politiques, les sciences de la communication, etc. Il est vrai de dire que les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales contribuent à l’avancement des connaissances ou à l’état du savoir dans la discipline des relations publiques et des communications en général puisque que cette discipline a pour nature la gestion des relations entre les entreprises et leurs différents publics.

    Le rôle de la recherche scientifique en relations publiques vise à faire l’analyse d’une situation, à définir une stratégie, à la mise en œuvre de cette dernière et, finalement à évaluer l’efficacité ou l’impact de la stratégie, dans un campagne de relations publiques par exemple. Il est évident que dans la société d’aujourd’hui, une société en mouvance, la recherche scientifique basé sur des méthodes reconnues est essentielle dans le travail du relationniste puisque celle-ci permet d’anticiper des réactions de ses différents publics et de s’ajuster à ceux-ci. Pour ce faire, le professionnel des communications peut se baser sur la recherche appliquée qui lui permet de trouver des solutions pratiques à des problèmes ou la recherche fondamentale qui lui permet d’accroitre sa connaissance du monde. La recherche scientifique permet au relationniste l’acquisition objective de connaissance et le développement de savoirs sur le monde et sur la communication par le biais de questions factuelles.

    La thèse que j’ai choisie est LA RELATION DE CONFIANCE EN RELATIONS PUBLIQUES : VERS UN MODÈELE D’ADÉQUATION CONTEXTUELLE OPTIMALE d’Anne-Marie Gagné, publié en 2012. La question de confiance est très importante dans le domaine des relations publique puisqu’elle est au cœur même de celle-ci. Par contre, l’auteur explique que les relationnistes sont mal perçus par le public. L’objectif de cette thèse est de développer un modèle théorique de la relation de confiance en relations publique dans le but de contribuer à la réflexion sur le rôle des professionnels en relations publiques. L’auteur explique qu’il y a absence de modèle de relation de confiance dans le domaine des relations publiques et tente de pallier ce manque par l’indentification d’éléments constitutifs qui permettent d’établir une relation de confiance entre les relationnistes et les parties prenantes en se basant sur différents modèles de la relation de confiance propres au disciplines connexes aux relations publiques tel que la sociologie, le marketing et la psychologie.

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  43. Maëlle Aeschimann (AESM04579708)

     /  11 février 2018

    La recherche est une étape primordiale à toute rédaction ou création de contenu. La recherche permet une vision éclairée, véridique, générale et objective du sujet en question. Par exemple, il serait insensé de participer à un tournoi de hockey sans avoir pratiqué ce sport auparavant. Il en est de même avec la recherche. Il est impensable d’émettre une opinion ou une argumentation sans se renseigner préalablement. Ainsi, en relations publiques la recherche a pour but d’avoir une pleine maitrise de la problématique et/ou du public afin de créer des stratégies de communication adaptées à la situation.

    Bref, il est évident que la recherche est cruciale. Cependant, cette recherche doit être guidée selon une méthode scientifique dans le but d’atteindre les objectifs visés du chercheur et cela de manière la plus professionnelle possible. Selon le type de résultats attendus, la méthode changera. En effet, selon le choix d’une stratégie quantitative ou qualitative, l’élaboration des instruments de recueil de données et la collecte de données seront totalement différentes. La recherche ne peut être que bénéfique autant au niveau social que scientifique, car elle permet à toutes les sphères d’avancer et d’avoir un regard réel sur l’environnement.

    L’article scientifique que j’ai choisi porte sur la vie privée à l’ère des réseaux sociaux. Cette thèse de Mary Jane Kwok Choon (2016) aborde l’impression de vie privée vécue lorsque les jeunes adultes sont cachés derrière leurs écrans. Comme abordée plus haut, la recherche devrait être le premier réflexe de chacun avant d’apporter une réflexion, que ce soit en vrai ou sur les réseaux sociaux. Cependant, avec les groupes privés ou les pages rassemblant les communautés d’avis semblables, les opinions sans fondement fusent. Non seulement les jeunes se croient à l’abri de la surveillance extérieure, mais ils peuvent se proclamer professionnels d’un tel sujet sans pour autant avoir fait ou consulté de la recherche.

    http://www.archipel.uqam.ca/8933/

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  44. Viviane Charette

     /  11 février 2018

    Les sciences sociales, qui englobent d’une part les relations publiques, portent sur les aspects sociaux des diverses réalités humaines. Elles contribuent à la compréhension de ces phénomènes pour mieux les appréhender. Les recherches scientifiques, dans toutes les sphères de son utilisation, représentent une importance capitale pour le développement et l’explication de ces mêmes phénomènes. Ces recherches permettent l’avancement des connaissances, certes, parce qu’elles laissent place à des découvertes menant à des innovations sociales, à la connaissance de l’humain en soi et aux changements observables qui le concernent.

    Dans ce domaine d’activités, les transformations et les innovations sont excessivement rapides et en constante évolution. En relations publiques, par exemple, il va sans dire qu’il est primordial de rester informer et à l’affût de ces changements pour être apte à exercer son travail de façon adéquate en connaissant davantage ses publics et en prenant conscience des besoins de ceux-ci. De plus, les recherches scientifiques permettent de constater et de considérer des événements futurs possibles, de les anticiper et d’être le mieux préparer possible à tout éventualité.

    Le mémoire de maîtrise choisi s’intitule : Communication de crise et systèmes d’alerte socionumériques : de nouveaux outils pour répondre aux attentes des publics en situation de crise ? réalisé par Laura Bergamo, étudiante de l’UQÀM. Cet ouvrage propose une réflexion sur l’utilisation des médias socionumériques par les publics lors de gestions de crise. Plus précisément, ce mémoire aborde et prend pour exemple l’application Safety Check, un dispositif d’alerte socionumérique utilisé par différents publics durant des situations de crises.

    http://www.archipel.uqam.ca/10870/

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  45. En quoi les résultats de la recherche scientifique en science sociale contribuent à l’avancement des connaissances dans le domaine des relations publiques ou des communications ? Avant même de répondre à cette question, il est nécessaire de préciser la signification des concepts importants. Les résultats d’une recherche scientifique constituent les données obtenues à la suite d’une enquête scientifique répondant à une ou plusieurs questions. Les résultats d’une rechercher permettent de dégager des constats et, par la suite, de valider ou infirmer l’hypothèse du chercheur. Les sciences sociales englobent l’ensemble des disciplines ayant comme sujet d’étude des phénomènes dont l’explication provient en majorité des interactions sociales. Puis, les relations publiques sont, d’après la Société québécoise des professionnels en relations publiques :
    «[…] une fonction de direction, de gestion et de communication, à caractère permanent, grâce à laquelle un organisme public ou privé vise à établir, à maintenir et à promouvoir des relations de confiance fondées sur la connaissance et la compréhension mutuelle entre cet organisme et ses publics[…]»

    Les résultats d’une recherche peuvent contribuer à l’avancement des connaissances en communication relation publique, d’abord, car tous types communications sont issues d’un modèle communicationnel propre qui a été étudier et qui permet à ce jour, aux professionnels en communication de pouvoir faire leurs travaux adéquatement. Sans ces recherches préalables, aucun type d’enseignement sur le domaine n’aurait pu avoir lieu. Ensuite, les sciences sociales englobent les interactions entre les êtres humains, qui dit interaction dite automatique communication, qu’elle soit verbale ou non. Une recherche en science sociale peut donc répondre à des questions de grande envergure sur les relations interpersonnelles et donc prendre part à au développement des connaissances en communication. Par la suite, une recherche en sciences sociales peut permettre de mieux comprendre l’évolution rapide de notre société dans le domaine des communications avec l’omniprésence des réseaux sociaux. Alors, les résultats d’une telle enquête scientifique produiraient de nouvelles connaissances en communication et permettraient à plusieurs organisations de rejoindre ses publics constamment en suivant l’évolution des plates-formes médias les plus populaires.

    Le mémoire que j’ai trouvé porte sur le rôle des communications et relations publiques au sein d’une organisation. Plusieurs aspects des fonctions d’un spécialise en communication ou d’un relationniste demeure équivoque et laissent ainsi certains perplexes quant aux effets, mesurables, du travail des experts en communication. Comparativement à certains domaines comme la santé, moindre documentation porte sur le sujet. Les relations publiques entendent, pour la plupart d’entre nous, tout ce qui touche aux relations d’une entreprise avec ses publics. Par conséquent, seront laissés derrière les publics internes et intermédiaires de l’organisation, alors qu’ils sont d’autant plus concernés par les relations publiques. Le mémoire, de type qualitatif exploratoire, précise concrètement les activités reliées à la profession de relationniste. De plus, la thèse évoque les conséquences positives que de bonnes communications peuvent causer pour une association.

    http://www.archipel.uqam.ca/9743/

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  46. Marie-Claudel Bolduc

     /  11 février 2018

    La recherche scientifique en sciences sociales est une activité visant une acquisition plus objective des connaissances. En effet, elle permet de dépasser un certain sens commun établi dans la société et produit des résultats valides et fiables sur lesquels on peut se baser. Les chercheurs se servent de ce processus pour élucider certaines situations généralisables dans le monde. Les résultats analysés et définis permettent ensuite d’identifier ainsi que de décrire des phénomènes récurrents dans la réalité, pour ainsi mieux les comprendre et prédire les prochaines tendances pouvant se réaliser dans un domaine particulier des sciences sociales. À la suite de ces étapes, les chercheurs relèveront les événements ayant été les plus positifs et rentables pendant le processus. Il sera donc plus facile de transformer certaines actions afin d’obtenir ce même résultat.

    Dans le cadre des relations publiques, domaine de plus en plus émergent dans les communications, la recherche scientifique aide à favoriser une certaine compréhension de plusieurs situations pouvant survenir dans l’organisation représentée. Les résultats de cette activité deviennent une source d’informations pour le relationniste afin de développer ses connaissances sur les publics, l’environnement, la concurrence, le positionnement et l’image de l’organisation. De plus, la recherche est qualifiée d’outil de mesure permettant de vérifier l’efficience et le pouvoir que peut avoir un plan de communication créé pour une entreprise. Elle permettra à l’équipe des communications de s’adapter plus facilement à son contexte. Les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales contribuent donc tout autant au domaine des communications et, plus précisément, au champ exploratoire des relations publiques.

    En résumé, le mémoire de l’auteure Laura Bergamo, nommé Communication de crise et système d’alerte socionumériques : de nouveaux outils pour répondre aux attentes des publics en situation de crise?, explique bien le fait que les médias socionumériques ont une grande influence sur la pratique des relations publiques. En fait, les dernières années du siècle millénial ont connu plusieurs cas où des organismes de gestion de crise et/ou de secours se retournaient vers les médias socionumériques pour gérer une certaine situation. La tuerie de Virgina Tech en avril 2007 est l’un de ces cas. Des initiatives ont permis d’élaborer des systèmes d’alerte socionumériques, tels que Safety Check, afin de communiquer plus facilement entre proches et même entre victimes et organismes de secours. La communication de crise et sa gestion constitue une partie du domaine des relations publiques, c’est pourquoi ce texte informe sur la favorisation de la recherche et de la création d’innovations en communications.

    Cliquer pour accéder à M15372.pdf

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  47. mclifestyle

     /  11 février 2018

    La recherche scientifique en sciences sociales est une activité visant une acquisition plus objective des connaissances. En effet, elle permet de dépasser un certain sens commun établi dans la société et produit des résultats valides et fiables sur lesquels on peut se baser. Les chercheurs se servent de ce processus pour élucider certaines situations généralisables dans le monde. Les résultats analysés et définis permettent ensuite d’identifier ainsi que de décrire des phénomènes récurrents dans la réalité, pour ainsi mieux les comprendre et prédire les prochaines tendances pouvant se réaliser dans un domaine particulier des sciences sociales. À la suite de ces étapes, les chercheurs relèveront les événements ayant été les plus positifs et rentables pendant le processus. Il sera donc plus facile de transformer certaines actions afin d’obtenir ce même résultat.

    Dans le cadre des relations publiques, domaine de plus en plus émergent dans les communications, la recherche scientifique aide à favoriser une certaine compréhension de plusieurs situations pouvant survenir dans l’organisation représentée. Les résultats de cette activité deviennent une source d’informations pour le relationniste afin de développer ses connaissances sur les publics, l’environnement, la concurrence, le positionnement et l’image de l’organisation. De plus, la recherche est qualifiée d’outil de mesure permettant de vérifier l’efficience et le pouvoir que peut avoir un plan de communication créé pour une entreprise. Elle permettra à l’équipe des communications de s’adapter plus facilement à son contexte. Les résultats de la recherche scientifique en sciences sociales contribuent donc tout autant au domaine des communications et, plus précisément, au champ exploratoire des relations publiques.

    En résumé, le mémoire de l’auteure Laura Bergamo, nommé Communication de crise et système d’alerte socionumériques : de nouveaux outils pour répondre aux attentes des publics en situation de crise?, explique bien le fait que les médias socionumériques ont une grande influence sur la pratique des relations publiques. En fait, les dernières années du siècle millénial ont connu plusieurs cas où des organismes de gestion de crise et/ou de secours se retournaient vers les médias socionumériques pour gérer une certaine situation. La tuerie de Virgina Tech en avril 2007 est l’un de ces cas. Des initiatives ont permis d’élaborer des systèmes d’alerte socionumériques, tels que Safety Check, afin de communiquer plus facilement entre proches et même entre victimes et organismes de secours. La communication de crise et sa gestion constitue une partie du domaine des relations publiques, c’est pourquoi ce texte informe sur la favorisation de la recherche et de la création d’innovations en communications.

    Cliquer pour accéder à M15372.pdf

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  48. Avant de pouvoir évaluer l’importance des résultats de la recherche scientifique en sciences sociales sur l’avancement des connaissances ou l’état du savoir dans les relations publiques et communications, il faut définir ce qu’est une connaissance. Une connaissance pourrait être qualifiée selon le manuel «Theory of Knowledge » de l’Université de Cambridge comme étant une croyance vraie et justifiée. Afin d’affirmer que l’on sait quelque chose, il faut tout d’abord y croire à cette affirmation que l’on avance, toutefois un élément important est que pour devenir une connaissance cette croyance doit être véridique. Définir ce qui est véridique reste complexe puisque ce qui s’avère véridique aujourd’hui est portée à évoluer au fil du temps et des découvertes. Aujourd’hui, il serait difficile de défendre que la terre est plate, toutefois longtemps cette affirmation fut tenue pour vrai. La faillibilité de l’être humain rend les connaissances incertaines. Les différents modes de la connaissance, tels que la perception sensorielle, sont remplis de biais qui brouillent notre accès aux connaissances. Cette croyance ne doit donc pas juste être vraie mais doit aussi être justifiée de façon logique. Il ne suffit pas d’affirmer quelque chose de vrai mais cela doit s’appuyer aussi sur un raisonnement logique pour éviter les glissements fallacieux. Les connaissances ne sont donc pas quelques choses de définitif mais elles sont bien portées à être réévaluées . La recherche scientifique tel que vue dans le cours tente: d’identifier, de décrire, d’expliquer, de comprendre, de prédire et éventuellement transformer différend phénomènes. La recherche en sciences sociales tente donc d’identifier et d’expliquer les différents comportements de l’être humain. C’est donc ces recherches qui se basent sur une méthode scientifique qui nous permettre d’évaluer la véracité de nos croyances. Les croyances qui sont validées et évaluées deviennent alors des connaissances qui sont portées tout de même à changer au fil des nouvelles découvertes et recherches. Les résultats de la recherche scientifique permettre donc l’avancement des connaissances puisque celle-ci sont aussi en constante mouvance et ce construisent sur les différentes recherches. C’est pourquoi, il est important de toujours continuer la recherche puisque les différents outils et nouvelles connaissances permettent d’aller plus loin.

    Selon la société canadienne des relations publiques : « Les relations publiques consistent en la gestion des relations entre une organisation et ses divers publics par l’entremise de la communication, afin d’atteindre une compréhension mutuelle, de réaliser les objectifs organisationnels et de servir l’intérêt public. » L’objectif des relations publiques est donc d’avoir une compréhension mutuelle avec ses différents publics pour réaliser les buts d’une organisation. Pour avoir une compréhension mutuelle des différents publics il faut une connaissance de celui-ci. C’est la que la recherche intervient afin de fournir des connaissances et permettre le développement de bonnes communications. Les résultats de la recherche des sciences sociales nous permettent d’accéder à une connaissances sur les publiques et les façons d’interagir avec lui. En communications les théories évoluent au fil du temps. On peut penser à plusieurs théories de la communication qui ont marquées comme la théorie béhavioriste, la théorie mathématique de l’information ou encore le structuralisme. Chaque théorie marque une époque et une vision que l’on ce fait de l’être humain. Par exemple, le behaviorisme avec la seringue hypodermique voit l’être humain comme quelqu’un de maléable. Les différentes visions de l’être humain sont basées sur nos connaissances de celui-ci qui nous vient de la recherche et elles influencent les théories rattachées à ces communications.

    Une thèse de doctorat basée sur de la recherche peut alors être vue comme un avancement dans un champs des connaissances. Le cercle qui englobe l’ensemble de nos savoirs est agrandis par l’ensemble des recherches. Le mémoire « Les dynamiques communicationnelles sur les pages facebook de partis politiques: Le cas des élections fédérales en Allemagne en 2013. » de Lena Alexandra Hübner datant de 2015 a été déposé à l’Université du Québec à Montréal. Ce mémoire en communication étudie les dynamiques des pages facebook des différents partis, 6 en tout, qui étaient présents aux élections de 2013 en Allemagne.Le mémoire a donc pour but d’évaluer le rôle des médias sociaux présent en ligne dans l’espace public tel que la politique. Ce mémoire basé sur une recherche qualitative explore les rapports de force présent sur la plateforme socionumérique. Il permet donc l’avancement des connaissances sur les médias socionumérique et par le fait même les relations publiques.

    http://scrp.ca/aboutus/whatisPR.aspx
    http://www.archipel.uqam.ca/7085/

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  49. Ève Gagnon-Champigny

     /  11 février 2018

    Les réseaux socionumériques ne cessent de modifier la façon de communiquer avec les autres. Ces plateformes ont le pouvoir d’influencer les gens à agir et à penser. Les individus utilisant ces réseaux socionumériques peuvent être soumis à la pression et aux influences de leurs pairs d’une même communauté en ligne. Cependant, en raison de l’ampleur et l’étendue de ces plateformes à travers le monde, un individu peut même être soumis à une pression sociale par des personnes qui lui sont étrangères. Cette recherche est nécessaire afin de comprendre le conformisme sociale à travers les réseaux socionumériques.

    L’équipe de recherche a procédé à une collecte de données basé sur une méthodologie mixte. Ils ont commencé par recruté des collaborateurs qui connaissaient le sujet de l’étude et 26 sujets. Ces collaborateurs avaient comme objectif de tenter d’influencer le dit sujet et à mesurer son niveau de conformité aux restes de la communauté en ligne. L’équipe de recherche s’est appuyée sur une démarche scientifique reconnue en suivant toutes les étapes conformes à celle-ci. Bien que l’équipe prouve qu’il existe un important conformisme social possible sur les réseaux socionumériques, ce niveau de conformisme n’est pas aussi important que celui dont l’on fait face lors d’une conversation en face à face. Dans la sphère des relations publiques et de la communication, le conformisme social à travers les réseaux socionumériques est un élément nécessaire à considérer et à étudier. Un individu à souvent l’impression de pouvoir communiquer librement. Pourtant, il existe plusieurs sortes de manipulation en ligne. C’est de cette préoccupation que l’équipe de recherche s’est appuyé pour comprendre et analyser le niveau de conformisme social sur les réseaux socionumériques. Cette recherche prouve que dans le domaines des relations publiques, il est nécessaire d’apprendre à gérer le flot informationnel des divers groupes d’influence afin de résister à toute manipulation.

    La présente recherche a été effectuée par Mehlia Bissière, YanickFarmer et Amina Benkirane en 2015 à l’Université du Québec à Montréal. Cette recherche intitulé «Vérité ou conformisme dans la communication sur les réseaux socionumériques» avait pour objectif d’examiner les tendances au conformisme social lorsque des personnes étrangères communiquent entre elles sur les médias socionumériques. En psychologie sociale, il a été prouvé qu’un être humain avait tendance à se conformer à ses pairs lors de situations en face à face. De plus en plus, les interactions sociales se font sur les réseaux socionumériques, l’équipe de chercheurs a alors voulu comprendre comment et si ces échanges avaient une influence sur un individu.

    Hyperlien : http://www.archipel.uqam.ca/7858/1/rapport_dec2015_v2.pdf

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  50. Jérémy Cholette

     /  11 février 2018

    La recherche scientifique assure l’évolution des différents univers de notre société. Elle nous permet, en tant que société, de nous adapter aux nouvelles réalités sur le plan social. Le monde des communications est justement l’une des preuves les plus flagrantes des biens faits de la recherche scientifique. En effet, grâce aux différentes recherches ayant été effectuées, les communicateurs ont pu constater qu’en 2018 les communications se manifesteraient plus que jamais dans les réseaux sociaux. L’année 2010 représente selon moi un fait saillant pour les communications : Déjà avions nous le réseau social Facebook qui ne cessait de gagner en importance dans toutes les sociétés du monde dès son arrivée (en 2004), mais la création d’Instagram(2010) et de Snapchat(2011) sont le genre de  » réalités  » auxquelles l’univers des communications a dû s’adapter.

    Les relations publiques, cette branche des communications qui assurent la communication d’une organisation avec ses différents publics, œuvrent aujourd’hui énormément sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram et Snapchat. Pourquoi? Parce que des recherches scientifiques ont permis d’évaluer l’influence de ces plateformes médiatiques sur l’ensemble de la société : nous savons aujourd’hui que ces réseaux sociaux jouissent d’une notoriété si importante qu’elles sont l’un des outils de prédilection pour une personne œuvrant en relations publiques dans ses objectifs de communication. Bref, les relations publiques ont évolué (et évoluent chaque jour) dans le sens des résultats issus de plusieurs recherches scientifiques qui ont su mettre en harmonie les communications et les nouvelles réalités sociales de notre époque.

    J’ai choisi ce mémoire de maitrise, car il démontre bien l’ampleur de la  » notoriété  » des réseaux sociaux. Les sociétés du monde entier accordent une importance considérable aux réseaux sociaux et cela explique entre autres pourquoi nous nous fions sur ces derniers lors de crise par exemple. Ce mémoire se concentre principalement sur la gestion de crise et il offre des exemples concrets de l’évolution de la communication à notre époque.

    http://www.archipel.uqam.ca/10870/

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  51. Marie-Isabel Mercure Marquez

     /  11 février 2018

    Le progrès des sciences sociales est de plus en plus remarqué, apportant des connaissances variées sur divers sujets qui nous entourent et sur les changements de notre société. Elles permettent d’ailleurs de les comprendre et d’en apporter un éclaircissement rigoureux et exhaustif. Pour ce faire, la recherche scientifique s’appuie sur des méthodes spécifiques qui influent sur la signification des résultats qu’elle soulève. Ainsi, la société est mesurée à l’aide de méthodes de mesures suivant une analyse scientifique concluant des affirmations qui portent sur des réalités matérielles. Par conséquent, le développement des savoirs sur les phénomènes sociaux s’accroit, puisque ces connaissances sont diffusées publiquement. Dans une optique plus spécifique, il est possible de se demander comment celles-ci contribuent à l’état du savoir des communications et plus précisément, de la discipline des relations publiques. Tout d’abord, les relations publiques selon la société canadienne des relations publiques se définissent comme « la gestion des relations entre une organisation et ses divers publics par l’entremise de la communication, afin d’atteindre une compréhension mutuelle, de réaliser les objectifs organisationnels et de servir l’intérêt public. »

    Premièrement, il va sans dire que la recherche apporte de nombreuses connaissances et données précieuses aux savoirs et au développement des communications. La recherche en communication permet d’importantes découvertes et une actualisation continue des connaissances sur les phénomènes qui y touchent. Aussi divers qu’ils soient, ils constituent une source inépuisable de réponses à des questions, autant pour les chercheurs qui s’appuient sur ces recherches que pour le public large et les relationnistes. Le progrès et les résultats de recherches sont accessibles à tous et peuvent donc se diffuser dans l’opinion par l’intermédiaire de communication de masse. Consultées à tout moment et toute heure de la journée grâce à Internet, les recherches sont très accessibles et ne nécessitent aucun frais. Évidemment, c’est une mine d’or pour les communications puisque les résultats apportés sur les phénomènes permettent d’apporter des informations sur les comportements de la masse selon le message, autant que sur les effets des technologies de l’information en évolution. Leur efficacité peut être mesurée ainsi que les façons de les utiliser pour faire passer le message souhaité de la meilleure façon possible. Les communications s’ajustent à l’aide de ses données, changeant leur campagne de social selon la tendance et optimisant leurs moyens, visions et missions selon le marché et l’environnement. En conclusion, l’impact des recherches sur le métier de relationniste est considérable, puisqu’elles permettent d’avoir une vision sur les pratiques de demain en plus de prendre conscience du portrait des relations publiques. Deuxièmement, les individus qui travaillent dans le domaine de la communication peuvent être en constant équilibre avec les changements qui s’opèrent et avoir une opinion réaliste du contexte actuel. S’ils ont des questionnements sur un sujet en particulier, ils peuvent se construire une idée basée sur des connaissances variées et mettre en exergue tous les aspects qui s’y rattachent pour formuler la meilleure conception du phénomène possible.

    Considérant que l’acquisition de savoir est cruciale pour se construire une opinion et prendre des décisions éclairées, il est pertinent de prendre exemple sur le mémoire en communication de MARC-ANDRÉ BERGEVIN. En effet, ce chercheur se questionne sur le discours entourant la Révolution tranquille. Celle-ci qui prend nom de : « QUÉBEC: DE QUOI FAUT-IL SE SOUVENIR? LE MYTHE POLITIQUE DE LA RÉVOLUTION TRANQUILLE » présente une analyse de deux séries de cinq textes publiés dans les années 1960 et dans les années 2010. De son nom, ce phénomène important est encore discuté dans les médias comme une fierté québécoise suite à la période de Grande Noirceur. Illustré comme une histoire sacrée pour les Québécois, le chercheur met en lumière les mythes qui s’y cachent.

    Cliquer pour accéder à M14518.pdf

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  52. Béatrice Gaboury

     /  11 février 2018

    Le domaine des relations publiques, c’est entre autre la gestion des relations d’une organisation et ses divers publics. Ceux-ci doivent être connus et compris par l’organisation afin de répondre a leurs besoins, d’atteindre leurs objectifs organisationnels et communicationnels et d’assurer une communication fluide et efficace. Le monde étant en constant changement, les relations publiques se doivent de suivre la cadence en s’adaptant aux nouvelles technologies et nouvelles ressources de l’heure. Elles doivent aussi s’adapter à la société et à leurs publics cibles. C’est la que prend toute son importance la recherche scientifique. En effet, les chercheurs se doivent de baser leurs thèses sur des données tangibles, recueillies grâce à une méthode de recherche approuvée et ré approuvée. Ces données leurs permettront de répondre à certaines questions de recherches, à se poser de nouvelles questions jusqu’alors insoupçonnées et à découvrir des informations pouvant les mener à de nouvelles découvertes sur le monde des relations publiques afin de faire avancer cette science.
    Pour mener leurs recherches, les scientifiques peuvent user de sondages, de groupes focus ou d’entrevues semi-dirigées, ces méthodes ont toutes leurs avantages ainsi que leurs désavantages et c’est au chercheur à faire le bon choix afin que la recherche soit un succès. L’analyse des données est aussi une étape cruciale à ne pas prendre à la légère, si ces étapes ne sont pas faites à l’aide de la méthode scientifique, elles perdent de leur valeur, et les résultats de recherches en sont faussés. Une recherche mal menée aura des impacts sur pratiquement tous les aspects d’une organisation qui s’est fixée des objectifs à atteindre face à leurs publics autant internes qu’externes.
    La thèse que j’ai choisie pour illustrer mes propos se nomme: Communication de crise et systèmes d’alerte socionumériques : de nouveaux outils pour répondre aux attentes des publics en situation de crise? de Laura Bergamo, écrite en 2017. Son mémoire parle des avantages et des limites à utiliser les nouvelles fonctionnalités et nouveaux médias socionumériques en situation de gestion de crise. Elle tente de faire avancer la recherche et donc ainsi les connaissances publiques sur le sujet pour améliorer nos systèmes de gestion de crise pour un monde meilleur et plus sécuritaire pour tous et chacun.
    http://www.archipel.uqam.ca/10870/

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  53. Caroline Lambert

     /  11 février 2018

    La recherche scientifique en sciences sociales est un domaine relativement vaste qui attrait au comportement de l’humain et de ses différentes manières d’agir socialement les uns avec les autres. Les mouvements sociaux des êtres humains changent constamment donc les recherches scientifique en sciences sociales est un sujet qui offre plusieurs opportunité d’apprentissage. D’ailleurs les sciences sociales sont connexes avec plusieurs autres domaines puisqu’ils peuvent influencer les différents comportements humains étudiés en science social. La recherche scientifique en sciences sociales est extrêmement important dans les différents domaines de la communication puisque la compréhension des besoins et des attentes du publique est indispensable.

    En effet, toutes décisions prises dans le domaine des relations publiques dépendent du publique et de la société alors, il est essentielle de bien cerné ses besoins et ses comportements. Par contre, il est impossible d’avoir une compréhension impeccable de son publique, de sa société sans de nombreuses recherches. Voilà pourquoi les recherches scientifiques en sciences sociales sont cruciales pour le métier de relationniste. Avec les nombreuses recherches effectuées au courant des années nous avons la compréhension de ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas avec les différents types de publiques. Alors, avec les nombreuses informations recueillît avec des échantillons distincts les relationnistes son capable de réagir convenablement à différents enjeux ou défis.

    D’ailleurs dans le texte La fonction communication au sein d’un projet il est souligné l’importance de la communication dans les différents domaines de la communication telle que les relations publiques ou bien la gestion de projet. D’ailleurs, pour les chercheurs Englender et Fernandes les relations publiques sont « définies comme un ensemble de techniques de communication destinées à développer une relation de confiance, d’estime et d’adhésion entre une entreprise ou une marque et divers publics-plus largement-l’opinion publique». Il est donc primordial pour le relationniste de bien connaitre ses publiques puisque cette compréhension est à la base d’une relation de confiance et d’empathie.

    http://www.archipel.uqam.ca/9743/1/M14814.pdf

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  54. Camille Dumont

     /  11 février 2018

    Toute organisation entretient des relations avec divers publics. Ainsi, cette relation est entretenue par les professionnels des relations publiques afin d’atteindre des objectifs organisationnels. Les résultats de la recherche scientifique en science sociale sont cruciaux pour une organisation. En effet, ces résultats permettent d’avoir un état global des tendances sociétales et permettent d’orienter les communications et ainsi anticiper ou éviter certaines crises qui pourraient toucher une organisation. Il est donc du devoir du professionnel des relations publiques de connaitre l’environnement dans lequel il œuvre.

    La recherche scientifique en sciences sociales, quant à elle, désigne tout ce qui concerne la société. Ce type de recherche permet de comprendre les phénomènes sociaux dans toute leur complexité. Par exemple, une étude sociologique des mouvements environnementaux doit être effectuée d’emblée par une organisation touchant ce domaine avant d’engendrer toute communication avec leurs publics.

    Le mémoire « Relations publiques et communications organisationnelles : analyse des processus de communication interne à des fins d’informations dans le cadre d’une gestion de crise » écrit par Mathieu Poirer est une étude de cas qui porte sur les processus communicationnels de la Société des alcools du Québec (SAQ) dans une situation de crise. En dressant un portrait des communications internes avant et pendant l’état de crise il fut possible d’observer que celles-ci viennent directement modifier les relations entre les membres de l’organisation.

    Cliquer pour accéder à M12358.pdf

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  55. Roxanne Marsolais

     /  11 février 2018

    La recherche scientifique en sciences sociales est, avant tout, un outil fondamental en ce qui concerne l’acquisition de nouvelles connaissances. Son processus permet de dépasser le sens commun, et par le fait même, l’atteinte d’un savoir objectif, obtenu par la diffusion de ses résultats. Que ce soit dans le domaine des relations publiques, des communications ou autre, la recherche scientifique permet aux individus d’une même société de comprendre leur réalité commune et de reconnaitre les phénomènes concrets qui la composent.

    Si l’on se concentre sur notre domaine, qui est celui des relations publiques et des communications, il y a un élément qui est indispensable à notre succès, et c’est celui de bien connaitre notre public cible. Grâce à la recherche scientifique, il nous est possible d’avoir un portait entier et palpable de celui-ci. En temps que relationnistes, nous défendons des projets précis, et sans réellement savoir à qui l’on veut le « vendre », nous ne pouvons pas remplir de façon efficace. Bref, la recherche scientifique en sciences sociales permet de dresser un portrait entier et concret de différents groupes sociaux et par lequel le domaine des relations publiques et des communications prospère.

    Pour finir, j’ai choisi un mémoire où ce sont l’impact et l’influence du marketing de contenu sur les comportements d’engagement des consommateurs qui sont étudié. Dans un environnement où les réseaux sociaux sont prédominants, le marketing de contenu occupe un rôle indispensable dans la stratégie de communication des entreprises. C’est donc pourquoi le mémoire de l’ancienne étudiante de l’UQAM, Cassandra Godin-Bergeron, est pertinent et reflète un phénomène réel. Cette recherche scientifique étudie donc l’impact et l’influence du marketing de contenu sur les comportements d’engagement des consommateurs. En d’autres mots, il approfondit la compréhension du marketing de contenu, lorsqu’il est utilisé comme stratégie d’activation de commandite, et de déterminer comment la pertinence d’une publication diffusée par une entreprise sur sa page Facebook influence les comportements d’engagement, en ligne et hors ligne, des consommateurs.

    http://www.archipel.uqam.ca/10761/

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  56. Tout d’abord, la recherche scientifique en sciences sociales contribue à l’avancement des connaissances en relations publiques, car elle permet aux relationnistes ainsi qu’aux organisations d’être informés de tout, en tout temps. Dans notre société technologique, les nouvelles informations circulent très rapidement. Il est donc primordial pour une entreprise d’être constamment à l’affût afin de pouvoir rivaliser avec ses concurrents, mieux comprendre les besoins en constante évolution de leurs publics ou même pour éviter des scandales. La recherche est donc incontournable, puisqu’elle permet aux entreprises de rester à jour et peuvent ainsi évoluer avec la société afin de pouvoir perdurer dans le temps.

    Par la suite, la recherche scientifique entraine l’avancement des connaissances, car elle permet l’évolution des opinions dans la société. Lorsqu’un journaliste traite d’un sujet dans un article de journal, ce dernier doit traiter la nouvelle avec un certain angle. Toutefois, cela risque de teinter l’opinion des lecteurs, surtout si cet angle est traité par une grande majorité des médias traditionnels. Les réseaux sociaux ont permis aux informations d’être diffusées sans être modifiées ou censurées et cela dans des délais très courts. En effet, ce nouvel outil de transmission d’information a permis aux gens de dénoncer plusieurs causes et de se mobiliser afin de faire changer les choses. Dans cette situation, la recherche est en mesure d’évaluer les répercussions de ces messages médiatiques et leurs impacts sur la mentalité de la population. La recherche permet alors aux spécialistes en relations publiques ainsi qu’aux entreprises de suivre l’évolution des opinions des publiques. De plus, cela permet aux organismes de pouvoir contribuer dans l’influence médiatiques et de faire avancer des causes.

    D’autre part, le texte a été écrit en 2017 par Raphaëlle Savard-Moisan dans le cadre de sa maîtrise en communication à l’UQAM. Son mémoire porte sur le traitement médiatique du mouvement #AgressionNonDénoncée dans les médias traductionnels québécois, plus spécifiquement dans la presse écrite québécoise francophone. La recherche effectuée par l’auteur soulève le fait que les journalistes des médias traditionnels influencent la construction de l’opinion publique, politique ainsi que juridique. En effet, ils renforcent le stéréotype qui vise à blâmer la victime d’agression sexuelle. Toutefois, les médias sociaux permettent à la population de voir la problématique sous un autre angle, celle des victimes. L’analyse de ce mémoire témoigne que l’utilisation des réseaux sociaux a permis une évolution dans la couverture médiatique des agressions sexuelles.

    http://www.archipel.uqam.ca/9675/

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  57. Rose-Marie Ménard

     /  11 février 2018

    La recherche scientifique contribue à l’avancement des connaissances dans le domaine des relations publiques et des communications de plusieurs façons. Premièrement, la recherche scientifique en sciences sociales permet d’établir une conclusion sur un problème par le recueil de données. Ce processus est donc applicable pour une variété de problématiques dans les relations publiques. Les relations publiques ont comme principale fonction de prendre en compte l’interêt des publics d’une entreprise, pour ce faire, il est primordial d’évaluer ces publics et leur relation avec l’environnement. Permettant de trouver des solutions pour obtenir le soutien des publiques, les relations publiques utilisent donc la recherche scientifique afin d’obtenir des données et les analyser afin d’en extrapoler les résultats.

    La recherche scientifique dans le domaine des communications permet donc à l’avancement des connaissances car la société étant constamment en mouvance, la recherche peut évaluer des publics et cerner leurs besoins les plus particuliers afin de s’y adapter. La recherche permet de comprendre un problème et de trouver les solutions pour y remédier: l’aspect clé des relations publiques. En somme, la recherche scientifique est favorable pour le domaine des communication car elle permet l’avancement de nouvelles idées et tente de rectifier des erreurs passées afin de faire évoluer un monde en constant mouvement.

    Le texte que j’ai choisi est un mémoire écrit par Youssouph Coulibaly de l’Université du Québec à Montréal. Son mémoire cherche à comprendre les motivations d’adoption des systèmes d’écran à affichage dynamique pour les besoins de communications des organisations. Cette étude est une analyse basée sur quatre théories des communications, dont la théorie de la diffusion des informations. Cette recherche vise à identifier les raisons derrière les choix de certaines technologies de communication, en analysant des données qualitatives ainsi qu’en analysant une classification de données binaires. En cherchant les motivations derrière un choix de technologie et en trouvant les influences derrière ces choix, cette étude contribue non seulement dans le domaine de la communication des organisations, mais également au technologies d’information et à la gestion des ressources humaines. En somme, cette recherche permet de mieux comprendre les motivations d’adoption de ces systèmes ainsi que de mieux cerner les besoins de la clientèle cible afin d’établir des stratégies de développement de produits.
    http://www.archipel.uqam.ca/id/eprint/10801

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  58. Rosa-Li Parisien

     /  12 février 2018

    Dans la société actuelle, les communications et les relations publiques aident à entretenir et à établir des relations de confiance entre les entreprises, les organismes et les individus. Les relationnistes ont diverses tâches dont faire des plans de communication, des plans stratégique en gestion de crise, de la rédaction etc. Par ailleurs, celles-ci exigent beaucoup de recherche. Il est essentiel de structurer sa recherche afin qu’elle soit efficace et précise. Dans ce domaine, les recherches sont surtout axées sur le public cible et la société. En effet, on doit connaitre le public auquel on s’adresse. Les relations publiques s’intéressent également à la société puisque des liens intéressants se tissent entre les phénomènes sociétal ainsi que les comportements, les valeurs, les besoins et les intérêts des publics. Les sciences sociales sont connexe aux relations publiques puisque c’est l’étude des sociétés et des comportements humains. Lorsqu’il s’agit de recherche , les relations publiques et les sciences sociales sont très lié.

    Ainsi, les recherches sont récurrentes dans le domaine des communications ainsi que les sciences sociales. Il existe quelques façons de structurer une recherche dont la démarche scientifique qui permet d’élaborer une stratégie de recherche efficace en fonction des intérêts et des objectifs de la recherche. Dans le cas des relations publiques, cette démarche peut aider à identifier des problématiques, prédire des tendances ainsi que des phénomènes. Elle propose plusieurs méthodes qui permet d’atteindre les objectifs de manière efficiente. Par exemple, en sciences sociales , il est pertinent d’utiliser la collecte de données et les questions éthiques pour analyser un phénomène sociétale sur des bases solides et crédibles. D’autant plus, dans le monde des communications, les mandats et les plans de communication sont personnalisés selon chaque cas. Il est, donc, favorable d’utiliser la démarche scientifique puisqu’elle aide à cibler les objectifs de la recherches, les concepts-clés et quelles méthodes favorisées en fonctions du mandat. En bref, la méthode scientifique est très utile afin de faire des recherches pertinents.

    La thèse que j’ai choisi porte sur les enjeux et les problématiques des relationnistes lorsqu’il s’agit des relations de confiance et des mandats. On définit les relations publiques comme «une fonction de direction, de gestion et de communication » (p.14) . Cependant, il faut prendre en contexte que la thèse présentée a été dirigé en 2012, lorsque les relations publiques étaient perçues comme étant une forme de propagande à connotation péjorative. Dans la première partie, on définit les relations publiques et on explique comment entretenir/développer des relations de confiance. Cependant, la partie qui me semble la plus pertinente est celle sur la méthode de recherche . On définit la démarche qualitative, les limites de l’étude, le choix de collecte, le choix des participants ainsi que la procédure d’analyse de données. Les chapitres suivants portent sur la présentation, l’analyse et les discussion des résultats. En bref, cette thèse est très intéressante et comporte des éléments clés sur le milieu des relations publiques.

    lien: http://www.archipel.uqam.ca/4464/1/D2289.pdf

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  59. Le monde moderne permet à l’humanité de s’ouvrir sur l’actualité, sur la vie des autres et sur la globalité des sujets pouvant être dignes d’intérêt pour tous et chacun. Cette ouverture sur le monde se voit tout d’abord offerte par la voie d’une capacité à se questionner, à réfléchir sur les sujets qui nous préoccupent et s’interroger sur les différentes facettes de la vie. Une recherche se voit par ailleurs être utile afin de combler le besoin naturel de la curiosité humaine, mais aussi les besoins professionnels de toute entreprise visant à être à l’affût de son environnement. Pour l’organisation, l’art de savoir communiquer avec ses différents publics internes et externes permet d’établir un bon plan de communication et d’ainsi, améliorer la cohésion dans toutes les facettes de l’organisation. En fournissant des résultats de recherche mis à jour régulièrement, l’entreprise peut suivre de près l’évolution des systèmes sociétaux et ainsi, ne jamais être pris de court par des situations dans laquelle elle et ses publics, sont impliqués.

    En utilisant une méthodologie professionnelle, réfléchie et prouvée au niveau de la recherche, toute entreprise cherchant à assouvir ses interrogations communicationnelles pourra y trouver bon compte. C’est en effet grâce à la communication qu’il est possible d’interagir avec le monde qui nous entoure, mais à quoi bon pour une firme de communiquer avec ses publics ou même ses employés, si celle-ci ne sait pas vraiment comment elle est réellement perçue par ces derniers. En optant pour la recherche, une entreprise se dote d’un pouvoir de savoir et de compréhension du monde qui l’entoure, lui donnant parfois avantage tant stratégique face à la concurrence qu’organisationnel à l’intérieur même de son enceinte hiérarchique. En effet, il est évident qu’une entreprise au courant de l’état d’esprit de ses publics sera bien plus en mesure de comprendre les nombreuses faces des sciences sociales.

    Le mémoire que j’ai choisi de relater dans ce commentaire est celui de M. François Moulin-Langevin, rédigé en 2017 à l’UQAM et intitulé;
    COMMUNICATION ET RAPPORTS INTERCULTURELS EN GESTION :
    L’EXPÉRIENCE VÉCUE D’EMPLOYEURS DE LA PME QUÉBÉCOISE DANS
    LA GESTION D’UNE MAIN D’ŒUVRE DE TRAVAILLEURS ÉTRANGERS
    TEMPORAIRES
    Ce recueil explique de façon très détaillée l’importance pour un employeur de s’informer sur la situation du monde et d’ainsi, comprendre comment communiquer de façon efficace avec ses employés. Le mémoire parle principalement du cas de travailleurs étrangers temporaires et leur situation alors qu’ils sont à l’emploi dans l’entreprise saisonnière. On explique par ailleurs que la recherche interculturelle n’est pas valorisée par les instances autoritaires en question, ce qui diminue de façon importante la qualité de la communication interne. Moulin-Langevin exprime qu’il est dans l’intérêt de l’employeur de faire des démarches de recherche afin de mieux saisir les différences culturelles entre lui et ses employés. Les obstacles professionnels pouvant se dresser devant les dirigeants peuvent effectivement se régler de façon plus aisée et saine lorsque ces derniers ont pris la peine de recueillir des informations par la voie de techniques de collecte de données en sciences sociales.

    lien: http://www.archipel.uqam.ca/10808/1/M15237.pdf

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