Avec les deux derniers cours du COM3112, nous nous sommes concentrés sur l’utilisation courante des médias socionumériques des organisations en 2017. Les applications et les outils du numérique les plus utilisés en relations publiques dans les organisations et dans les agences professionnelles. Nous avons également reçu Stéphane Prud’homme MA, MBA, PhD(c) le 6 novembre notamment au sujet du storytelling.
Question pour mes étudiants du COM3112 groupe 10
En vous référant au contenu des deux derniers cours, à titre de professionnel débutant en relations publiques quoi répondre à un client potentiel qui vous demande de lui indiquer les avantages d’une présence régulière dans les médias socionumériques pour son organisation? Votre commentaire doit spécifier un secteur d’activités de votre choix (consommation, culture, politique, affaires, startup, international, etc.), quelle approche globale de communication serait à privilégier (information, bidirectionnelle symétrique ou asymétrique – indiquer pourquoi) et au moins la justification détaillée de 3 médias socionumériques susceptibles de stimuler la présence en ligne de l’organisation de votre client.
Un membre de chaque équipe publie les commentaires pour son groupe en indiquant clairement le nom de l’équipe afin de pouvoir vous attribuer les points de cet exercice dans Moodle. Le commentaire de l’équipe : 3 à 4 paragraphes; ne pas hésitez à ajouter des URL pertinents et crédibles comme références scientifiques ou professionnelles voire même encore utiliser des figures.
Au grand plaisir de vous lire!
Bruno Cantin
/ 12 novembre 2017De manière plus générale, les réseaux sociaux sont en vogue depuis quelques années et plusieurs raisons sont à l’origine de cet engouement. Ils encouragent l’échange, permettent aux organisations de se différencier et de se créer un style unique au public qui les suivent, ils permettent de relayer de l’information de manière rapide et efficace à un grand nombre de personnes et de publier du contenu varié et de qualité. C’est pour cette raison que nous prônons pour une approche bidirectionnelle asymétrique : du côté de l’entreprise, on propose des contenus, qui sont majoritairement de types promotionnels, et de l’autre côté, celui des usagers, ils commentent ces contenus et alimentent un échange et une interaction.
Comme premier média socionumérique, Facebook est celui que l’on recommanderait aux entreprises du secteur de l’alimentation. En effet, ce réseau est autant axé sur les publications qui contiennent du visuel, que sur celles qui ne contiennent que de l’information. De plus, il est possible d’acheter de la publicité afin de faire voir l’entreprise à des gens qui ne sont pas encore abonnés à la page. Facebook est un média qui accorde plusieurs avantages aux organisations qui y sont inscrites. Les pages permettent aux abonnés de communiquer avec l’entreprise en privé ou publiquement, ce qui génère de l’engagement de la part des publics, mais aussi de se créer une image de marque qui la dissocie de ses concurrents. Il est possible de créer des concours, de se faire connaître à travers les mentions partager et ainsi d’accroître sa notoriété et sa popularité.
Également, une page de blogue associé à la page web de l’entreprise serait également un bon moyen d’atteindre les publics. Le but premier de toute organisation du secteur de l’alimentation est de vendre et de faire des profits. Étant donné que, bien souvent, il est essentiel pour tous de manger, nous pensons notamment aux différents épiciers, la clientèle se doit d’être fidéliser afin de faire en sorte qu’ils reviennent encore et encore. Par exemple, un blogue sur la gastronomie alimenté de façon régulière et qui miserait sur des articles prônant la nouveauté, les tendances et les recettes pourrait être un bon moyen de faire connaître la marque qui y est associés tout en fidélisant la clientèle à celle-ci.
Enfin, afin de viser un public un peu plus jeune, Instagram pourrait être considéré comme étant un incontournable pour ce genre d’organisation. L’intérêt visuel porté pour tout ce qui touche la nourriture est une tendance des dernières années qui ne cesse de croître. De plus, la création de contenu, tout secteur confondu, doit miser sur l’expérience de l’utilisateur. Si ça semble intéressant, ça fonctionnera. Instagram permet d’ajouter un je-ne-sais-quoi intéressant, une valeur ajoutée et rejoint un public que Facebook ou les blogues ne pourraient pas nécessairement rejoindre. On cible plus précisément le public. En misant sur du contenu de qualité, une organisation du secteur de l’alimentation pourrait aussi permettre l’ajout d’influenceurs, créer des hashtags et ainsi augmenter l’engagement de ses publics envers sa marque.
L’équipe K (BC, JD, SPP, CSC) ; COM3112, groupe 10
guylitalien
/ 12 novembre 2017@ équipe K. Merci pour votre commentaire. Bien d’accord avec votre suggestion. Compte tenu du sujet, la question des influenceurs m’apparaît importante ce qui va au delà des outils socionumériques courantes et fait appel à des stratégies d’intervention sur lesquelles, il est primordial de réfléchir avant de choisir des outils !
Tony Gascoigne (@tony_gascoigne)
/ 12 novembre 2017Il est important pour une organisation d’avoir une présence régulière et irréprochable sur de nombreuses plateformes de médias socionumériques. Tout d’abord, cette présence sert à bâtir une audience variée pour l’organisation. Les différentes plateformes servent aussi à interagir avec cette audience, non seulement par le contenu publié, mais aussi par différentes discussions dans les commentaires et les messages. Une présence positive entraîne une bonne réputation aux yeux du public et des autres organisations ainsi que la création et le maintien d’une bonne image de marque. Si jamais un enjeu qui pourrait affecter cette dernière survient, une présence régulière sur les médias socionumériques pourrait éviter bien des problèmes à l’organisation, puisqu’il est facile de le régler par l’utilisation de ces médias tout restant proactif. .
De nos jours, il est évident que les entreprises doivent maintenir une bonne réputation en ligne pour s’assurer d’avoir une certaine crédibilité. Il faut également savoir identifier ses différents publics et les parties prenantes dans tous les secteurs d’activité, mais cela prend du temps pour créer des relations de confiance avec ces personnes. Biensûr, il faut avoir une stratégie à long terme ainsi que d’avoir objectifs spécifiques que l’entreprise désire atteindre. Plus spécifiquement, dans le domaine de la culture, les médias socionumériques peuvent être des outils très puissants, puisqu’ils sont des canaux utilisés pour faire connaître leurs évènements et leurs activités. On peut promouvoir une pièce de théâtre ou encore un film au cinéma efficacement de cette manière. Aussi, ils peuvent communiquer avec un public plus large comme Facebook, Instagram ou Twitter par exemple. Finalement, ces médias socionumériques sont incontournables puisqu’ils véhiculent l’image de l’entreprise.
L’un des jalons du travail en relation publique est d’être en phase avec son environnement. L’environnement communicationnel est, de nos jours, très penché sur l’utilisation des médias socionumériques. Il est donc maintenant possible d’interagir avec les divers publics, et ce, peu importe le champ d’activité concerné. La toile et ces plateformes socionumériques permettent une libre circulation d’informations qui peuvent servir autant au public qu’à l’entreprise ou l’organisation. Un client peut, dorénavant, enquêter sur votre organisation à savoir si votre relation dénote d’une transparence et non d’un «semblant» de transparence. En tant qu’entreprise ou organisation vous vous devez de divulguer de l’information au public pour ne pas donner l’impression de dissimuler vos activités et ainsi établir un lien de confiance. L’ère du numérique à d’une quelconque façon changer la symétrie du rapport dialogique des relations publiques. C’est le modèle bidirectionnelle symétrique qui est davantage recommandé. Ce modèle vise tout simplement à converser avec le public via les médias socionumériques. Pour les optimiser il faut d’abord connaître son client par le travail marketing. Toutefois, la technologie d’aujourd’hui permet l’analyse des datas de communication des clients afin de comprendre et mesurer leurs interactions sur ces médias. Quelles médias seraient le plus appropriés afin d’employer le dialogue avec eux? Qu’elle est la nature de leur interactions? Qu’elle est la fréquence de leur utilisation? Ces questions ne sont qu’un échantillon du « portrait-client » possible d’établir grâce à ces datas. Enfin, la communication bidirectionnelle symétrique veut que le public ne soit plus qu’une source de profit ou un bête à nourrir, il est un amalgame d’individus qui cherche à comprendre et connaître vos activités. L’usage des médias socionumériques en permet l’efficience par leur fiabilité de transmission de messages et aussi par la quantité d’information qu’il est possible de trouver afin de mieux connaître le public.
Il est primordial pour l’organisation d’avoir une page active sur Facebook. Il s’agit de la plus grosse plateforme de médias socionumériques au monde, avec 1,4 milliards d’utilisateurs, dont 14 millions au Canada et 5,6 millions d’utilisateurs au Québec. Sur cette plateforme qui rejoint tous les publics, il est possible d’adopter un ton autant fun que sérieux, ainsi que de partager différents types de contenus. Facebook est aussi une bonne façon de faire de la publicité et ainsi obtenir une plus grande visibilité. Il sera aussi important pour l’organisation d’avoir un compte Instagram afin de rejoindre un public plus jeune. Instagram compte 700 millions d’utilisateurs dans le monde et mise principalement sur un visuel attrayant. Au niveau publicité, il est beaucoup plus facile de cibler les gens touchés que sur Facebook. Finalement, l’entreprise devra avoir un compte actif sur Twitter. Cette plateforme regroupe 328 millions d’utilisateurs dans le monde, dont 1 million d’utilisateurs au Québec. Elle permet de publier de courtes phrases de moins de 140 caractères ainsi que des liens et des images. Il s’agit d’une plateforme plus rapide qui permet de rejoindre instantanément le public. Un sondage réalisé par Constant Contact démontre que 60% des abonnés d’une compagnie seront plus susceptibles d’acheter les produits s’ils sont abonnés à leur compte Twitter.
Excellent Public Relations and Effective Organizations (Grunig, Grunig et Dozier, 2002)
New Year, New Roles: What to look for in 2016, Récupéré le 12 novembre 2017de http://cw.iabc.com/member-access/?redirect=http://cw.iabc.com/2015/12/09/new-year-new-roles-look-2016/&p_id=10041
Groupe F, COM3112, gr. 10
guylitalien
/ 12 novembre 2017@ équipe F, merci de votre commentaire. Au sujet de «Si jamais un enjeu qui pourrait affecter cette dernière survient, une présence régulière sur les médias socionumériques pourrait éviter bien des problèmes à l’organisation, puisqu’il est facile de le régler par l’utilisation de ces médias tout restant proactif.» Cela dépend du problème en question, il est important de prendre en compte le contexte. S’il s’agit d’un phénomène éphémère, la mise au point se fait généralement rapidement. Par contre, s’il s’agit d’une crise importante, ce n’est pas forcément facile de la régler que par les médias socionumériques.
Nathalie Tomsett-Perrot
/ 12 novembre 2017Nous avons choisi de nous inspirer de la multinationale Mondelez international pour rendre l’écriture de ce billet plus concrète. Notre client est une organisation dans le secteur de l’alimentation qui se spécialise dans la fabrication et la commercialisation de biscuits et chocolats. Ce produit étant populaire et la concurrence bien présente sur le marché, nous lui suggérons comme approche de communication d’opter pour le modèle de la promotion puisqu’elle consiste à diffuser une information en imposant un discours de façon unidirectionnelle. Ce que recherche notre client est d’imposer son message aux consommateurs : que ses biscuits et ses chocolats sont les meilleurs et les plus savoureux sur le marché. Dans le but d’accroître la notoriété de ses produits, nous expliquerons au client que l’utilisation des médias sociaux est un outil puissant pour se démarquer de ses compétiteurs et informer les consommateurs. Grâce à la portée qu’ont certains médias socionumériques, la présence régulière de son organisation sur ceux-ci lui permettrait de toucher son public cible ainsi que de potentiels clients. En tant que jeunes professionnels des relations publiques, voici les trois médias socionumériques que nous conseillerions au client pour faire la promotion de l’organisation et stimuler sa présence en ligne :
1) Un blogue pourrait permettre d’allier différentes techniques pour faire connaître l’organisation aux nouveaux consommateurs et développer les connaissances des anciens (des foires aux questions, des photos de l’organisation ainsi que les différents produits qu’elle fabrique, des entrevues des employés ou dirigeants, des articles ayant un lien avec les valeurs de l’organisation ainsi que les intérêts des consommateurs telles que des recettes de cuisine). Le blogue permettrait de faire connaître les produits de la multinationale au gré de ses publications, de mettre en avant la qualité et la diversification de ses produits en utilisant un ton convivial, proche de son public qui peut être très vaste étant donné le champ d’intérêt (les gourmands à l’affût des nouveautés en matière de biscuits, les amateurs de chocolat, les mères de familles qui recherchent des biscuits de qualité pour les lunchs des enfants, les grands parents qui veulent agrémenter les réunions de famille par des petites gourmandises).
2) La plateforme Instagram est un outil de marketing crucial pour les entreprises. En utilisant tous les outils qu’offre Instagram tels que l’accès à l’analyse des données avec un compte professionnel, la promotion croisée entre les autres médias socionumériques entre autres Facebook, Linkedin et Twitter, la réutilisation du contenu des comptes pertinents, les «Stories», ainsi que l’utilisation des mots-clics accrocheurs et pertinents. L’analyse des données porte sur les «impressions», la portée (le «reach»), l’engagement, le nombre de «J’aime», de commentaires et de publications enregistrées. Les «impressions» indiquent le nombre total de fois que la publication a été vue tandis que le «reach» se réfère au nombre de comptes individuels qui ont vu la publication. Quant à l’engagement, il explique la somme totale de «J’aime» et de commentaires d’une publication sur une période donnée. La situation actuelle de la multinationale Mondelēz International sur la promotion croisée peut être améliorée. Sur son compte Facebook, elle affiche les médias tels que LinkedIn, Twitter, Wikipédia et Youtube. La plateforme Instagram ne s’y trouve pas. Le média pourrait ajouter une valeur à l’entreprise puisqu’il y a un dialogue unique entre les clients potentiels. La réutilisation des publications des comptes pertinents assurent le ciblage de plusieurs publics. Par exemple, en utilisant les publications des influenceurs et blogueurs, le compte devient davantage personnalisé. Il serait aussi intéressant de publier les extraits de leurs vidéos diffusés sur le compte Youtube de Mondelēz International. Les «Stories», c’est-à-dire les histoires ou moments diffusés sur le compte Instagram ajoutent une touche humaine au compte. Le dialogue n’est plus un échange écrit, mais verbal. Les «Stories» laissent place aux relances ou réponses des internautes même si l’approche de l’organisation est avant tout, la promotion.
3) Il ne faut pas négliger la visibilité que Youtube peut apporter à une entreprise comme Mondelez International. En effet, l’entreprise possède déjà un compte sur lequel divers vidéos ont été partagées dans le passé. En passant par des questions et réponses, des publicités anniversaires, des entrevues ainsi que quelques campagnes publicitaires, on peut dire que l’organisation varie son contenu. L’avantage de posséder une telle plateforme c’est que l’entreprise pourrait décider de créer des petites séries vidéo touchant aux valeurs, aux produits, à la production de cette dernière. Youtube peut donc être utilisé comme diffuseur de vlog, soit des vidéos moins formelles, diffusées sur une base régulière et se rapportant potentiellement à un même sujet ou une même approche. D’autre part, puisque l’entreprise produit principalement différentes marques de chocolat, la place publicitaire qu’offre Youtube pourrait être d’autant plus avantageuse. Il s’agit d’une plateforme visitée par un éventail d’âge plutôt large, ce qui permet de rejoindre différents publics cibles lors d’une diffusion publicitaire avant un vidéo. Plusieurs études l’ont déjà démontrées : les publicités alimentaires lors de visionnement télévisuel ou web ont généralement une bonne portée sur le public, étant déjà probablement en mode sédentaire lors du visionnement, la faim est souvent facilement déclenchée à ces moment-là. Il s’agit donc d’une plateforme dont il ne faut pas négliger la portée.
Pic Digital. (2016). Les avantages d’un blog d’entreprise. récupéré de http://www.pic.digital/blog/218-les-avantages-d-un-blog-d-entreprise
Facebook Business. (2017). Instagram Business Tools. Récupéré de https://www.facebook.com/business/help/897631030335607/?helpref=hc_fnav&bc%5B0%5D=AHCv1&bc%5B1%5D=Ads%20Help&bc%5B2%5D=Creating%20Ads&bc%5B3%5D=Ad%20Placements&bc%5B4%5D=Instagram%20Ads%20%26%20Business%20Tools
Entrepreneur. (2017). Social Media – Instagram – 7 Marketing Tips to Help Grow Your Brand on Instagram. Récupéré de https://www.entrepreneur.com/article/280964
TechCrunch. (2017). Instagram’s analytics will offer audience demographics, post impressions, reach & more. Récupéré de https://techcrunch.com/2016/05/16/instagrams-analytics-will-offer-audience-demographics-post-impressions-reach-more/
Simply Measured. (2017). Resources – Instagram Definitions – Instagram Engagement. Récupéré de https://simplymeasured.com/definition/instagram-engagement/#sm.000145z9ckpl8eujuyn24tbonbj6j
Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada ( 2017). Publicité alimentaire : examen de la portée de l’exposition, du pouvoir et des répercussions selon le contexte. Récupéré de https://www.canada.ca/content/dam/phac-aspc/documents/services/publications/health-promotion-chronic-disease-prevention-canada-research-policy-practice/vol-37-no-9-2017/ar-03-fra.pdf
Groupe G, COM3112 ( gr 10)
guylitalien
/ 12 novembre 2017@ équipe G, merci de votre commentaire. Bonne intégration des approches courantes liées à la promotion de produits en ligne. Les outils suggérés sont certes courants et ils ont l’avantage d’être recherchés. Bonne approche à mon avis. Merci également pour les références en ligne, très utiles et pertinentes pour les collègues de classe. Enfin, outre votre proposition numérique pour ce produit, il sera important de prendre en compte la campagne globale de communication de votre client notamment dans la façon qu’il approche les autres vecteurs d’information et de communication.
Mylène Leclair
/ 12 novembre 2017Dans la société actuelle, une entreprise, petite ou grande, ne peut se permettre de ne pas être présente dans les médias socionumériques. L’intégration à ces médias est primordiale pour bâtir une image, un sentiment d’appartenance à la marque, et même une communauté autour de celle-ci. Dans l’ère du numérique, les entreprises se doivent d’avoir un plan d’affaires qui incluent les médias socionumériques. Avant d’adhérer à toutes ces plateformes, il faut premièrement connaître les publics cibles et découvrir ce qui les intéresse. En relations publiques, nous créons du contenu autour de l’organisation, nous créons des dialogues, nous connectons les gens pour créer des communautés et de l’engagement.
Avoir une présence régulière sur les médias socionumériques compte donc bon nombre de points positifs pour une organisation. Nous nous sommes posés sur le secteur des sports. Plus précisément, nous prendrons un centre sportif «start-up» offrant des cours de cardiovélo en groupe, Spin Énergie. L’approche de communication bidirectionnelle asymétrique serait à privilégier, car pour une «start-up »oeuvrant dans le domaine de la mise en forme et du bien-être, il est important et gagnant de bâtir une communauté. Cela permet donc aux membres du centre d’échanger entre eux et avec l’organisation en soi, donc bâtit un sentiment d’appartenance à la marque et encourage les membres à se pousser mutuellement à venir plus souvent au centre et à opter pour un mode de vie sain.
Pour ce centre, une présence forte sur Facebook, Instagram et un blogue stimulerait considérablement la présence en ligne et la visibilité de Spin Énergie.
La présence sur Facebook serait une façon de faire de la promotion du contenu et d’apporter plus de visibilité au blogue. Facebook est facile d’utilisation et utilisé par énormément de gens. En effet, cette plateforme détient à elle seule, 1,4 milliard d’utilisateurs dans le monde, avec 5,6 millions d’utilisateurs au Québec. Facebook est une plateforme parfaite pour bâtir une communauté, promouvoir le contenu des blogues et communiquer facilement avec les clients du studio.
Instagram est une plateforme amusante et jeune. On y partage des photos, principalement, avec de courts textes. Les photos sont belles pour inciter les utilisateurs à les partager sur leurs propres pages. Instagram est une superbe plateforme pour travailler avec des influenceurs. Le studio de vélo-cardio pourrait contacter directement 30 personnes, par exemple, leurs offrir 2 classes gratuites en échange d’une photo instagram dans l’établissement avec un cours texte racontant une anecdote ou un sentiment suite à leur passage. On incite ici les gens à partager leurs expériences et connecter entre eux.
Avec un blogue, Spin Énergie pourrait s’inspirer de ses propres clients pour raconter des histoires et des parcours inspirants. Chaque semaine, on choisit un client du studio, et on raconte leurs histoires, leurs parcours et ce qui les motive à venir s’entraîner au studio. On raconte une histoire pour en inspirer plusieurs autres. Lors d’événements spéciaux, Spin Énergie peut se servir du blogue pour publier une galerie de photos de l’événement spécial. On crée du contenu dans le blogue pour attirer l’attention et on utilise Facebook pour faire la promotion du contenu. Finalement, le blogue peut aussi servir de plateforme de partage entre les membres. Spin Énergie peut encourager ceux-ci à partager entre eux, ce qui ultimement peut créer une communauté solide qui vient plus souvent au centre, mais qui surtout s’identifie à lui.
Gabrielle Brouillard
Jordan Longchamps
Mylène Leclair
Gabrielle Brouillard
/ 12 novembre 2017Équipe A (COM3112, groupe 10)
guylitalien
/ 12 novembre 2017@ équipe A, merci pour votre commentaire. Vous affirmez «une entreprise, petite ou grande, ne peut se permettre de ne pas être présente dans les médias socionumériques.» Attention, il faut prendre en considération certains facteurs, s’il est généralement acquis qu’une entreprise opte pour une présence dans les médias socionumériques en mode BtoC, il en va autrement en BtoB. Il est fréquent que des entreprises en BtoB se demandent la pertinence d’être présent sur les médias socionumériques et jusqu’à ce jour, il ressort qu’il vaut mieux bien considérer avec quelle stratégie plutôt que de se lancer parce beaucoup d’organisations sont présentes sur le Web.
Alexandra St-Germain
/ 12 novembre 2017Groupe J
Pour ce qui est du secteur d’activités, notre équipe a choisi de faire le commentaire sur une entreprise en démarrage (startup)
L’approche globale de communication à privilégier serait la communication bidirectionnelle symétrique. Comme notre public cible serait les jeunes, il est important de garder une communication qui est à double sens et de ne pas seulement leur envoyer de l’information sans avoir une saine rétroaction. Par exemple, une communication asymétrique n’aurait pas sa place dans le contexte. Notre équipe a choisi un environnement d’entreprise en démarrage, donc une rétroaction est obligatoire pour l’entreprise qui veut s’améliorer et réviser le tir selon les commentaires positifs ou négatifs de son public cible. De plus, la communication bidirectionnelle symétrique permet au public de se sentir écouté et de savoir que son opinion à de l’importance. Un public jeune aime recevoir de l’information, mais veut avant tout pouvoir se faire entendre et faire changer un produit ou un service si cela ne leur plaît pas.
En 2017, les entreprises se doit d’avoir une bonne présence sur les médias sociaux pour bâtir une bonne relation avec son audience. Avoir une bonne stratégie médias sociaux peut permettre à l’organisation de développer sa réputation, sa crédibilité, sa notoriété et se démarquer de la concurrence. De plus, la présence sur différentes plateformes sociales peut être utilisée comme outil de mesure. Par exemple, le nombre de clics, le nombre de «j’aime», le nombre d’abonnés, les mentions (@) et les mots-clics (#) sont des indicateurs de mesure pertinents. Alors que l’utilisation des médias sociaux chez les canadiens francophones ne cesse d’augmenter depuis les dernières années, notre client doit avoir une bonne stratégie des médias socionumériques et nous croyons que Instagram, Facebook et Twitter lui apporterait une bonne présence en ligne.
Instagram gagne en popularité. En effet, une série de rapports sur le réseautage social publiés par l’Observateur des technologies médias (OTM) démontre qu’environ un quart des Canadiens y ont recouru dans le dernier mois. Instagram est la plateforme à ne surtout pas négliger pour créer une connexion émotionnelle avec ses consommateurs. Il est important de créer du contenu susceptible de susciter l’intérêt des réseauteurs et c’est pourquoi il faut connaître notre audience.
Malgré le fait que les médias sociaux numériques permettent à l’entreprise de créer une communication bidirectionnelle avec ses parties prenantes, il faut également prendre en compte que cette présence médiatique permet de concevoir une banque de données qualitative qui permettrait d’améliorer la production et distribution de la compagnie en question. Grâce aux médias tels que Facebook ou Instagram, il est possible d’établir des statistiques de performance et de construire le profil cible de notre public pour mieux pouvoir répondre à leurs besoins.
Virginie Gascon
Alexandra St-Germain
Audrey Paillé
guylitalien
/ 12 novembre 2017@ équipe J. Merci de votre commentaire. Un élément que vous soulevez et qu’on voit souvent parmi nos étudiants : «De plus, la communication bidirectionnelle symétrique permet au public de se sentir écouté et de savoir que son opinion à de l’importance. J’abonde dans le même sens que votre équipe que les médias socionumériques permettent d’agir dans un mode dialogique avec les parties prenantes. Cependant, si cette approche peut permettre aux publics cibles de se sentir écoutés, il ne faut prendre en compte que derrière cet effet, il faut un gestionnaire de communauté aguerri, une politique éditoriale claire et des pratiques courantes confirmant ce souci de bien comprendre ses publics et par conséquent qu’ils ont un véritable poids dans les orientations et les choix de l’organisation.
Stéphanie Paré
/ 12 novembre 2017Comme débutant en relation publique, nous conseillons à une startup d’opter pour une approche globale de la communication bidirectionnelle symétrique. De cette manière, l’entreprise peut partager du contenu tout en informant les acheteurs potentiels sur les différents produits et services offerts au sein de l’organisation. De l’autre côté, les consommateurs peuvent réagir aux contenus diffusés par notre client et publier leurs opinions. Ceci sera utile pour cibler les besoins et les désirs des consommateurs, et ainsi, améliorer certains points ou mettre en place de nouveaux projets. La startup vise principalement les jeunes de 16 à 25 ans.
En premier lieu, nous pensons qu’il serait important de créer une page Facebook pour l’entreprise. Ce réseau social est celui où l’on retrouve le plus grand nombre d’utilisateurs ce qui facilitera la visibilité de l’organisation. De plus, les consommateurs peuvent partager des liens ou des posts créés par notre client, et ainsi, faire connaître les produits et services en utilisant la méthode nommée le ‘‘bouche-à-oreille’’.
En deuxième lieu, Instagram stimulerait bien la présence de notre client sur les réseaux socionumériques, car étant le deuxième réseau le plus populaire, l’entreprise pourrait diffuser des images et des produits. Ceci ferait connaître aux consommateurs les options qui leur sont présentées. Les acheteurs pourront aussi partager des photos de leurs achats accompagnés d’une brève description. Grâce à ce choix de réseau, nous pouvons conseillons à notre client de mettre en place des concours de photos. On peut aussi affirmer qu’avec des photos, il peut être amusant de créer des ambiances ou des moments forts de l’entreprise ce qui attirera la curiosité des consommateurs.
En troisième lieu, les blogs sont de bons outils malgré le temps que nous devons y consacrer. Avec cette plateforme, l’organisme pourra transmettre de l’information pertinente en lien avec leurs produits et services. Aussi, c’est une belle manière de faire connaître plusieurs points différents. Par exemple, les matériaux utilisés, les valeurs de l’entreprise, etc. Un autre argument qui justifie notre choix est que nous pouvons diffuser le storytelling de la compagnie en y apportant notre ton personnalisé.
Groupe D
guylitalien
/ 12 novembre 2017@ équipe D. Merci de votre commentaire. Vous mentionnez de retenir une stratégie globale et il aurait été intéressant de vous lire davantage sur cette partie fondamentale. Bien entendu, une approche vis le numérique a beaucoup d’avantages mais doit être intégré à l’ensemble de la stratégie globale de l’organisation même une stratup! Les caractéristiques des plateformes et outils avancés sont pertinentes.
Nada Saoumah
/ 12 novembre 2017En tant que professionnelles du secteur des relations publiques, nous avons eu le mandat de convaincre le comité du Festival Zoofest de Montréal que leur implication dans les médias socionumériques est pertinente afin d’augmenter leur visibilité. Depuis 2009, ce festival présente une programmation diversifiée en humour et divertissements dans le secteur culturel. Certes, dans une stratégie de communication, il est essentiel pour une organisation d’être présent dans les médias. Ainsi, le Zoofest a le mérite d’être impliqué au sein de ces plateformes et pourrait même l’être davantage. Bien entendu, il est important de bien connaître notre public cible afin de bâtir notre image et notre réputation. Dans cette optique, impliquant des gens de la relève, cette organisation intègre de jeunes milléniaux dans le monde de l’humour et de la culture actuelle. Il va de soi qu’à leur début, ces humoristes de la relève commencent souvent dans les bars, interagissant par le fait même principalement avec des étudiants ou des jeunes. Ainsi, le public visé se constitue majoritairement de la génération Y. Une chose est certaine, le web 2.0 est inséparable de cette génération dû à leur proximité. Grâce au réseautage, les informations ont le pouvoir de se propager rapidement. Dans le cadre de notre intervention avec cette organisation, nous suggérons à cette dernière de s’orienter vers une communication bidirectionnelle asymétrique en considérant qu’il y aura assurément du contenu présenté sur les différentes plateformes. Toutefois, le but premier demeure avant tout: les interactions entre les différents parties prenantes soit l’organisation, les artistes et le public. Le principe relié à ce concept s’appuie sur le fait que ces interactions ne seront pas nécessairement toutes réparties de manière égale. Ainsi, il va de soi que le public se prononcera probablement davantage que l’organisme même sur ces plateformes puisqu’il est bien connu que les internautes aiment répondre aux questionnements des uns et des autres et ce, très rapidement afin de faire valoir leurs opinions.
Ainsi, trois médias socionumériques sont particulièrement adaptés au milieu culturel, qui, dans ce cas-ci, interpellent énormément les jeunes; il s’agit de Facebook, Twitter ainsi que l’application numérique du Zoofest. Tout d’abord, le concept de Facebook permet la propagation d’images, de publications et d’informations à une vitesse phénoménale. En effet, cette plateforme permet d’interagir avec des millions de personnes sur la planète et ce en une fraction de seconde. C’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle autant de personnes l’utilisent. À vrai dire, 6.684,478 partages sont fait à chaque minute à travers le monde. (Litalien, G. 30 octobre 2017, p.1.) Ceci étant dit, nous sommes persuadées que Facebook est un incontournable dû à son répertoire de contact inépuisable, sa facilité d’utilisation ainsi que la proximité entre les nombreux internautes. De plus, cette plateforme permet de se faire de la publicité gratuite en plus de demander peu d’effort en terme de travaille. Effectivement, bien qu’il y ait de la gestion de communauté à faire avec les réseaux sociaux tels que Facebook, tout le monde peut facilement aimer une page, la partager ou même interagir sur le mur et les publications de l’organisation. Pour le festival Zoofest, l’utilisation de Facebook se révèle plutôt pertinente puisqu’il permet d’informer et par la même occasion rester en contact avec le public cible. De plus, il est possible de garder à l’œil l’efficacité du contenu diffusé et l’intérêt du public. Tous ces outils permettent une meilleure gestion de communauté et rendent plus faciles et efficaces les stratégies de communication.
Ensuite, la plateforme Twitter nous semble bien alléchante pour la promotion de l’organisation. Effectivement, elle permet d’entretenir la relation tout au long de l’année avec les gens qui s’intéressent au festival Zoofest. Bien que cette plateforme demande plus de travaille, elle en vaut définitivement la peine. Il faut s’assurer d’être assez présent pour être vu par notre public cible puisque le contenu diffusé sur Twitter n’est que passager et sa projection ne dure que peu de temps. De plus, il est important de choisir le bon moment pour effectuer un tweet puisque l’impact n’est pas le même en tout temps. Sur cette plateforme, la plage horaire à favoriser se situe entre 13 et 16h pendant la semaine. Toutefois, il est à noter que le vendredi et la fin de semaine, ce n’est pas pareil. Le vendredi, les gens sont moins actifs après 15h et il est aussi observé qu’il y a moins de cliques sur les liens mis dans les publications. Pour ce qui est de la fin de semaine, la meilleure période pour faire des tweets se situe particulièrement entre 19h et 20h (https://www.blogdumoderateur.com/lheure-ideale-pour-poster-sur-facebook-twitter-et-tumblr/). De plus, ce réseau social permet de mettre de l’information sur les différents artistes du passé ou futur et même de les retweeter. Ceci permet d’apporter un intérêt pour tout ce qui se passe au cours de l’année pour l’organisation du Zoofest et également
de porter l’intérêt sur ce qui se passe avec les humoristes ainsi qu’en humour au Québec. Bref, Twitter est attrayant pour le Zoofest parce qu’il peut être utiliser autant lors du festival que lors des moments plus tranquille.
Finalement, Zoofest a eu une excellente initiative cette année d’incorporer une application mobile à leur stratégie de communication par les médias socionumériques, cette plateforme se nomme « Zoofest and Off-Jfl ». Nous croyons qu’il est important pour l’organisation de garder cette plateforme pour faciliter la diffusion aux intéressés. En effet, rares sont les gens qui ne possèdent pas un cellulaire et c’est souvent le moyen par lequel ils trouvent des informations. Par exemple, si des personnes se demandent quoi faire durant un soir du festival, ils n’ont qu’à ouvrir l’application et ils verront si un show les intéresse, ce qui facilite grandement la tâche. L’application est compatible avec un iphone, un ipad ainsi qu’un ipod touch (https://itunes.apple.com/ca/app/zoofest-and-off-jfl/id1237760581?mt=8). Ainsi, tous les spectacles du festival, qui se passe chaque année au mois de Juillet, se retrouvent sur celle-ci avec leur emplacement et leur horaire. Il est aussi possible de recevoir des notifications avec toutes les informations sur ceux-ci pour rappeler aux personnes l’événement qui les intéresse. De plus, l’application permet de créer un horaire personnel avec les représentations qui nous intéressent. Elle peut d’ailleurs se connecter à Facebook pour que l’on connaisse ce que nos amis vont voir. Ainsi, l’application est un moyen très efficace pour faciliter la planification des utilisateurs ce qui permet une plus grande présence aux spectacles puisque c’est comme un rendez-vous qui apparaît dans nos notifications de cellulaire. De plus, il est possible de rejoindre tous les médias socionumériques avec une seule plateforme. Ainsi, l’utilisateur peut avoir facilement accès à l’information désiré en allant qu’à un seul endroit. De cette façon, les personnes savent qu’ils peuvent aller sur cette application pour y retrouver ce qu’ils désirent.
Groupe L
guylitalien
/ 12 novembre 2017@ groupe L. Merci de votre commentaire. Vous me faites découvrir des éléments que je connaissais pas au sujet de Zoofest. Merci! Les éléments avancés dans votre commentaire soulève un point important en médias socionumériques, le développement d’une application pour un usage spécifique. Généralement, le besoin d’une telle application découle d’une approche de communication structurée et une bonne connaissance des publics de l’évènement.
Groupe E
/ 12 novembre 2017La vocation d’une startup est de faire de l’argent, mais également de se faire connaître et de ressortir du lot face aux autres entreprises existant déjà. Nous arrivons sur le marché, notre souci est de développer notre capital sympathie et notre réputation. Les médias sociaux nous permettent de faire ceci en nous affichant publiquement et en étant donc joignable et visible en tout temps, en plus de nous permettre d’interagir avec nos différents publics et publics potentiels. Ils nous permettent également de réagir plus rapidement et de prendre un peu plus de contrôle sur nos messages lors de couverture médiatique, qu’elle soit positive ou négative. Pour notre startup, nous voulons privilégier une approche bidirectionnelle symétrique afin de dynamiser notre présence sur le web et d’établir une relation de confiance avec notre public. Nous voulons nous positionner dès le départ comme une entreprise à l’écoute de sa clientèle et soucieuse de lui offrir une expérience numérique unique. Notre présence numérique se situera sur trois axes : une chaîne YouTube comme amorce, un compte instagram et un blogue. Il faut prendre en compte les liens que nous pouvons faire entre les différents médias sociaux en termes de partage et de publication (Insertion bouton lien). Toutefois, pour que ces trois médias sociaux soient efficaces, il est nécessaire d’établir une stratégie de présence numérique.
Notre chaîne YouTube servira d’amorçage. À l’heure où les personnes ont de moins en moins de temps, il est nécessaire d’investir dans du contenu vidéo court afin de susciter l’intérêt du public. YouTube est une de plateforme la plus utilisée ces dernières années (http://www.webrankinfo.com/dossiers/youtube/chiffres-statistiques). Une vidéo peut permettre de se présenter plus facilement à un public cible. Elle donne aussi un aspect plus humain et convivial à vos réalisations et les services que nous proposons, car mis en valeur par de vraies personnes. Elle nous permettra d’interagir avec notre communauté via les commentaires et ainsi identifier les clients potentiels. Le lien ainsi créé avec ceux-ci permettra de les fidéliser, par la suite de développer votre contenu YouTube plus spécifique et agrandir la communauté.
Ensuite, l’utilisation d’un compte Instagram permettra de donner et d’afficher une personnalité propre à notre startup. On pourrait par exemple faire ceci en gardant un thème visuel constant dans chacune de nos publications et les utiliser pour présenter la marque et ses employés. Instagram est utile pour rejoindre un public plus jeune (selon sproutsocial, surtout les 18-29 ans). Instagram est un bon moyen d’établir un lien avec son public en lui montrant les dessous de la compagnie et tous ceux qui travaillent à son succès. Cela donne également un certain caractère humain et authentique à cette relation, comme l’expliquent plusieurs entrepreneurs dans un article sur emarketing (http://www.e-marketing.fr/Thematique/social-media-1096/Breves/atouts-Instagram-marques-318371.htm#3MHGqR46x4kGfRw7.97).
L’utilisation d’un blogue vient en soutien des deux premiers aspects que nous avons développés précédemment. L’intention ici est de fortifier les liens créés avec notre public. C’est un excellent moyen de tenir informé votre public. Comme un journaliste écrit des articles, il est bon d’utiliser un blogue pour tenir au courant des faits inhérents à notre entreprise (nouveau produit, mise en place de nouveau partenariat, etc…) Tenir informé notre public sous entend le fidéliser. En obtenant leurs confiance, nous nous assurons une meilleur probabilité de les revoir et donc d’en faire des client réguliers. Le blog peut servir à générer un trafic sur notre site web. Il est judicieux de faire des liens à l’intérieur de vos publications avec d’autres articles, avec du contenu en ligne mettant en valeur vos produits (bilan annuel, eboutique, etc…) ou vers d’autres médias où nous sommes présent. Cette présence multiple permettra ainsi d’obtenir un bon référencement auprès des moteurs de recherches.
guylitalien
/ 12 novembre 2017@ équipe E. Merci de votre commentaire. Je constate dans votre commentaire tout comme dans ceux de nos collègues de classe, le recours au blogue. J’abonde dans le même sens que vous à ce sujet. Le blogue constitue une base interaction de longue portée et trop souvent négligée dans les organisations. Certaines organisations d’ailleurs ont poussé l’usage de outil à un niveau élevé en scindant les sujets et les contenus par publics cibles. Voir le content pool de Red Bull