Socionumérique et organismes publics, avenir prometteur

L’utilisation des nouveaux médias, toujours en croissance au Québec

Il est incontournable d’aborder la question des médias socionumériques dans une majorité cours de communication à l’université. Non seulement à cause du potentiel persuasif et dialogique de ces outils de générer de nouvelles formes de communication entre une organisation et ses différents publics, l’utilisation des nouveaux médias est toujours en croissance selon le Centre d’études sur les médias de l’Université Laval. La publication Comment les Québécois s’informent-ils ? présente les résultats de la quatrième enquête du Centre d’études portant sur les pratiques des Québécois en matière d’information. On peut y suivre l’évolution depuis 2007, année de la première enquête.

L’usage des médias socionumériques
par les organismes publics : le cas du Québec

Stéphanie Yates, professeure au département de communication sociale et publique de l’UQAM et Myriam Arbour, étudiante à la maîtrise à l’UQAM publient un article dans la Revue internationale Communication sociale et publique dans l’édition no 9 2013 intitulé L’usage des médias socionumériques par les organismes publics : le cas du Québec visant à faire le point de l’usage des médias socionumériques par des organisations publiques québécoises.

Les auteures de cet article scientifique se basent notamment sur les modèles de Grunig et al. (2002)[1] : agent de presse, promotion (information au public), bidirectionnel asymétrique et bidirectionnel symétrique et la théorie de la communication à double flux de Katz et Lazarfeld ( 1955) [2] qu’elles nomment à double étage dans leur article. Ces deux importantes références constituent des incontournables dans les cours et les séminaires académiques à l’université donc nos étudiants sont en mesure de bien circonscrire la réflexion proposée par Mmes Yates et Arbour. Ce qui est plus récent comme référence pertinente et bien illustrée dans l’article à la figure 2 est le modèle des niveaux d’engagement possibles sur les médias socionumériques inspiré de Chang et Kannan (2008)[3]. On y fait également référence à Coombs[4], un des auteurs dont je considère les travaux et les publications comme des incontournables pour réfléchir la communication des organisations.

J’incite vivement mes étudiants de la FLSH de l’Université de Sherbrooke et des facultés de la FEP et la Faculté des Arts et Sciences de l’Université de Montréal, à prendre connaissance de cet article des plus pertinents pour leurs travaux universitaires en communication et en relations publiques. Non seulement les deux auteures vulgarisent fort bien les théories susmentionnées, elles présentent une réflexion sérieuse, crédible et inspirante pour une planification structurée des objectifs communicationnels d’une présence sur les médias socionumériques pour une organisation.

Dans le résumé de leur article, les auteures affirment 

 l’usage de ces médias par les organismes publics en est encore à ses balbutiements. Si plus de la moitié d’entre eux sont présents sur ces plateformes, la communication unidirectionnelle demeure privilégiée et le caractère limité des interactions avec les citoyens tend à conforter la théorie de la communication à double étage, où les possibilités de dialogue demeurent rares. Divers facteurs laissent toutefois présager l’adoption d’approches plus novatrices à moyen terme.

Question pour mes étudiants du CPR 6001 de l’Université de Montréal

À la suite de la lecture de l’article L’usage des médias socionumériques par les organismes publics : le cas du Québec, et des notions vues en classe au sujet des médias socionumériques, quelles sont les avantages en matière de communication d’une présence sur les plateformes socionumériques pour des organismes publics. Au plaisir de lire vos commentaires.


[1] Grunig, J. E. (2009). «Paradigms of global public relations in age of digitalisation ». Prim, 6(2)

[2] Katz, E. & Lazarfeld, P. (1955). Personal Influence. New York, NY: Free Press.

[3] Chang, A.-M. et Kannan, P.K. (2008). Leveraging Web 2.0 in Governement. EGouvernment. (E-Gouvernement/Technology Series).

[4] Coombs, T. (2001). « Interpersonnel Communication and Public Relations ». Dans R. L. Heath (dir.), Handbook of Public Relations. Thousand Oaks: Sage.

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26 commentaires

  1. Véronique Casgrain

     /  26 novembre 2013

    Selon Stéphanie Yates, une présence sur les plateformes socionumériques engendre plusieurs avantages en matière de communication pour les organismes publics. Les médias socionumériques permettent à plusieurs individus de se regrouper en réseaux afin d’interagir, de collaborer, de partager ou de créer de l’information. L’utilisation des médias socionumériques permet la création de contact entre les organisations et leurs publics, soit les individus. Ces interactions permettent aux organisations de recueillir les commentaires du public rapidement.

    Il est possible d’utiliser les médias socionumériques afin de faire la promotion d’un contenu ou d’une publicité au même titre que de la propagande. Certains utilisent ces médias simplement pour la transmission d’information au public. En misant sur une communication unidirectionnelle, l’organisation s’assure que l’information demeure positive, à leur avantage. Le modèle de communication bidirectionnelle asymétrique permet au public de s’exprimer et de débattre sans toutefois avoir un impact sur la prise de décision. Quant à elle, la communication bidirectionnelle symétrique invite le public à participer au processus de prise de décision. L’utilisation des médias sosionumériques permet de rejoindre un grand nombre de personne dans un court délai.

    Cela dit, les plateformes servent de canal de diffusion rapide. L’organisation gagne à être présente dans les réseaux sociaux afin d’être au courant de ce qui se dit par rapport à l’organisation et ainsi pouvoir contrôler l’information en ajustant le tire. Elle a donc un contrôle sur l’information qui est diffusée. Cela permet donc d’atténuer les rumeurs en répondant aux inexactitudes. La présence sur les médias sociaux suscite l’intérêt du public et l’oriente vers le site Internet officiel de l’organisation.

    En bref, l’utilisation des médias sociaux engendre plusieurs avantages pour les organisations. Il est possible de faire de la publicité à faible coût. Les organisations peuvent utiliser les médias sociaux afin de transmettre des messages courts et clairs en temps réel, de maintenir des liens avec le public, de présenter des offres d’emploi, de faire de la promotion, de contrôler l’image institutionnelle sur Internet et donc se réapproprier son identité institutionnelle, d’augmenter sa visibilité, d’augmenter sa notoriété et de vulgariser des contenus plus complexes.

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  2. Le vidéo que l’on a vu au cours du 26 novembre présentant le maire de Victoriaville est à mon sens la démonstration parfaite de ce que les médias socionumériques peuvent procurer aux organismes, qu’ils soient publics ou non. Le principe « CLIP» (proposer un message court, limpide, imagé et populaire) a été utilisé avec doigté et ce modèle de transmission d’informations semble prendre de l’expansion sur la toile.

    Plusieurs avantages sont perceptibles pour les organisations publiques d’être présents dans les médias sociaux. D’une part, ils ont accès à ce qui est dit et diffusé à leur sujet, mais la possibilité de répondre à ces informations leur est aussi donnée. Ainsi, tel que discuté au dernier cours, il s’avère important d’être à jour en ce qui a trait aux rumeurs et aux différentes informations qui circulent, puisque plus on attend avant de mettre les pendules à l’heure et prendre une situation en main, plus les dégâts peuvent être importants. Ceci a évidemment trait aux situations où de fausses informations sont divulguées, mais aussi lorsqu’une organisation prend une décision non populaire ou fait un faux pas. Ainsi, les médias sociaux leur permettent de justifier leurs actions rapidement ou de contrôler et reprendre ce qui est déclaré à leur sujet, afin d’éviter certaines crises qui pourraient autrement se produire.

    Utile dans les situations ponctuelles ou de crise, les médias sociaux procurent aussi une possibilité particulièrement intéressante pour les organisations: de la publicité gratuite. Elles peuvent donc transmettre des messages à leur population cible tout en économisant sur les frais qui seraient nécessaire à la publication dans les médias de masse, soit à la télévision, à la radio, dans les journaux, etc. Le coût du salaire de l’employé responsable est ainsi nécessaire pour cette tâche, mais il est tout de même plus économe que de se diriger vers les méthodes traditionnelles de publicité aux prix exorbitants. Cette possibilité requière par contre beaucoup de temps et de dévouement, puisque les réponses doivent suivre le rythme que ces médias sociaux imposent, c’est-à-dire que les réactions doivent arriver rapidement.

    Dans un autre ordre d’idée, je trouve intéressant que plusieurs organisations utilisent les médias socionumériques pour recueillir de l’information chez les individus qui forment leur clientèle. Par le biais de questions posées sur twitter, facebook, etc. ou simplement d’annonces faites par les organisations, les utilisateurs de services peuvent donner leurs opinions et ainsi participer à l’évolution d’une organisation. Les réseaux sociaux peuvent être une source importante d’informations pour celles-ci lorsqu’elles sont en mode «recherche» afin d’établir un plan d’intervention de communication ou pour se doter de nouvelles stratégies organisationnelles. Les médias sociaux pouvant être qualifiés d’outils de communication bidirectionnelle sont donc rentables pour les organisations qui peuvent modeler leurs services en fonction de la demande de la clientèle, et ce, à moindres coûts.

    Pour terminer, chacun de ces droits et avantages sont jumelés à des responsabilités et c’est en assumant celles-ci avec rigueur que les médias socionumériques peuvent devenir favorables aux organisations.

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  3. Jade Raymond

     /  27 novembre 2013

    L’article «l’usage des médias socionumériques par les organismes publics : le cas du Québec» de madame Yates relève un bon nombre d’avantages qu’auraient les organismes publics québécois à être présents sur les plateformes socionumériques tels que Facebook, Twitter et Youtube : Voici, succinctement, ceux qui ont retenu mon attention :

    – Le caractère personnalisé des communications
    – La concrétisation de l’idéal de la communication bidirectionnelle symétrique
    – Davantage d’interactions entre les utilisateurs
    – Meilleur pouls des attentes des citoyens, facilité de diriger les objectifs
    – Forme de communication plus conviviale
    – S’assurer de la pertinence des politiques et de l’adéquation de leurs orientations avec les demandes sociétales
    – Engager la relation avec les citoyens
    – Corriger le tir sur certains sujets et enjeux initialement mal interprétés.
    – Autorégulation des échanges lorsque l’organisation émet son point de vue, puisque tout le monde a l’occasion de réagir aux commentaires tendancieux
    – Alléger le site Internet d’une organisation

    Personnellement, je crois que ces avantages peuvent être empiriquement observables que lorsqu’il y a une régularité de la présence de l’organisation public sur les médias socio numériques pour assurer un échange réel et non pas une diffusion unidirectionnelle. Je considère aussi que les informations ne sont pas toutes bonnes à faire connaître au public et qu’un choix à cet égard peut s’avérer très judicieux. L’information bien choisie peut toutefois servir à l’organisation et renforcer la confiance de la population à son égard. Une attention apportée sur ces aspects pourrait être rapidement appréciable pour les organisations publiques. Ayant embauché une personne attitrée aux communications sur ces réseaux 2.0, le SPVM de Montréal apparaît d’avant-garde dans ce dossier. Sa présence lui permet de rejoindre facilement les citoyens de jeune génération qui ont le réflexe de se tourner vers ces intermédiaires lors d’événements importants plutôt que vers le combiné téléphonique. Elle a accès à une évolution des événements en temps réel ce qui lui permet de répondre mieux à son mandat de protection citoyenne.

    Les cours magistraux ont été l’occasion de connaître quelques exemples de ces communications efficaces utilisant le principe CLIP. Comme le disais ma collègue ci-haut, la capsule diffusée sur Youtube par le maire de Victoriaville dans le contexte du conflit étudiant est un très bon exemple d’un message court, limpide, imagé et populaire qui peut être utilisé pour diffuser rapidement une information en situation de crise, par exemple. En plus, les coûts de diffusion sont réduits au minimum à comparer à une location de temps d’antenne similaire.

    En prenant compte les avantages et les limites susmentionnés, il est possible de faire vivre une expérience positive et profitable aux organisations publiques québécoises souvent frileuses à s’introduire dans les médias socio numériques.

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  4. Jarifa L.

     /  27 novembre 2013

    Tout d’abord, les organismes publics qui décident d’être présent sur les réseaux sociaux doivent utiliser cet outil comme un complément à leurs outils de communication traditionnels et non en remplacement. Dépendamment de l’organisme en question, avant de se lancer dans les médias socionumériques, l’organisme doit évaluer le but de sa présence. Par exemple, il sera plus pertinent pour un organisme qui fournit des services directs aux citoyens (Parcs Canada par exemple) d’y être présent que pour un hôpital public qui veut uniquement communiquer des informations. La différence dans ces deux cas est le degré d’interaction qu’on veut créer et qu’on est capable de soutenir à long terme. Parcs Canada par exemple, a plus intérêt à susciter de l’attention vers ses lieux et parcs historiques qu’un hôpital qui est plus limité dans les éléments nouveaux et pertinents à communiquer sur les réseaux sociaux. Il faut aussi tenir en compte du degré de controverse à l’égard de son organisme. Par exemple, un parti politique peut être avantagé si présent sur les réseaux sociaux mais doit être prêt à faire face à une ribambelle de plaintes et de dénonciations publiques contre lui. Hors il faut peser les avantages et désavantages propres à son organisme avant de se lancer des les média socionumériques, sous peine de créer l’effet contraire voulu.

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  5. Cet article nous démontre que quoique les médias socionumériques soient à ses premiers pas, déjà ils ont contribués à bouleverser l’ordre des choses au niveau des pratiques communicationnelles traditionnelles des organisations. D’après Dupin:« les réseaux sociaux sont envisagés comme des sites reposant sur un lien social, et les médias sociaux comme l’ensemble des sites proposant une interaction sociale». Les médias socionumériques permettent à plusieurs usagers de se regrouper en réseaux afin d’interagir, de collaborer, de partager ou de créer de l’information. L’utilisation des médias socionumériques permet la création de contact entre les organisations et leurs publics, soit les individus.

    Ces interactions permettent aux organisations de recueillir les commentaires du public rapidement. de nos jours peut importe la nature de l’organisation privée ou public, si elle ‘est absente dans les médias socionumériques, n’importe quel groupe d’individus vont prendre leur place surtout en situation de crise en véhiculant des informations qui ne sont pas toujours véridiques, car la nature a horreur du vide. En ce concerne les organismes publiques Québécois, j’imagine qu’ils vont vite comprendre que les médias socionumériques sont l’avenir de la communication du siècle et qu’ils ne prendront pas une éternité pour prendre ce train, à l’instar de Singapour qui a développé un site internet visant à intégrer l’ensembles des services dans une perspective client, centrée sur l’utilisateur et les citoyens ont la possibilité de partager leurs idées via le microsite.
    Nous avons un exemple plus proche de chez nous, la Colombie-Britannique où presque tous les ministères et les organismes publics ont un compte Facebook, Twitter, youtube ou Flickr.

    L’ère des médias socionumériques permettent aux organisations de passer d’une communication de masse, à une communication de nature plus interpersonnelle et dialogique qui est considérée comme le cœur de la communication bidirectionnelle. Cette forme de communication oblige aux experts en communication d’être toujours actifs car tout le monde est présent partout en temps réel à l’aide d’un clic généralement avec des images à l’appui, donc les experts en communication dans les organisations sont aussi obligés d’être partout en tout temps pour rectifier les tirs au besoin.

    Enfin, à cause de l’aspect direct des médias socionumériques, ils ont tendance à gagner en popularité, donc cela pourrait être une arme à double tranchante mais qui pourrait rendre plus de services encore à la collectivité.

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  6. Mathieu Beaulieu

     /  6 décembre 2013

    Alors que la population québécoise se familiarise de plus en plus avec les médias socionumériques, ce nouveau moyen de communication est une réelle opportunité pour rejoindre des publics qui s’éloignent des médias traditionnels. Ainsi, tenter de rejoindre les publics de moins de 30 ans via les médias traditionnels apparaitrait donc de plus en plus une dépense davantage qu’un investissement. Comparativement aux moyens de communications et d’affichage public traditionnellement employés, les médias socionumériques représentent une véritable aubaine. Premièrement, parce que l’utilisation de ses plateformes est gratuite. Ensuite, parce qu’elles tendent à rejoindre une part croissante de la population. D’autre part, la popularisation des MSN amène les médias de masse traditionnels à publier les évènements marquants qui sont apparus dans le cyber espace, ce qui accentue la porté du message initial.

    Une organisation reconnaissant le potentiel des médias socionumériques peut, tout dépendant de son niveau d’engagement(Chang et Kannan, 2008) favoriser une type de communication allant de : unidirectionnel et non-participatif à un type dialogique participatif. Une organisation inscrite dans les réseaux socionumériques s’offre un espace pour entrer en relation avec ses publics. Selon le modèle de relation public de Grunig, l’organisation peut miser sur différentes stratégies communicationnelle. Elle peut se faire de la promotion, informer le public concernant des aspects de son organisation, prendre le pouls de ses publics, ou entrer en dialogue avec eux et même stimuler leurs participations pour l’amélioration de ses produits/services. Voici donc plusieurs raisons et avantages de s’immiscer sur les MSN, d’investir sur ses pages et de les garder à jour.

    D’une part, une organisation sur les MSN peut sans difficulté s’informer en tout temps sur ce qu’il se dit la concernant ; connaitre les opinions et les réactions des gens par rapport à certains sujets d’actualité qui la touchent directement ou indirectement, connaître l’opinion de la population par rapport aux services qu’elle offre et à l’organisation en général ; permettre à la population de communiquer facilement à l’organisation ses commentaires, suggestions, plaintes et remerciements ; faire la promotion de l’organisation par des écrits, des vidéos, des photos ; clarifier instantanément les informations ou rumeurs communiquées au sujet de l’organisation ; prendre position publiquement sur certaines questions ; informer la population des nouveautés de son organisation ; rendre public son réseau de partenaires, etc.

    D’autre part, si l’organisation conçoit les interactions entre ses publics cibles telle une source de richesses favorable au développement de l’organisation, celle-ci peut ; profiter de ce moyen de communication pour entrer en interaction avec ses publics cibles et favoriser les échanges entre eux ; stimuler des débats ou des échanges pour connaître les opinions des publics cibles sur certaines questions ; partager des données institutionnelles ; créer des discussions pour faire émerger de nouvelles idées concernant les services offerts et s’en inspirer pour apporter des changements aux services ou à la vision ; participer aux échanges en temps réel avec le public ; montrer sa présence et son ouverture en répondant aux questions du public et à leurs propositions, impliquer les citoyens dans le changement ; renforcer le sentiment d’appartenance et le lien de confiance des citoyens envers leurs institutions ; organiser des évènements pour rencontrer les citoyens et les mobiliser à l’extérieur des MSN pour la cause de l’organisation, etc.

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  7. Maria Inés Sabogal Rubio

     /  6 décembre 2013

    On pourrait dire qu’encore un grand nombre d’organisations publiques sont en processus d’évolution et adaptation pour entrer dans cette nouvelle culture communicative qui a été imposé pour les medias socio numériques.
    Même si un grand nombre des organismes publics déjà sont présentes, on peut remarquer que certaines d’eux continuent à utiliser la communication unidirectionnelle.
    En premier lieu on remarque qu’à l’interne des organisations il est nécessaire un processus de formation pour les membres qui la composent à fin d’unifier les processus communicatives pour qu’ils puissent être utilisés avec tout le potentiel que les medias sociaux offrent. Donc, c’est un grand défi pour les administrations publiques.
    A partir de cette nouvelle culture communicative, les organismes publics peuvent être plus proches et plus présentes avec la clientèle externe (citoyens), en exercent activement les interactions bases sur des intérêts communs.
    Dans cette communication externe, les organisations publiques ont aussi une grande responsabilité vers les citoyens dans les sens que, leur communications bidirectionnelles et dialogiques avec le public (citoyens) soient enrichissantes et productives pour les parties en question.
    Jam E. Gruning « Le modèle de la communication bidirectionnel asymétrique se caractérise par l’introduction de la bidirectionnalité dans le processus communicationnel.
    Dans ce sens l’organisation peut recevoir un appui positive grâce à l’opinion de l’intelligence collective, qu’interagi de manière bidirectionnel sous des objectifs et intérêts communs entre l’organisation qui gère les lois, l’économie, la culture et tous les enjeux lies au gouvernement et le public. Aussi dans cette dialogique bidirectionnel, existe une grande richesse, et ce d’avoir un public multiculturel avec une diversité d’opinions et d’analyse, mais que les uni et intègre un même sujet.
    Jusqu’à quel point les commentaires des citoyens, vont influencer l’organisation dans sa pris de décisions ou des ajustements organisationnelles?
    Les medias socio numériques deviennent alors, un outil très importante pour l’organisme publique, en raison que celui-ci, est en train de présenter l’image corporative au public, Cette image qui fait présence en faveur d’une population qui leur a dépose la protection et gestion des intérêts communs.

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  8. Rejraj Ghassan

     /  7 décembre 2013

    Le phénomène des médias socio numérique a engendré plusieurs défis et avantages pour les différentes organisations. Lesquels, n’ont désormais plus le choix de maintenir leur présence dans ces médias sociaux.
    Dorénavant, le « vrai risque sur le Web, c’est de ne pas y être » (Blanc, 2010), ou comme l’explique plus clairement une des intervenantes qui participaient à un travail de recherche, mené pour le Commissaire à la santé et au bien-être du Québec à l’été 2011, en disant « Les gens avaient peur qu’on aille sur Facebook. Alors, on a dit : « On y est déjà, même si on n’y a pas accès, qu’on ne peut pas y aller, on parle déjà de nous. Le drame, c’est qu’on ne peut pas agir. Non seulement on ne peut pas être proactif, mais on ne peut pas réagir » (intervenante I-05, Gestion de l’État). (Voir Yates, 11). Surtout avec l’émergence du journaliste citoyen, qui a su bouleverser des gouvernements dans plusieurs pays du monde. Dorénavant, n’importe quel citoyen peut publier des informations ou des opinions sur le web et joindre des milliers, voir des millions de gens. Ça prend juste une caméra, un micro, ou tout simplement un clavier.
    Les organisations publiques n’ont plus le choix d’être présentes sur les médias sociaux car, dans tous les cas, on va parler d’elles. Il vaut alors mieux être présent pour communiquer, informer et clarifier.
    Outre l’obligeance d’être présent sur le web pour défendre sa réputation, les médias socio numérique offrent aux organisations beaucoup d’opportunités en matière de communication. Une présence dans les MSN permet aux organisations la mise en place d’une communication bidirectionnelle symétrique telle que prônée par Grunig et al. (2002) (Yates.p3).
    Les organisations ne sont plus obligées à dépenser des fortunes pour faire des sondages ou des focus groupe à chaque fois qu’ils veulent mesurer le pouls de leurs publics par rapport à un projet ou un évènement. Il suffit d’être actif sur le web pour pouvoir mesurer et étudier les réactions des gens, et même de sonder leurs opinions, gratuitement et de façon immédiate et continue.
    Aussi, l’aspect personnel des échanges et la communication directe avec le public de l’organisation installent plus de confiance et de transparence dans la relation entre l’organisation et son public, « la relation [organisation-public] peut être conditionnée par des caractéristiques Interpersonnelles telles que la confiance, l’ouverture, l’implication par l’investissement en temps et en effort ou l’engagement » (Rochowska, 2013, p. 47)
    Grâce au média socio numériques, les organisations publiques ne sont plus obligées de passer forcément par les médias traditionnels qui étaient les plus grands leaders d’opinion avant l’ère des MSN. Elle peut maintenant joindre le public directement et de façon permanente, et cela ne coute qu’un ou quelques salaires, selon le type d’organisation, et ses enjeux au niveau de la communication.

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  9. Frantz Thelemaque

     /  8 décembre 2013

    La présence des organismes publics sur les plateformes socionumériques offre plusieurs avantages en matière de communication. Dans un sens global, les plateformes socionumériques, selon l’article de Yates, permettent aux usagers de se regrouper en réseaux plus ou moins formels pour interagir, collaborer, partager ou créer de l’information et du contenu et de constituer un lien direct entre l’organisation et les composantes de ses différents publics. Les organismes publics devraient utiliser les outils et les services du Web 2.0 comme des moyens efficaces et efficients pour interagir avec le public, d’augmenter le niveau de transparence du gouvernement et de permettre aux citoyens de participer à améliorer la gestion de l’Etat et de rendre le gouvernement plus collaboratif.
    Les organismes publics qui ont une volonté réelle de communiquer avec le public devraient faire usage des médias socionumériques car ils constituent un outil de choix pour favoriser la mise en place du modèle de communication bidirectionnelle symétrique (Grunig, 2009). L’auteur décèle, cependant, que les organismes publics se servent des médias socionumériques avec l’objectif de se réapproprier leur identité institutionnelle, d’augmenter leur notoriété à mieux remplir leur mission d’information, d’établir un dialogue avec leur clientèle et d’éviter le filtre des médias.
    Chang et Kannan présentent les différents niveaux d’engagements d’utilisation que les organismes publics peuvent faire des médias socionumériques. Ils peuvent les utiliser notamment pour leur usage de communication, pour l’interaction et comme moyen de privilégier le service. Plus l’organisme est orienté vers le service, plus son niveau d’engagement sera élevé et plus l’organisme est orientée vers la communication moins son niveau d’engament sera faible.
    Les organismes publics doivent tirer avantage des médias socionumériques en l’utilisant pour dialoguer avec le public et présenter leur mission et leurs valeurs. En se référant à la vidéo produite par le maire de Victoriaville lors de la crise étudiante, nous déduisons que l’utilisation des médias socionumériques aide à réduire les coûts liés à la production de l’information dans ces organismes. Ils permettent de rejoindre un type de public en particulier.
    Malgré que les organismes publics aient des objectifs et des missions différents, il convient, donc, de les inviter à utiliser le modèle de communication bidirectionnelle symétrique sur les plateformes des médias socionumériques au lieu du modèle de communication unidirectionnelle asymétrique. Il faut qu’ils accordent plus d’importance à leur communication pour que l’information véhiculée soit uniforme. Cela renforcera davantage la crédibilité de l’organisme.

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  10. Kouyou Tossowou Hezouwe

     /  9 décembre 2013

    D’après Stéphanie Yates et Myriam Arbour, bien que l’utilisation des médias socionumériques par les organismes publics québécois, n’en soit qu’à leurs commencements, on y remarque une croissance sur le plan de la communication organisationnelle.

    L’usage des médias socionumériques permet aux utilisateurs de ces plateformes de se regrouper en réseaux pour interagir, collaborer, partager pour ainsi créer de nouvelles informations. Ce moyen de communication profite aux organisations de communiquer de façon distinctes et d’établir des liens directs et personnalisé avec leurs différents publics; ce qui leur permettrait de passer d’une communication de masse à une communication interpersonnelle et d’établir un réel dialogue avec les citoyens. Ainsi, l’utilisation des médias sociaux numériques constituent un outil principal à la réalisation de l’idéal qui est la communication bidirectionnelle symétrique. Grunig et al. (2002)

    Les plateformes socionumériques servent de canal de transmission et de contrôle de l’information. Cette stratégie permet aux organisations d’avoir une présence limitée sur les sites tout en se familiarisant avec les outils du web.
    Certaines organisations profitent du moyen d’interaction pour mieux échanger avec les citoyens tout en cherchant à bénéficier de «l’intelligence collective» (Lévy, 1994)
    Les médias sociaux numériques sont non seulement un moyen de mieux comprendre la clientèle et de s’en approcher mais elle offre un volet complémentaire, celui d’accroître la popularité d’un organisme auprès des publics difficilement joignables à travers les médias traditionnels.

    Le phénomène d’autorégulation des échanges est un avantage parmi tant d’autres en matière de communication qui permet aux usagers de réagir aux commentaires inappropriés d’autres internautes. Ainsi, le fait d’opter pour la transparence des échanges donne l’occasion à certains organismes de participer aux discussions leur permettant de se corriger, prendre position et d’exprimer leur point de vue sur certains sujets et enjeux initialement mal interprété.
    Les médias sociaux numériques visent particulièrement à susciter l’intérêt des citoyens envers l’organisation pour éventuellement les amener à consulter le site officiel. Une de ses spécificités serait d’amener l’information vers les usagers. Le ton adopté sur les médias socionumériques est plus familier et léger, favorisant ainsi la vulgarisation de contenus plus complexes.

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  11. Les plates formes socionumériques facilitent les interactions, les collaborations, les partages et les créations de l’information et du contenu auprès de la population. Grâce aux nouveaux outils de communication les organisations peuvent par le biais de Facebook, Twitter, YouTube etc. communiquer avec une vaste population et sensibiliser toutes les tranches d’âge de la population. Ainsi avec ces outils numériques, les organisations peuvent sensibiliser les jeunes, qui sont une génération très habile avec les outils numériques. Ces plates formes promouvoient la communication de masse, mais également assurent une communication directe, bidirectionnelle et personnalisée. Ainsi les individus peuvent se regrouper en réseau pour interagir, partager, débattre sur l’information qu’on leur communique. Les plates formes socionumériques permettent un réel échange entre l’organisation et l’usager. Elles permettent de redynamiser les relations avec les citoyens. Cette redynamisation permet d’établir un lien de confiance entre l’organisation et le citoyen. Elles génèrent un sentiment de transparence, elles établissent un dialogue avec les PP, de plus elles évitent les filtres médiatiques et elles rejoints les leaders d’opinions (journalismes, personnes ressources, etc.). Grâce à ces plates formes socionumériques, les organisations peuvent augmenter leur notoriété et leur visibilité auprès de la population. Les plates formes socionumériques sont des canaux de diffusion qui révolutionnent la communication du 21ème siècle, elles humanisent les organisations auprès des individus.

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  12. Karimé Issa

     /  9 décembre 2013

    Les médias socionumériques ont plusieurs avantages en matière de communication. Selon le texte étudié, une organisation sur deux est présente dans les plateformes au Québec. La participation et l’échange se développent au fur et à mesure, lentement, et il reste beaucoup à travailler. Au Québec, une grande partie des entreprises démontrent avoir une communication faible envers leur publics. Pour en tirer profits dans l’utilisation de médias socio numérique, l’entreprise doit voir les médias socionumérique comme une opportunité de se développer et améliorer les services. De même, les entreprises doivent avoir une volonté réelle pour améliorer la communication. Cela doit être une priorité dans leur plan de communication. Lorsqu’une une entreprise développe un plan de communication accès sur l’engament vers son public, les bénéfices sont multiples. Elle démontre une cohérence rattachée aux valeurs, mettant réellement au cœur les besoins des clients, cela permet d’améliorer la qualité et la performance des services. De même, l’organisation fait preuve de transparence et d’intégrité lorsqu’elle est engagée dans la communication envers son public. Plus le niveau de transparence est haut plus les gens se sentent impliqués et ils veulent participer à une échange. Le volet des nouvelles technologies est une opportunité pour grandir en partenariat avec son public, car celui-ci contribue intrinsèquement la sa mission de son entreprise.

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  13. Julie Ouellette

     /  9 décembre 2013

    Premièrement, il y a plusieurs types d’organismes publics et je crois qu’il est important d’en être conscients avant d’affirmer qu’il est indispensable que ces organismes soient présents et même actifs sur les réseaux socio-numériques. En effet, un organisme public tel qu’un hôtel de ville ou une bibliothèque n’aura pas les mêmes enjeux communicationnels qu’un hôpital. Il est certain qu’il est important de s’ajuster avec la technologie et ainsi assurer une communication bidirectionnelle avec le public. Pour ma part, comme je travaille au sein d’un centre hospitalier, je m’intéresse aux enjeux de l’utilisation des médias socio-numériques dans le domaine de la santé. Tout d’abord, il m’apparaît évident que la gestion de crise constitue en enjeu primordial. Un hôpital est constamment en attente d’une crise. Que ce soit une éclosion d’une bactérie, une maladie contagieuse, le manque de personnel, un accident avec plusieurs blessés ou un scandale financier, un hôpital doit être prêt à communiquer avec le public. Habituellement, le département des communication d’un hôpital possède des stratégies bien établies mais je trouve très intéressant les possibilités que les médias sociaux-numériques peuvent offrir. je crois qu’il est incontournable de conserver la plupart de ces stratégies telles que les communiqués ou les conférences de presse mais les médias sociaux-numériques peuvent apporter une couleur différente et créer un lien particulier avec le public lors d’une gestion de crise. La promotion de la santé est aussi un enjeux de communication important dans l’utilisation des médias sociaux-numériques. En effet, dans un système de santé où l’accès à un professionnel est souvent laborieux et limité, les médias sociaux-numériques pourraient faciliter l’interaction entre eux et leur public. Ce type de communication permet d’accéder à un public très larde et ainsi réussir à faire entendre un message qui peut se perdre en utilisant uniquement les canaux actuels. Finalement, je considère que les médias sociaux-numériques peuvent être très utiles lorsqu’on s’intéresse au recrutement au sein d’un centre hospitalier. En effet, en 2009, un Lip Dub de l’Hôpital Sacré-Coeur a été fait par les gestionnaires et vu par plus de 186 000 personnes sur la chaîne YouTube afin de favoriser le recrutement. La mission a été réussie et plusieurs nouveaux employés ont été engagés suite à cette initiative. J’imagine l’impact encore plus grand que ce vidéo aurait eu avec l’ère Twitter dans lequel nous évoluons! Bref, je crois qu’il y aurait plusieurs avantages pour un hôpital à se servir des médias sociaux-numériques pour créer un lien particulier avec les usagers, les citoyens ou leurs employés. Il suffit d’établir des règles bien précises et claires afin d’éviter les débordements et les dérapages que ce genre de médias entraîne.

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  14. Pénélope-Alexandra Venskus

     /  9 décembre 2013

    L’article « l’usage des médias socionumériques par les organismes public : le cas du Québec », les participants et les chercheurs relatent plusieurs avantages à être présent sur les plateformes socionumériques :

    le potentiel d’établir une communication plus directe et plus personnalisée entre une organisation et ses publics;
    moyen de redynamiser leurs relations avec les citoyens, dans le contexte de crise de confiance actuel;
    la reprise du contrôle de l’image institutionnelle sur Internet;
    la visibilité pour un projet spécifique;
    augmenter sa notoriété, mieux remplir sa mission d’information;
    établir un dialogue plus personnalisés avec sa clientèle et mieux la comprendre;
    éviter les filtres des médias.

    En prenant part à la communication de nature dialogique, les organisations publiques prennent une place qui est à leur avantage. En outre, ils bénéficient de la contribution collective des individus quant à la réalisation de leur mission. Dans le texte de Arbour et Yates 2013, on souligne que l’utilisation d’un ton plus léger et vulgarisé, favorise la compréhension des contenus plus complexes pour la population.

    Aussi, il est possible de constater suite à la lecture des notes de cours qu’il est avantageux pour un organisme public d’être présent dans les plateformes socionumériques. L’organisation a en effet accès rapidement à l’information qui est écrite sur eux et par le fait même la possibilité d’y répondre tout aussi rapidement. Cet échange donne lieu à un modèle de communication bidirectionnelle symétrique. En effet, la démocratisation de la communication, la rapidité de la circulation de l’information et l’authenticité des informations qu’on y retrouve sont des avantages pour les organisations publiques comme pour leur public.

    Les informations qui se trouvent sur les médias sociaux sont aussi d’une grande valeur pour l’organisation. L’organisation peut se mettre en mode « veille » en recueillant les informations pertinentes, en les analysants et produisant du renseignement. Éventuellement, cela pourra servir pour les considérations stratégiques, opérationnelles et tactiques de l’organisation. Également, l’organisation peut se servir de la plateforme à son avantage en faisant une publicité et tout cela à très faible coût.

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  15. Catherine Samaké

     /  9 décembre 2013

    Il est très important pour les organisations d’être présent sur les plateformes sociales du WEB car ce sont des incontournables! Quel que soit le public cible qu’on essaie de rejoindre, il y est. Il y’a autant de panoplie de médias sociaux numériques que de publics à cibler.
    • La présence d’une entreprise dans les médias sociaux numériques est un moyen efficace de s’affirmer tout d’abord (contrôle de l’image institutionnelle), de diffuser son message, de défendre ses opinions, et clarifier les conceptions erronées que pourrait avoir le public ou les clients face à tel produit ou service, et de sonder son public. Le WEB est même la place idéale pour effectuer des études de marché, des sondages etc..
    • L’avènement des médias socio numériques constitue un développement majeur sur le plan de la communication organisationnelle, ces médias ayant le potentiel de générer des formes nouvelles de communication entre une organisation et ses divers publics : Elle permet une communication plus directe avec leurs consommateurs.
    • Le modèle de la communication à double étage n’est plus une réalité sur le WEB car les organisations peuvent maintenant passer d’une communication de masse à une communication plus interpersonnelle. Elles peuvent maintenant échanger, dialoguer, avec ses publics, interagir, et collaborer (communication bidirectionnelle symétrique)

    L’autre avantage est que l’organisation peut décider de son niveau d’engagement sur le WEB :
    • Elle peut décider de juste ‘’figurer’’, d’être présent sur le WEB tout en contrôlant le contenu diffusé. Dans cette perspective communicationnelle de premier niveau de la pyramide – les plateformes socionumériques servent de canal de diffusion, au même titre que les médias de masse. Leur utilisation dans ce cas-ci est orientée vers la communication unidirectionnelle plutôt que vers l’interaction avec les publics.
    • Elle peut décider d’aller à la rencontre de son public, d’interagir, d’échanger davantage avec les citoyens afin de recueillir leurs commentaires à propos des services offerts ou des enjeux auxquels elles font face. Dans une telle perspective de second niveau, les organisations cherchent également à tirer bénéfice de « l’intelligence collective » (Lévy, 1994), notamment par la création de nouveaux contenus par des tiers partis.
    • Elle peut décider de laisser le champ libre au public en leur donnant accès aux données institutionnelles de l’entreprise. Dans ce troisième niveau, la communication est liée au service et à l’ouverture des données.
    En résumé, Les objectifs communicationnels de la présence d’une organisation dans les médias socionumériques en fonction de leur importance peuvent se résumer en 5 points :
    • se réapproprier son identité institutionnelle
    • Visibilité de l’entreprise pour un projet spécifique
    • Augmenter sa notoriété et mieux diffuser son message
    • Établir un dialogue avec ses publics, mieux comprendre sa clientèle
    • Défendre sa réputation.

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  16. Alicia Élizabeth Morales

     /  9 décembre 2013

    En terme de gain pour les organismes publics, les médias sociaux numériques sont essentiellement une nouvelle porte d’entrée en matière de communication pour ces derniers. En effet, comme nouveau moyen de communication les MSN transforment les réseaux de communication déjà existants entre les organismes publics et leur public cible. Plusieurs dimensions au niveau de la communication tendent à changer et évoluer dans ce réseau, mais les MSN c’est avant tout un changement qui devrait être perçue comme une opportunité de revaloriser les différents types de relation de confiance qu’entretiennent les organismes avec les personnes qui utilisent leur service. Dans un premier temps, il est question pour les bénéficiaires de communiquer leur voix à n’importe quel moment de leur journée et à partir de n’importe quel lieu. Quant à l’organisation, il s’agit de rejoindre les bénéficiaires via les MSN. La voix de l’organisme s’illustre à travers divers types de communication alors que leur vision repose sur différents objectifs communicationnels que peut avoir une organisation sur sa présence sur le web 2.0 (l’usage des médias socio numérique par les organismes publics : le cas du Québec p.65). Les objectifs tels que se réapproprier son identité, augmenter la visibilité d’un projet, augmenter sa notoriété, ouvrir un dialogue ou diminuer le filtre des médias, ce sont essentiellement des avantages d’être sur une plate forme numérique. De plus, les différentes plates formes disponibles peuvent offrir la possibilité aux organismes de mettre de l’avant tous ces objectifs en même temps. Par exemple, Facebook peut être utilisé pour avoir une identité numérique alors que partager de l’information à travers des vidéos Youtube permet d’augmenter sa visibilité tout en ayant l’option d’avoir une approche personnalisée.

    D’autre part, l’organisation par sa présence dans les MSN peut avoir accès à de l’information pertinente sur ses services et ainsi peut prendre action sur cela. Des moyens peu coûteux, mais dont il faut être vigilant à long terme. D’ailleurs, c’est pour cela que détenir une politique de communication permet de mieux cibler notre vision en tant qu’organisation afin de mieux gérer les messages que l’on veut transmettre et ainsi détenir un contenu authentique. Parmi des notions telles que le CLIP ou SMART il est possible de rendre compte d’informations précises au public tout en étant créatif, amusant et crédible. Un côté moins formel qui donne le goût d’y retourner et de partager l’information!

    Cela dit, on constate que le niveau d’engagement choisi par l’organisation peut avoir un effet sur le type d’échange qui sera présent sur les MSN. En effet, plus l’organisation sera engagé et présentera une ouverture dans les échanges présents sur les MSN plus les personnes vont avoir tendance à les utiliser et du fait même à continuer à interagir avec l’organisation. Il faut souligner que selon les niveaux d’engagement, la gestion de crise tend à être encadrée d’une façon différente notamment parce que le droit de regard sur le contenu change. La problématique qui peut suivre, c’est que les effets de la crise peuvent être considérés comme inattendus ou ayant un impact beaucoup plus important qu’ils ne paraissaient l’être. Une crise peut importe l’engagement de l’organisation face au contenu véhiculé dans les MSN a un impact directement sur celle-ci. « En matière de communication en situation de crise, le porte-parole sera rapidement sous les feux de la rampe. Au-delà de sa crédibilité personnelle et professionnelle, ce sera celle de toute l’organisation qu’il engagera par ses déclarations.» (Maisonneuve 2010)

    Par conséquent, je pense que les organisations ne sont pas à l’abri de mauvaise décision durant leurs premières tentatives et avec l’étendue des possibilités rencontrées pour passer un ou des messages. Ils ont l’intérêt commun de vouloir détenir un profil authentique sur leur information afin d’éviter que d’autres contrôlent l’image de l’organisation à leur guise. Certains vont encore avoir de la difficulté à percevoir quel type de gain peut rapporter les MSN au sein de leur organisation. Je souhaite que dans un idéal proche, les organisations soient mieux préparer et soucieuses de l’importance de cette préparation pour maintenir des relations privilégiées avec leur public car c’est un phénomène sur lequel on ne pas fermer les yeux! En somme, on souhaite que les organisations soient davantage plus enclins à utiliser les MSN à des fins de communication bidirectionnelle symétrique où le dialogue sera pris en considération comme une valeur ajoutée afin que l’organisation adhère à l’idée qu’il s’agit là d’une opportunité de faire participer son public à l’évolution de celle-ci et ainsi offrir au public de suivre cela en temps réel sur les MSN !

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  17. Suzanne Rodriguez

     /  10 décembre 2013

    Suite de la lecture L’usage des médias socionumériques par les organismes publics : le cas du Québec et des concepts que vu en classe nous voyons l’importance des organismes public à être présent sur les médias sociaux numérique. De plus en plus nous constatons que les organismes public utilisent ce mode de communications pour rejoindre ses publics.

    Diffèrent organismes public utilisent les medias sociaux a diffèrent degrés. Chaque organisme à un niveau d’engagement diffèrent. Par contre, la présence amène plusieurs avantages.

    Un organisme public qui utilise les médias sociaux peut inspirer plus de confiance. Ceci peut amener une plus grande ouverture, ceci amené un engagement de l’organisme vers son public. Cet usage peut avoir un gain positif et amène un niveau de transparence. Quand un organisme est sur une plateforme Web , ça démontre qu’il a un engagement vers son public, il partage l’information pertinente sur l’organisme

    Le public est informer directement et peut recevoir des nouvelles provenant de l’organisme aussitôt qu’elles sont lancés. Il a un certain lien et relation qui se créer entre l’organisme public et le public/citoyens.

    Si une urgence ou une crise survient c’est un moyen de communication rapide qui joint une grande population. Par le biais des medias sociaux les informations transmissent peuvent être mise à jour rapidement pour que le public soit averti et sachent quoi faire en tout temps.

    De plus, les organismes qui ont un engagement bidirectionnel avec leur public, on d’autres avantages car le public se sent écouter en donnant leur opinion. Le public partage leurs idées et opinion et ceci amène une valorisation à la population. L’organisme public peut mieux atteindre leurs objectifs en ayant une relation constante et en écoutant le feedback du public.

    Les réseaux sociaux numériques peuvent amener la création de groupe d’intérêt, ceci permet de former des liens et un plus grand partage de nouvelles et d’idées peuvent être distribué. De plus, le plus grand nombre de personnes qu’on peut rejoindre peut être un grand avantage quand on veut partager un message ou on veut promouvoir un produit. C’est un moyen d’atteindre un grand auditoire à moindre coût.

    Si un organisme public veut être à l’affut il va devoir utiliser les médias sociaux numérique mais en choisissant le type de medias (Facebook, Tweeter, You tube …), en faisant attention à quel niveau d’engagement il s’implique pour ne pas décevoir son public et s’assurer d’obtenir le résultat le plus positif possible.

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  18. Mariama sarr

     /  10 décembre 2013

    Même si les médias socio numériques prolifèrent il demeure que leur utilisation par les organismes publics demeure encore faible. Et pourtant ces médias sociaux numériques à l’image de Facebook de twitter, Youtube, flickr demeurent avantageuses pour les raisons qu’ils apportent un plus par rapport aux médias traditionnels. En effet si avant les organisations avaient besoins de se faire connaître, de faire une publicité sur des produits, d’avertir leur clientèle sur des activités entreprises en passant par les médias traditionnels qui leur coûtaient cher et parfois insuffisants, aujourd’hui ils peuvent le faire facilement et gratuitement et de façon plus rapide à travers les médias et atteindre une clientèle plus élevés.
    Par ailleurs tout organisme en ce 21 éme siècle qui n’est pas dans un réseau de média sociaux peut se voir reléguer au second plan. Parce qu’il est possible de vendre l’image de l’organisation et en même temps de combattre ces concurrents par l’intermédiaire de ces médias sociaux numériques.
    Notons aussi que même si la communication unidirectionnelle dans les réseaux sociaux permet à l’organisation de se faire sa publicité. Selon les résultats de l’enquête les médias sociaux tel que Facebook permettrait aux organismes publiques de faire des publicités sur leur offre de travail, ou encore Youtube pour les publications institutionnelles, les communiqués de presse ou autre.
    Le fait d’entreprendre une communication symétrique bidirectionnelle avec sa clientèle au niveau de ces réseaux sociaux peut lui permettre de se développer de s’améliorer de connaître les attentes et de mieux comprendre sa clientèle. C’est un moyen aussi pour le client de se sentir plus proche de l’organisation s’il lui est possible de donner son opinion. En effet comme le souligne Yates et Arbour (2013) les médias socio numériques permettent justement l’établissement d’un lien direct entre l’organisation et les composantes de ses différents publics (soit les individus). Les medias sociaux seraient un moyen pour les organisations publiques de redorer leur blason.

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  19. Stefany Vanier-Legault

     /  10 décembre 2013

    Les organismes publics peuvent bénéficier de plusieurs avantages communicationnels en utilisant les plateformes socionumériques (Facebook, Twitter, YouTube…). D’abord, ils peuvent divulguer de la publicité gratuitement. C’est un avantage de taille étant donné que la publicité traditionnelle (affiche, annonce télé et radio…) coute une fortune aux organismes. De plus, en publiant sur des plateformes, les organismes touchent une grande masse populationnelle et peuvent ajuster leurs publicités en fonction des différents publics présents sur les plateformes (en recueillant de l’information sur la clientèle). Présentement, cet avantage est encore peu utilisé au Québec comparativement aux États-Unis. De plus, les organismes qui utilisent cet avantage limitent leur utilisation à l’état d’outils de promotion ou comme information au public alors qu’une utilisation symétrique bidirectionnelle serait extrêmement profitable pour eux (modèle de Grunig). En effet, l’utilisation symétrique bidirectionnelle permet au public ciblé par l’organisme de participer à tout le processus de prise de décisions. Ceci crée un réel sentiment d’appartenance et favorise la fidélisation de la clientèle en plus de créer un échange réel avec celle-ci. Les médias socionumériques permettent de personnaliser leur communication avec leur public cible.

    De plus, la présence des organismes publics sur les plateformes leur permet d’être au point au niveau des informations qui circulent à leur sujet (l’opinion des gens). En étant au courant de ce que les gens pensent d’eux, ils peuvent se justifier en plus de s’améliorer au fur et à mesure.

    Un autre avantage de l’utilisation des plateformes socionumériques par les organismes est de mieux comprendre sa clientèle. Pour certains organismes, il est important d’être en contact direct avec la clientèle afin d’offrir des services mieux adaptés et personnalisés.

    Malgré tous les avantages que peut amener l’utilisation des plateformes socionumériques, les organismes publics se limitent généralement à une utilisation unidirectionnelle étant donné que leur usage est en début d’émergence; nous apprenons à les utiliser. Cependant, en créant une communication bidirectionnelle avec leur public cible, les organisations bénéficieraient de leur collaboration quant à l’atteinte de leur mission.

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  20. Hélène Robillard

     /  10 décembre 2013

    Les organisations publiques québécoises ont certainement avantage à être présentes sur les plateformes web des médias socionumériques. Ces plateformes leur permettent de se rapprocher de leur clientèle gratuitement. Ils peuvent ainsi, divulguer de l’information, avoir des interactions avec le public et les partenaires, et même utiliser le potentiel de ses interlocuteurs pour arriver à leurs fins organisationnelles. Les médias socionumériques favorisent la relation de communication bidirectionnelle symétrique, mais cette relation est encore mal exploitée par les organisations. D’une autre part, même si ces organisations ne le veulent pas, elles sont quand même présentes sur ces médias sociaux. On parle certainement déjà d’eux. Alors il est beaucoup plus avantageux pour eux d’être proactif en prenant connaissances des informations qui circulent à leur sujet, de les corriger au besoin et de promouvoir une belle image de l’organisation.

    À titre d’exemple, je ferai mon stage dans une institution publique (un CSSS) à la session prochaine et cette institution n’est aucunement présente sur les médias sociaux numériques. Même leur site web officiel est très limité en terme d’informations divulguées et pourtant, c’est une très grosse organisation qui offre une vaste gamme de services. D’autres organisations du même secteur d’activités sont présentes sur Facebook, mais sans plus.
    La mission des CSSS est d’offrir des services de première ligne (services de bases et services d’urgences) à la population de leur territoire. En réalité, ce sont surtout les organismes communautaires de ce territoire qui remplissent ce mandat puisqu’ils sont beaucoup plus proches de la population. Ceci s’explique parce que la population n’est pas toujours au courant des services offerts par les CSSS et ces services ne répondent pas toujours adéquatement aux besoins de cette population. Alors, la présence des CSSS sur les médias sociaux leur permettrait d’être plus près de leur clientèle, en divulguant de l’information sur leurs offres de services et en recueillant de l’information quant aux attentes de la population sur ces services offerts.
    Dans le cadre de mon stage, j’aurai à proposer un programme de groupes de parents qui ont un enfant handicapé. Ces groupes viseront à former les parents quant aux caractéristiques et aux besoins spécifiques de leurs enfants. Pour ce faire, il est important que je sois au courant des attentes des parents face à un tel projet, puisque ces groupes existeront pour répondre à un besoin exprimé par ces parents. Je crois que l’utilisation des médias sociaux pourrait faciliter mon travail et améliorer son contenu. Ainsi, ces parents seront informés que de tels groupes existent et comprendront en quoi ils consistent. Mais surtout, je pourrai entretenir des relations dialogiques avec eux afin de recueillir de l’information pertinentes pour adapté le programme aux attentes et besoins spécifiques des parents.
    Ces médias socionumériques sont présents qu’on le veule ou non. Alors pourquoi ne pas utiliser leur potentiel communicationnel à notre avantage!

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  21. Adriana Becerra

     /  10 décembre 2013

    Les avantages de l’utilisation de medias socionumeriques varient selon le plan de communication que l’organisation a déterminé. Pour les organisations publiques les medias socionumeriques peuvent représenter le contact vers son publique en accord avec le premier niveau d’engagement de kang et kannan (2008).

    Les organismes publiques ont compris que l’orientation vers la communication aide à l’organisation a transmettre ses activités, programmes, ressources, offres d’emplois etc. et donne un profil de transparence que le publique comprend de façon général. Les medias socionumeriques aident a soutenir l’image institutionnelle de l’organisation, clarifier information erronée, actualiser les donnes et a maintenir visible et actuel.

    Rester en contact avec les clients et les citoyennes est un avantage en relation a la participation en la gestion de l’État, l’amélioration des processus des organisation et les services, mais c’est aussi une responsabilité permanent que demande un haut niveau d’organisation et gestion de l’information. Prend compte les couts de la publicité traditionnel, les medias socionumeriques sont une grande avantage pour les organisations.

    « Au terme de notre analyse, on constate que la volonté d’établir un dialogue authentique avec le citoyen ne figure pas parmi les priorités des organismes publics rencontrés » (S. Yates et M. Arbour) La question est si les organisations publiques veulent être en contact avec le publique, o veulent juste maintenir une communication unidirectionnelle. Les conditions technologiques sont déjà prêts pour avancer au deuxième niveau d’engagement (l’interaction), mais le niveau d’implication dans ce processus de la part des organisations est superficiel.

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  22. Hélène Audrey Bénard

     /  10 décembre 2013

    Nombreux sont les avantages reliés à l’utilisation de plateformes socionumériques, tels que le fait de créer de nouvelles façons de communiquer avec les différents publics de l’organisme. Il forme aussi une communication bidirectionnelle symétrique, ce qui permet d’avoir une certaine relation de confiance organisation-public, une relation interpersonnelle dialogique. Le public est considérer comme partie prenante dans le processus de décision de l’organisme et sa participation est valorisée. Le fait d’être présent sur les médias sociaux permet une plus grande visibilité, une notoriété et permet aussi d’atteindre beaucoup plus de gens simplement et rapidement. De cette façon, l’organisme à l’opportunité d’être toujours au courant de ce qui se dit à son propos, de pouvoir donner de l’information juste et claire selon le message qu’elle veut diffuser et de pouvoir rectifier rapidement les fausses rumeurs en expliquant les faits réels au public. Elle garde alors une belle image tout en rassurant ses publics de l’importance que l’organisme leu porte.

    D’un autre côté, elle peut justement écouter les conseils, les suggestions des gens, leur point de vue et grâce à cela, l’organisme peut mieux adapter services offerts au sein de sa compagnie. De plus, les médias socionumériques permettent de faire de la publicité en coûtant presque rien. Par contre, malgré les effets avantageux que peut avoir ces plateformes, il faut être prêt, en tant qu’organisme à jour, à mettre les efforts nécessaires pour assurer une continuité dans le suivi des interactions avec le public et de l’exactitude des informations transmises concernant la compagnie. Être présent et disponible pour le public.

    C’est simple, efficace, abordable et fonctionnel, bref, c’est un bon investissement pour les organismes publics.

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  23. Les médias de socionumériques ont différentes contributions au processus de la communication organisationnelle, non seulement dans l’amélioration et l’optimisation de leurs processus particuliers de prestation de services, mais aussi dans les modes de transmission du message et comment ils se rapportent à la population civile.
    L’article «l’usage des médias socionumériques par les organismes publics : le cas du Québec» de madame Yates nos permettre dimensionner différents avantages en matière de communication d’une présence sur les plateformes socionumérique pour les organismes publics.

    De forme générale nous pouvons identifier différents éléments très importants que les médias socionumeriques peuvent donner au processus de communication comme : universalité, simultanée, immédiat, un processus intégrateur, personnalisé et mis à jour.
    Je pense que l’influence des médias socionumériques sont la clef, pour une plus grande participation de tous les acteurs dans l’activité sociale de tous les aspects relatifs à l’environnement: économique, social, travail, justice, communication, entre autres; représenta un avantage d’interactions entre les utilisateurs.

    Les médias Socionumériques permettent de créer des relations avec les clients, et ses relations se traduisent par production et prestation des services. D’où l’importance, comme une nouvelle façon d’approcher au client, ce qui nous permettra d’établir des relations avec eux et de connaître leurs souhaits et leurs besoins, pour moduler ainsi nos actions et diriger les objectifs.

    Nous avons pu constater qu´une partie des citoyens, notamment les plus jeunes générations, utilisent beaucoup les médias socionumériques et connaissent par conséquent la plupart des outils, les types d´interfaces et le fonctionnement des réseaux sur lesquels ils ont l´habitude de partager, de communiquer, de s´informer et de se socialiser, c’est la raison pour laquelle il est nécessaire de concevoir une stratégie de communication où les médias socionumériques sont construits comme un outil de gestion de contenu. Dans le nouveau paradigme, la multidirectionnelle et l’interaction sont à devenir le modèle de gestion de la communication.

    C’est seulement un échantillon de l’énorme puissance que les médias socionumériques ont pour promouvoir un service et la fidélisation des clients

    Les médias socionumériques aident à soutenir et potentialiser l’image institutionnelle de l’organisation publique et on permet de savoir plus sur ses clients. Les médias socionumériquesont considérés comme un outil enrichissant et excellent pour améliorer le service que les organismes publics fournissent, non seulement pour les utilisateurs externes, mais aussi pour l’employé. L’avantage qui semble offrir les meilleurs résultats est basé sur l’humanisation du service par un service personnalisé pour les utilisateurs.

    Les médias socionumériques sont considérés par les organisations comme un moyen efficace pour la présentation des services aux clients. Un avantage est de recevoir une rétroaction en temps réel, parce que c’est un outil qui relie les utilisateurs dans les processus de développement, l’amélioration et l’évolution des services. Tout ce processus de rétroaction permet aux organisations de prendre des mesures correctives au bon moment, de réduire les coûts et d’ajuster les processus selon les besoins spécifiques de l’organisation et ses services.

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  24. Martine Nau

     /  11 décembre 2013

    Selon Stéphanie Yates, la présence des plateformes socionumériques dans les organisations publiques comportent plusieurs avantages. Entres autres, ils permettraient aux organisations d’établir une communication davantage personnalisée avec un public-cible ou des usagers, mais également la possibilité d’attraction de futurs partenaires d’affaire. Par ailleurs, cet article, souligne les médias sociaux comme étant une opportunité pour plusieurs organisations de parfaire leur communication organisationnelle. Ainsi, différente formes de communication sont mentionnées, dont la communication bidirectionnelle symétrique qui est à privilégiée. De cette façon, le public pourrait davantage faire partie du processus décisionnel. Par la même occasion, les organisations pourraient davantage bénéficier des opinions personnalisées pour améliorer les services. Néanmoins, malgré ces multitudes d’avantage, les organismes publics restent pourtant très prudents à se lancer. L’article mentionne quelques risques qui laissent ces organismes frileux. Entre autres, la nécessité de devoir y consacrer du temps. D’autres soulignent l’importance de conserver une certaine distance avec les usagers, peut-être dans le but de protéger la réputation ou l’image de l’organisation, ou encore, par peur de perdre le contrôle face à un outil qui reste encore méconnu, voir nébuleux pour plusieurs. À vrai dire, inévitablement, les organismes publics sont malgré eux destinés à faire partie de cette révolution technologique! donc, à suivre.

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  25. Martine Nau

     /  11 décembre 2013

    Selon Stéphanie Yates, la présence des plateformes socionumériques dans les organisations publiques comportent plusieurs avantages. Entres autres, ils permettraient aux organisations d’établir une communication davantage personnalisée avec un public-cible ou des usagers, mais également la possibilité d’attraction de futurs partenaires d’affaire. Par ailleurs, cet article, souligne les médias sociaux comme étant une opportunité pour plusieurs organisations de parfaire leur communication organisationnelle. Ainsi, différente formes de communication sont mentionnées, dont la communication bidirectionnelle symétrique qui est à privilégiée. De cette façon, le public pourrait davantage faire partie du processus décisionnel. Par la même occasion, les organisations pourraient davantage bénéficier des opinions personnalisées pour améliorer les services. Néanmoins, malgré ces multitudes d’avantage, les organismes publics restent pourtant très prudents à se lancer. L’article mentionne quelques risques qui laissent ces organismes frileux. Entre autres, la nécessité de devoir y consacrer du temps. D’autres soulignent l’importance de conserver une certaine distance avec les usagers, peut-être dans le but de protéger la réputation ou l’image de l’organisation, ou encore, par peur de perdre le contrôle face à un outil qui reste encore méconnu, voir nébuleux pour plusieurs.

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  26. Raffaela Christos

     /  11 décembre 2013

    Priorisé sur des valeurs organisationnelles et un engagement envers leur public cible, les organismes ont plusieurs avantages à développer leurs réseaux de communication à travers les technologies digitales, dont les plateformes de médias socionumériques. Afin d’atteindre leurs publics et améliorer la communication avec ceux-ci, les médias socionumériques sont un outil de communication qui devra être utilisé de plus en plus par les organismes publics au Québec.
    L’usage des médias socionumériques par les organismes publics québécois commence à prendre de l’ampleur et vise principalement à susciter l’intérêt des utilisateurs de ces plateformes. Cette plateforme est une opportunité à mieux démontrer la transparence des organisations et répondre aux besoins de la clientèle dans leur facilité de l’accès à l’information et à la participation des individus. Par le biais des ces plateformes de médias interactifs, les organismes font preuve d’engagement accrue avec leurs publics, ceux-ci ayant la possibilité de s’impliquer dans les échanges. La population québécoise de tous les âges, mais surtout les jeunes qui se servent le plus des médias sociaux, est ainsi encouragée a une relation individualisé avec les organisations.
    Les organismes publics québécois qui se servent des médias sociomunériques à leur plein potentiel sont bien placés par rapport à leur concurrence. Les sites web de ces organismes ainsi que leurs pages Facebook et Twitter, par exemple, devront être mises à jour de façon régulière afin de favoriser davantage les échanges. En matière de communication, cette source de média incite la collaboration des internautes et leur permet d’exprimer leur point de vue dans un dialogue ouvert à tous, c’est-à-dire par des discussions et le partage de commentaires par exemple. En se servant de ces plateformes, la communication est bidirectionnelle comme elle rejoint son public en échangeant directement avec celle-ci. En participant à ces échanges, les informations dans les réseaux sociaux sont renouvelées de façon perpétuelle et continue.
    Enfin, la présence des plateformes socionumériques à de nombreux avantages pour des organismes à but non lucratif par exemple. Comme les médias socionumériques offrent une communication directe à la population de façon générale et encourage des échanges entre les membres de la communauté, il est avantageux pour un organisme à but non lucratif à ses fins de levée de fonds par exemple. Ainsi, en permettant un lien facile d’accès sur le site web de l’organisme, les citoyens peuvent contribuer un don s’ils le souhaitent. Il est aussi dans l’avantage de ces organismes de se répandre sur les médias sociaux comme moyen de faire passer leurs messages, par exemple, s’il s’agit de rassembler des groupes pour des événements organises par ceux-ci, ou bien pour recruter des bénévoles, etc.
    Pour résumer, en facilitant l’accès à l’information et favorisant les interactions envers la collectivité, l’utilisation des médias socionumériques est un lien entre les organisations et leurs publics. Bref, c’est un moyen de communication très efficace qui gagne de la popularité et devrait être au cœur des organismes québécois dans les années à venir.

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