Échange avec mes étudiants UQAM COM3112 groupe 30

Avec les deux derniers cours du COM3112, nous nous sommes concentrés sur l’utilisation courante des médias socionumériques des organisations en 2017. Les applications et les outils du numérique les plus utilisés en relations publiques dans les organisations et dans les agences professionnelles. Nous avons également reçu Stéphane Prud’homme MA, MBA, PhD(c) le 8 novembre notamment au sujet du storytelling.

 

Question pour mes étudiants du COM3112 groupe 30

En vous référant au contenu des deux derniers cours, à titre de professionnel débutant en relations publiques quoi répondre à un client potentiel qui vous demande de lui indiquer les avantages d’une présence régulière dans les médias socionumériques pour son organisation? Votre commentaire doit spécifier un secteur d’activités de votre choix (consommation, culture, politique, affaires, startup, international, etc.), quelle approche globale de communication serait à privilégier (information, bidirectionnelle symétrique ou asymétrique – indiquer pourquoi) et au moins la justification détaillée de 3 médias socionumériques susceptibles de stimuler la présence en ligne de l’organisation de votre client.

Un membre de chaque équipe publie les commentaires pour son groupe en indiquant clairement le nom de l’équipe afin de pouvoir vous attribuer les points de cet exercice dans Moodle. Le commentaire de l’équipe : 3 à 4 paragraphes; ne pas hésitez à ajouter des URL pertinents et crédibles comme références scientifiques ou professionnelles voire même encore utiliser des figures.

Au grand plaisir de vous lire!

 

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32 commentaires

  1. ÉQUIPE E

     /  8 novembre 2017

    À titre de professionnel débutant en relations publiques, nous conseillerions à notre client d’être présent et être proactif sur les médias socionumériques pour son organisation politique. En effet, il est avantageux pour de futurs candidats de l’Assemblé National de se faire connaitre et d’avoir une présence marquante sur différentes sphères des communications afin d’être proche des citoyens de leurs circonscriptions. Comme dirait Monsieur Therrien: « […] occuper le terrain, faire passer ses messages, faire partie de la conversation plus globalement.»[1], c’est quelques avantages concrets d’utiliser les médias sociaux. Nous recommandons donc l’utilisation des trois plateformes suivantes : Facebook, Twitter et un blog.

    Premièrement, Facebook est une plateforme socionumérique que nous considérons comme étant très bénéfique pour accroître la visibilité d’une organisation dans la sphère politique. Effectivement, Facebook est un réseau social très simple à utiliser et qui permet d’entretenir des relations avec les gens, que ce soit avec les proches ou avec la communauté. Par exemple, en politique, un député ou un maire/mairesse peut atteindre un grand nombre de personne dans la circonscription avec la plateforme. Facebook est un outil socionumérique qui permet d’utiliser plusieurs volets, notamment la messagerie privée instantanée, les statuts, les commentaires, les ‘’ j’aime ‘’ et la publication de photos et vidéos diverses. De plus, Facebook sert à partager des moments, des opinions, des lieux, des pages et des publicités. À ce jour, le nombre d’utilisateurs Facebook a dépassé les 2 milliards, ce qui est donc très avantageux pour les divers joueurs politiques. De par sa proximité avec le public et sa popularité, Facebook est une plateforme indispensable dans le secteur politique.

    Deuxièmement, Twitter est un média social important dans le domaine politique, principalement pour les acteurs interagissant avec le public. Cette plateforme est efficace lorsqu’il est question de messages d’intérêt national ou lorsqu’il faut communiquer avec les grands médias traditionnels. Avec ses courts messages de maximum 140 caractères, Twitter permet à la personne qui l’utilise d’aller à l’essentiel, à ce qui est le plus important. Le lecteur d’un « tweet » est rapidement au courant des situations importantes, sans passer par quatre chemins. Toutefois, lorsqu’on est une personnalité politique publique, il est très important de faire attention aux messages que nous publions. Un « tweet » est vu très rapidement et peut être retweeté plusieurs fois en une minute. Une erreur est donc vite publiée, mais lentement oubliée. Prenons exemple sur Donald Trump. Parfois, sa maladresse sur Twitter l’a obligé à retirer des « tweets » alors que le mal était déjà fait. Lorsqu’un message est publié, s’il provoque des réactions, il ne faut pas le retirer. Cela créera d’autres vives réactions et nuire à la crédibilité d’une personne. Il faut être transparent, s’excuser si nécessaire, mais surtout, assumer nos faits et gestes. En comprenant cela, une personnalité publique ou un parti politique aura tous les outils pour bien gérer son compte Twitter.

    Troisièmement, le blog est un outil de communication utile pour plusieurs raisons. D’abord, il permet au client dans le secteur politique de tenir le public à jour concernant la situation de l’organisation. Un blog entretenu s’avère efficace pour informer et connaître l’opinion du public. De plus, le blog permet de créer une certaine relation avec les internautes, par exemple, en les fidélisant. Il est donc utile d’employer un blog pour un politicien ou une organisation souhaitant faire connaître son point de vue, ses valeurs, ses intentions, etc. Ensuite, cela amène une visibilité considérable à l’organisation à partir de son site internet. Le blog anime le site en quelque sorte. De plus, l’image de l’organisation s’avère améliorée si le blog est bien géré, naturellement, car le public est réellement témoin des publications de l’organisation.

    Finalement, nous croyons que toute organisation aurait intérêt à utiliser le modèle de communication bidirectionnelle symétrique. En politique, ce modèle devient d’autant plus pertinent puisque nous cherchons à générer une opinion publique favorable en vue de rallier la population à notre parti. À l’ère des médias sociaux, les publics désirent être sondés et veulent des réponses à leurs questions. Si nous désirons faire passer un projet de loi, par exemple, il va de soi que les médias sociaux deviennent un outil de prédilection pour sonder le terrain auprès de la population. Il faut toutefois garder en tête qu’une fois les opinions, idées ou suggestions reçues, il s’agit d’en prendre compte et d’y réagir pour répondre aux attentes des publics que l’on rejoint.

    En suivant tous ces conseils, les acteurs de la sphère politique sauront comment bien gérer leurs médias socionumériques et ainsi, comment bien rejoindre leurs différents publics cibles.

    [1] L’usage des médias sociaux en politique, 17 février 2014. Récupéré le 8 novembre 2017 de http://www.fondationbonenfant.qc.ca/stages/essais/2014/Jalbert_Anais.pdf

    Catherine Cloutier Charette, Andréanne Caron, Justine St-André, Audrey Roy, Sarah-Maud Montpetit.

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    • @ équipe E. Merci de votre commentaire. Bien d’accord avec les arguments que vous avancez. Un point cependant à considérer, l’évaluation des échanges doit faire partie de votre approche afin de prendre en compte la mesure de vos objectifs préalablement définis.

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  2. gab21rod

     /  8 novembre 2017

    EvaB est un café-boutique unique à Montréal.  Située sur le boulevard Saint-Laurent, cette friperie offre à ses clients la possibilité de prendre une bouchée tout en magasinant des morceaux de vêtements à prix réduit.  Cet établissement est muni de plusieurs grands espaces où les clients/clientes peuvent déguster ce qu’ils ont commandé en étant entourés de pièces artistiques de toutes sortes, en passant de toiles à de vieilles affiches de cinéma, une télévision en noir et blanc, etc.  De plus, une salle de spectacle est offerte pour accueillir des artistes qui proviennent habituellement du monde underground.  Cette friperie a récemment fait son entrée sur la toile avec leur nouveau site web.  EvaB souhaite donc faire grandir leur présence sur les médias sociaux numériques.  

    Le secteur d’activité d’EvaB est celui de la consommation puisque cette friperie offre un service de vente de vêtements et de vente de produits alimentaires.  
    L’approche globale de communication d’EvaB doit être bidirectionnelle symétrique puisque l’organisation souhaite établir une bonne relation avec sa clientèle.  Cette dernière doit sentir qu’EvaB souhaite réellement prendre en considération l’avis de ses consommateurs et de ses consommatrices.  En choisissant cette approche, la clientèle et l’entreprise se trouvent sur un même piédestal afin de se transmettre les messages de manière plus efficace, équitable et harmonieuse.

    Avantages d’une présence régulière dans les médias socionumériques :
    EvaB Café-Boutique est une entreprise unique en son genre. Sa présence sur les médias socionumériques lui permettrait de faire partie des entreprises connues d’un plus grand nombre de consommateurs et ainsi faire partie de l’ensemble évoqué des consommateurs. Le grand public penserait à EvaB quand il serait le temps pour eux d’aller acheter des vêtements uniques.  Aussi, en étant présente sur différentes plateformes socionumériques, une image de marque serait plus facilement créée et plus solide auprès des consommateurs. Les clients seraient également fidélisés et tentés de retourner dans cette boutique. De nombreuses personnes feraient également la découverte de ce magasin unique en son genre et pourraient ainsi profiter des pièces uniques de la friperie. En étant présent sur les médias socionumériques plus régulièrement, il serait possible d’inspirer le public avec des looks et des idées de tenues, ou simplement tenter les gens de venir passer un peu de temps en boutique, pour prendre un café ou pour magasiner.

    Justification de 3 médias socionumériques:  
    Instagram :
    Instagram est un média idéal pour l’entreprise EvaB, l’entreprise se prête parfaitement à la formule proposée qui est une plateforme qui permet d’introduire une marque et sa ligne de produits et services par un compte personnalisé. Plusieurs actions sont possibles sur Instagram pour faire avancer son entreprise, soit la création de contenu, cibler les publics cibles,  évaluer les préférences et habitudes des consommateurs et des utilisateurs de la plateforme, et encore. EvaB propose une variété de services et produits, il s’agit d’un café-boutique qui se différencie des autres de sa catégorie par son offre unique et novatrice. EvaB devrait certainement s’installer sur Instagram puisque cette plateforme présente un format propice à la proposition d’images et de courts vidéos. En effet, Instagram se démarque par son format simple et direct, il permet de publier des photos pertinentes et attrayantes pour l’oeil de l’utilisateur qui ainsi sera plus susceptible à aimer la publication, s’informer par rapport à la marque et ses produits et devenir un futur consommateur. De plus, Instragram est reconnu pour son côté lifestyle ou encore trendy, ce qui concorde bien avec l’entreprise EvaB. Cette plateforme permet d’aller chercher de la visibilité pour la marque, de créer une communauté en ligne et de vendre son produit sur une plateforme de plus. Également, il est possible d’aimer, de mentionner et de partager des publications de l’entreprise sur son compte personnel, ainsi davantage de gens peuvent être atteints par celles-ci ; les utilisateurs qui aiment l’entreprise peuvent partager leur appréciation avec les autres utilisateurs ou encore sur Facebook via Instagram. Aussi, EvaB gagnerait à s’installer sur Instagram puisqu’il s’agit d’une plateforme grandement utilisée par les jeunes, et considérant qu’il s’agit du principal public cible de l’entreprise, il serait donc facile d’aller rejoindre le public visé. En somme, la plateforme Instagram propose une multitude d’opportunités pour EvaB d’améliorer ses communications et d’atteindre ses objectifs d’entreprise.

    Facebook :
    L’utilisation de Facebook est idéale pour EvaB et pour rejoindre le public cible de la compagnie. On pourrait alors très bien présenter l’entreprise, les divers produits et services qu’ils offrent ainsi que leurs heures d’ouvertures et informations de l’entreprise. Il est également possible de présenter les diverses promotions et les nouveautés des produits offerts qu’ils offrent. Par exemple, on partage des looks que l’on peut retrouver et faire chez EvaB. On pourrait aussi retrouver des photos des cafés et produits alimentaires qu’ils servent.  On peut aussi parler des différents partenariats ou événements offerts par l’entreprise. On essaie de joindre quotidiennement les consommateurs au travers de son contenu. Ce serait également un bon moyen de présenter ce que fait le café-boutique et la façon dont il se différencie de leur concurrent avec leur nouveau concept. Le partage des publications et les mentions “J’aime “ du public déjà ciblé permettrait également de  rejoindre de nouvelles personnes et d’aller chercher de nouveaux clients.

    Snapchat :
    Finalement, une troisième plateforme qui pourrait être intéressante à utiliser est le média socionumérique Snapchat. Encore peu utilisé par les compagnies puisque c’est principalement un support pour mettre des vidéos et des photos du quotidien des internautes, il est maintenant possible de faire des publicités dans l’application ainsi que de faire un compte pour l’entreprise. En partageant le nom du compte Snapchat sur les autres réseaux socionumériques nommé plus haut, les internautes pourront ajouter EvaB et suivre les « story » que l’entreprise publiera. Par exemple, le contenu pourrait être des vidéos ou des photos du décor à la mode de la friperie ainsi que des endroits invitants où les gens peuvent prendre un café et discuter. De plus, quelques fois par semaine, EvaB pourrait créer des looks tendances à partir des morceaux qu’ils vendent en magasin et montrer différents ensembles de vêtements pour montrer aux internautes ce qu’ils peuvent trouver s’ils viennent magasiner à la friperie. Bref, EvaB se démarquera en utilisant le média Snapchat, car la friperie pourra montrer l’ambiance de l’endroit et les vêtements, tout en étant une des premières PME québécoises avec un compte Snapchat.

    Équipe F

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    • @ équipe F. Merci de votre commentaire. Bonne intégration des outils socionumériques avec votre dossier. Comme je le mentionnais à l’équipe précédente, outre la pertinence de votre stratégie, la question de l’évaluation doit également faire partie de vos enjeux. Un client est toujours intéressé à connaître comment seront mesurés vos objectifs.

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  3. Amélie P

     /  10 novembre 2017

    Dans une société telle que la nôtre, c’est-à-dire où l’avancée technologique est en constante croissance et où les gens sont informés plus que jamais, les entreprises, petites et grandes, n’ont pas d’autres options que d’intégrer les médias socionumériques dans leur plan d’affaires. Suivre les tendances en termes de médias est aujourd’hui primordial pour toutes entreprises qui désirent avoir du succès. Différentes plates-formes, toutes aussi intéressantes les unes que les autres, sont disponibles et peuvent grandement contribuer à la réussite des entreprises en termes de communication et d’image de marque. Pour mieux comprendre comment les entreprises peuvent tirer profit au maximum des médias sociaux, prenons Norac Spas, membre détaillant du Groupe Maître Piscinier, comme exemple.

    Avec 1,4 milliard d’utilisateurs dans le monde dont 5,6 millions au Québec, Facebook est une plateforme à ne pas négliger. Pour une entreprise, il s’agit d’un moyen efficace afin de faire connaître sa marque et d’entrer en contact avec son public cible. Ainsi, transmettre ses messages se fera plus efficacement et surtout plus rapidement. En termes de réseau social, le public que cible Norac Spas utilise principalement Facebook. Il est donc facile d’aller cibler ce type de public par des promotions et également de répondre à ses questions et ses commentaires rapidement et efficacement. Facebook met à la disposition des particuliers et des entreprises plusieurs fonctions intéressantes comme la messagerie privée, les commentaires notant l’entreprises, l’option de commentaires sous une publication, etc. En répondant et en favorisant la participation des abonnés, Norac Spas contribue à une communication bidirectionnelle asymétrique. En effet, l’entreprise a l’opportunité de prouver son savoir spécialisé, son service attentionné et son écoute active qui lui permettra de mieux satisfaire son public.

    De nos jours, les possibilités sont infinies quant aux médias socionumériques : Facebook, Instagram, Pinterest, Snapchat, Spotify, Twitter, Linkedin, YouTube, Google Plus, blogues, etc. En naviguant sur ces différentes plates-formes, on retrouve régulièrement le fameux hashtag (#). Celui-ci est un mot ou un groupe de mots suivant le caractère # dans une publication et qui permet au lecteur d’être redirigé vers des publications traitant sur le même sujet, et ce par un simple clic. Twitter a initié ce principe qui s’est rapidement répandu sur d’autres plates-formes dont Facebook et Instagram. Pour toutes entreprises, il est fortement conseillé d’utiliser les hashtags afin de bénéficier d’une audience additionnelle, soit celle qui recherche des publications à partir de mots-clés. Si l’on continue avec l’exemple de Norac Spas, un hashtag pourrait lui être grandement bénéfique. En initiant ses consommateurs à publier diverses photos d’eux dans leur univers Norac (dans leur piscine, leur spa, avec leur foyer Napoléon, leur BBQ, leur fumoir, etc.), l’entreprise peut créer un sentiment d’appartenance chez ses clients et bénéficier d’une visibilité accrue. Un simple concours pourrait motiver et initier cette pratique chez les consommateurs. En effet, cette pratique pourrait débuter sur Facebook et se poursuivre sur Instagram ou l’on publierait à nouveau les meilleurs contenus afin de bâtir un visuel intéressant et, du même coup, une base d’abonnés. De cette manière, on vient également profiter de la plateforme qu’est Instagram, avec ses 1.25 million d’abonnés au Québec. Norac Spas peut alors espérer rejoindre un autre segment de sa clientèle moins âgée, comme les jeunes familles.

    De plus, le blog est un outil très intéressant à utiliser pour les détaillants de produits spécialisés comme Norac Spas. Bien entretenu et régulièrement alimenté, il permet de devenir une référence chez le public et l’amène automatiquement sur le site web de l’entreprise. Le blog permet également d’échanger avec les clients. C’est en laissant des commentaires ou des questions que l’on ouvre la porte à la discussion, ce qui est bénéfique pour les mêmes raisons qu’avec Facebook. Le blog est également générateur de contenu pour toutes les autres plates-formes. On peut partager l’article publié sur Facebook, en parler sur Instagram avec un visuel intéressant, le retweeter sur Twitter, etc. Son contenu peut également être très varié. Dans le cas d’un détaillant comme Norac Spas, les publications peuvent concernées des conseils pour l’ouverture ou la fermeture de piscine, des recommandations de produits, des idées « lifestyle » avec des produits du magasin, des suivis sur des évènements, des recettes parfaites pour les BBQ Napoléon, etc.

    Somme toute, on peut affirmer que les médias socionumériques riment avec réussite. En effet, il a été prouvé que plus une entreprise est active et présente sur les médias sociaux, plus ses chances de sortir du lot sont élevées. Utiliser adéquatement les médias sociaux favorise grandement la visibilité des entreprises. Mais pour ce faire, il est essentiel que celles-ci accordent un minimum de temps à la création de contenu, à l’entretien et au suivi des pages. #fin

    Équipe J

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    • @ équipe J. Merci de votre commentaire. Sujet amené avec une bonne ligne directrice et choix des outils socionumériques adaptés au contexte. Vous indiquez que les «médias socionumériques riment avec réussite.» Attention avec cette affirmation, si cette perception est généralisée actuellement, il en va tout autre lorsque l’organisation utilisant ces médias vit une gestion de crise. Pensez à votre approche de mesure également.

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  4. Le phénomène des médias socionumériques a révolutionné l’approche de toute organisation envers son public. À preuve, il est à ce jour essentiel d’être connecté sur quelques-unes des différentes plateformes dans le but de rejoindre ses différents publics et ses parties prenantes. De ce fait, les avantages d’être présent sur la web-o-sphère sont nombreux, à commencer par la visibilité augmentée, l’acquisition potentielle de nouveaux clients et pour le développement d’une réputation en ligne, d’une relation de confiance avec les publics ainsi que d’une crédibilité. Bien entendu, c’est aussi un outil qui facilite les relations publiques en ligne. Ces relations publiques, par le biais desquelles les entreprises font maintenant de la publication de contenu, suscitent un engagement de la communauté envers l’organisation. Dans d’autres cas, ce contenu que nous générons est un avantage considérable en optimisant la visibilité dans les moteurs de recherche; c’est ce qui crée un référencement, et donc plus d’engagement de nouveaux internautes.

    Prenons l’exemple d’un parti politique. Assurément, il est capital pour ce regroupement de faire entendre leur voix et d’écouter celles des citoyens s’ils veulent obtenir l’appui de la communauté. Les médias socionumériques sont un excellent moyen pour créer une interaction et développer une relation bidirectionnelle. Dans le cadre politique, il serait préférable pour le parti d’utiliser des réseaux tels que Facebook, Twitter et LinkedIn.

    Pourquoi devraient-ils utiliser ces réseaux? Le choix est nettement important et il doit être réfléchi. Dans le cas qui nous préoccupe, Facebook est inévitable puisque c’est l’endroit où la majorité de la population s’y trouve le plus régulièrement, où nous pouvons retrouver les informations de base et où il est le plus facile d’aller chercher l’interaction en masse. D’un autre côté, Twitter est un média qui alloue la possibilité de partager des informations qui sont pertinentes et intéressantes pour la population, souvent en lien avec les affaires publiques. C’est court et concis, mais c’est ce qui permet de publier rapidement de l’information à ses publics tout en élargissant son réseau. Voilà un média très pertinent pour un parti politique. C’est d’ailleurs une façon d’aller chercher l’intérêt des journalistes, quoique les journalistes utilisent de moins en moins cette source… Finalement, LinkedIn est un réseau incontournable à utiliser pour son aspect professionnel, pour la réputation du parti et pour retenir l’attention de professionnels.

    Dans ce contexte, la relation bidirectionnelle asymétrique serait à privilégier. Toutefois, cette relation devrait tendre vers la relation bidirectionnelle symétrique. Ce qui est surtout important pour l’organisation politique est, hors de tout doute, de se faire connaître en publiant du contenu qui aura une répercussion sur l’intérêt de ses lecteurs. Il n’est pas question de tout dire parce que certaines choses restent confidentielles, évidemment. Cependant, il faut tenter d’engager des interactions avec le public autant que possible. C’est de cette façon qu’ils se sentiront interpelés et écoutés.

    Cela dit, les réseaux varient souvent en fonction de son entreprise et de ses objectifs. Par exemple, si nous parlions d’un café émergent qui s’installe dans la métropole, nous nous serions davantage tournés vers des médias socionumériques comme Facebook, Instagram et Snapchat. Le côté ludique aurait été éligible dans le cadre d’une stratégie web, tant que l’utilisation est justifiée bien sûr.

    Finalement, il est important de maintenir une interaction entre les différents médias sociaux, d’être constants dans l’utilisation qu’on en fait et d’avoir une stratégie de communication avant même de publier du contenu. Sachez toutefois que c’est une chance de pouvoir publier du contenu, car les gens se souviennent de nous et c’est de cette façon qu’ils s’engagent par la suite. Très souvent, c’est une tâche de longue haleine de construire une plateforme et de développer une communauté; il faut beaucoup de contenu pour développer sa réputation.

    N’oubliez surtout pas: il faut toujours évaluer et mesurer le fruit de ce que l’on fait. C’est vrai aussi sur le web, surtout devrais-t-on dire.

    – Équipe C

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    • @ équipe C. Merci de votre commentaire. En passant, il devait être publié dans le groupe 10 et pas de soucis, comme indiqué en classe, j’ajusterai vos points dans Moodle. Par ailleurs, vous avez tout à fait raison qu’il s’agit d’une tâche de longue haleine. Et généralement, plutôt significative si la présence est régulière.

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  5. Delphine Gagnon

     /  11 novembre 2017

    La publicité, présente dans tous les secteurs, tels que celui de la culture, de la politique, des affaires, des startups, de l’international, et notamment celui de la consommation, ne cesse d’évoluer et de prendre plus en plus d’importance. S’adapter aux diverses tendances environnementales est un devoir qu’une organisation se doit de faire pour assurer sa survie, et ce, surtout dans le monde de la technologie. 2017, qui est une ère médiatique concernant majoritairement le monde de consommation, particulièrement les entreprises, est une année où il est indispensable de s’intégrer dans les diverses plateformes numériques. Selon Emarketer, 37 % des investissements de publicité dans les médias au Canada proviennent du numérique. Aussi, que ce soit par la radio, les imprimés, la télévision, le digital et tout autre dispositif, le numérique l’emporte en 2018 à 82.96 billions $ (2014: 50.73 billions), contrairement à la télévision qui se situe à 78.64 billions $ (2014: 50.73 billions). Il y a donc un transfert de mode de diffusion vers le numérique dans le monde du marketing par l’accessibilité et la rapidité de transmission et de réception de l’information entre les parties prenantes. Toutefois, cette évolution s’explique par l’augmentation d’utilisateurs, et donc, des organisations qui s’en servent pour rejoindre directement leurs consommateurs. Cela implique donc une plus grande concurrence publicitaire par les entreprises qui focalisent de plus en plus leur économie vers la publicité, et donc, qui accroissent les contenus. Il est alors primordial de se différencier afin de capter et préserver l’attention du consommateur afin de maintenir son intérêt et son engagement envers la marque. Que ce soit par le style, la réciprocité, l’amplification, la durée, l’intensité et l’immersion qu’apporte la publicité. L’organisation doit se démarquer aux yeux des consommateurs étant dorénavant bombardés de contenus.

    Une organisation en 2017 se doit d’être présente dans le monde des médias socionumériques pour être directement en contact vers son public et pour rester à l’affût des tendances, et donc, d’y trouver sa place pour se démarquer. En ayant accès directement aux consommateurs, le modèle de communication bidirectionnelle symétrique est le modèle à privilégier. En effet, ce modèle, qui consiste à une ouverture du dialogue de l’entreprise vers son public et d’en appliquer les besoins demandés de celui-ci, amplifie la relation de confiance des consommateurs, car ils se sentent écoutés, interpellés et privilégiés de la compagnie. Ce qui amène au public un sentiment d’appartenance et d’engagement envers la marque (préservation de l’attention) puisque l’entreprise répond à ce qu’il désire réellement.

    De plus, les médias sont des outils de mesure de performance par le nombre d’abonnements, de clics, de partages, de « j’aimes », de hashtag, etc. Ces indicateurs, qui sont très accessibles publiquement, permettent à l’organisation de comprendre le profil des consommateurs et leurs sentiments liés aux publicités pour ensuite s’y adapter. Par exemple, trois médias peuvent réaliser ce phénomène par leur différente utilisation. Soit Instagram où il y a 3,600 photos partagées par minutes et 1,25 million d’utilisateurs au Québec, Facebook 6. 684,478 de partages par minute et 5,6 millions d’utilisateurs au Québec, Twitter 100,000 tweets envoyés par minute et 1 million d’utilisateurs au Québec.

    En définitive, l’envergure des plateformes socionumériques nous amène dans une nouvelle ère médiatique qui demande une grande présence sur le web. Il est fortement important d’investir du temps dans les médias socionumériques, surtout si le public cible de l’organisation est les jeunes adolescents et les 24 -35 ans, car ceux-ci retrouvent la plupart de leur information sur le web et utilisent cette plateforme pour poser des questions ou commenter simplement ce qu’ils pensent des compagnies ou de nouveaux produits (communication bidirectionnelle). Être continuellement présents sur le web amène une confiance des consommateurs envers l’organisation. Pour l’entreprise elle-même, cette présence lui permet non seulement de préserver l’attention des consommateurs, mais aussi d’être à l’affût des tendances. En effet, celle-ci trouve des opportunités et des données pertinentes permettant de développer du contenu publicitaire « original » en visant ce que les consommateurs recherchent réellement, et donc, de capter davantage l’attention de nouveaux utilisateurs.

    Équipe B

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    • @ équipe B. Merci de votre commentaire. Merci également des statistiques récentes au sujet de ces outils. Bien d’accord avec votre analyse que la communication numérique génère une nouvelle ère des communications. Si une organisation peut maintenant communiquer directement avec ses publics via ses propres médias, la transparence et une approche éthique responsable doit guider ses interventions et interactions.

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  6. ÉQUIPE C

     /  11 novembre 2017

    De nos jours, les médias socionumériques sont essentiels à la réussite d’une stratégie de communication, particulièrement pour une entreprise qui fait ses débuts sur le marché, comme notre client, Bonbon Citron*. Confiserie québécoise créée en 2015 à Rimouski, Bonbon Citron a fait appel à nos services afin d’améliorer et d’unifier leurs initiatives de communication.

    Les médias socionumériques consistent en un enjeu central pour la stratégie que nous avons créée : ils permettront à Bonbon Citron de montrer la marchandise aux clients potentiels, de sorte à conscientiser ces derniers à leur identité visuelle, ce qui fera en sorte que le repérage de produits Bonbon Citron sera plus instinctif pour eux. De plus, une fréquence régulière de publications a le potentiel de créer un lien avec les clients potentiels, de sorte à les fidéliser à l’entreprise, mais également à développer un sentiment d’appartenance envers Bonbon Citron. Une fréquence régulière de publications peut également servir à intégrer le quotidien des clients potentiels : nous désirons que ces derniers prennent l’habitude de s’informer des nouvelles actualités de l’entreprise.

    Pour les fins de notre stratégie de communication, nous désirons privilégier l’approche bidirectionnelle symétrique, de sorte à créer un lien solide entre Bonbon Citron et ses clients. L’entreprise proposera les contenus, donc sera le point de départ de la discussion, mais sera plus qu’attentive aux commentaires du public, prenant en considération les commentaires constructifs afin d’adapter leurs services ainsi que leur offre à la clientèle.

    Dans le cadre de cette campagne, nous recommandons l’utilisation de trois médias socionumériques, Instagram, Snapchat et Facebook.

    Bonbon Citron étant une entreprise au grand potentiel visuel – les bonbons sont attrayants visuellement et représentent, en quelque sorte, l’enfance et le côté ludique – Instagram est tout indiqué pour créer un lien avec les clients potentiels d’un plus jeune âge (adolescents et jeunes adultes). Nous utiliserions principalement Instagram dans le but de publier des photos des bonbons dans des contextes colorés, de sorte à créer un sentiment agréable, voire friendly, chez l’utilisateur qui tombera sur ces photos. La publication de photos contribuera à renforcer l’image de marque de Bonbon Citron, en plus de pouvoir toucher un plus grand public, indépendamment de la langue des utilisateurs, puisqu’une photo transcende les langages et les frontières.

    Nous utiliserions également Snapchat avec le même objectif de créer un lien avec la clientèle de moins de 25 ans, mais en publiant plutôt des stories photos et vidéos montrant l’envers du décor : la fabrication des bonbons, l’emballage, les enjeux de production et de commercialisation des produits, etc. Puisqu’il faut connaître le nom d’utilisateur de la personne qu’on désire suivre sur Snapchat pour s’abonner, nous croyons que nos abonnés connaitront déjà l’entreprise grâce à nos autres plateformes, ce qui nous permettra de renforcer le sentiment d’appartenance de nos abonnés envers l’entreprise.

    Finalement, pour ce qui est de Facebook, nous utiliserions ce média socionumérique afin de rejoindre une clientèle plus âgée (jeunes parents, parents et grand-parents, par exemple) par le biais de photos et de concours. Les personnes de cet âge sont plus susceptibles de participer aux concours Facebook en partageant les publications, ce qui aura pour effet de créer une visibilité pour l’entreprise et de susciter un engagement de la clientèle. Sur la page Facebook de Bonbon Citron, nous voulons publier des liens vers des articles de blogue et vers la boutique en ligne de l’entreprise, ainsi que les grandes annonces de l’entreprise.

    Cette stratégie de communication vise à conscientiser le public à l’existence de Bonbon Citron, mais également à son identité de confiserie spécialisée, ainsi qu’à créer une image de marque forte qui saura marquer les esprits.

    *client fictif

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    • ÉQUIPE C

       /  11 novembre 2017

      Véronique Bilodeau
      Marie Elaine Faubert Dufort
      Stéphanie Gélinas
      Groupe 30 — mercredi 14h.

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    • @ équipe C. Merci de votre commentaire. Vos choix d’outils cadrent bien avec une approche de rp/marketing en ligne pour ce type de produits. Ne pas négliger le blogue pour faire découvrir certains angles afin de maintenir l’attention de vos communautés en ligne. D’ailleurs, il serait important de les définir tout comme d’élaborer votre planification d’évaluation des interactions.

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  7. Amélie Lacroix

     /  12 novembre 2017

    Lorsque vient le temps de faire l’utilisation des médias socionumériques, il faut que notre client comprenne que la proactivité est de mise sur ce type de médias puisqu’un flux énorme de contenus de qualités différentes passe sous les yeux des publics à tous les jours. Ces médias sont un bon moyen d’amener les publics à se prononcer et, ainsi, donner une opinion qui pourra orienter les prochains contenus de l’entreprise. De ce fait, il ne faut pas oublier que, sur les médias socionumériques, le type de communication à prioriser avec les différents publics est une communication bidirectionnelle symétrique.

    Différents avantages s’offrent tout dépendant des sphères d’activités du client. Prenons en exemple une entreprise oeuvrant dans le domaine culturel ayant déjà une certaine notoriété dans son domaine d’activité. Un entretient régulier des conversations sur les médias socionumériques ainsi qu’une publication de contenu de qualité servira à rappeler leur présence à leurs différents publics et, d’ainsi, maintenir leur notoriété considérant que celle-ci est déjà bien établit. En ce qui concerne le contenu, le meilleur conseil pouvant être fait à notre client serait de miser sur la qualité du contenu et non la quantité de contenus sinon l’avantage du maintient de la notoriété pourrait simplement s’annuler. Dans la cas d’une entreprise oeuvrant dans le domaine culturel, nous conseillons l’utilisation de Instagram, Facebook et Youtube. Celles-ci permettront de créer et de diffuser des contenus différenciés et de qualités pouvant être inter-reliés entre ces différentes plateformes .

    Pour une entreprise du domaine culturelle, l’utilisation de Facebook peut être accomplie afin de diffuser du contenu créé sur une autre plateforme et d’entretenir des discussions avec leurs publics. Puisque Facebook est un médias socionumériques très utilisé, une présence régulière, mais de qualité, aidera l’entreprise à atteindre les différents avantages mentionnés ci-dessus. Facebook est souvent un média à prioriser, car son nombre d’utilisateurs est considérable, soit de 1,4 milliards utilisateurs dans le monde (Sprout social).

    Pour ce qui est de Instagram, il faut faire attention à ce que le contenu qui y est diffusé soit adapté à la plateforme qui est principalement utiliser par une entreprise ayant un produit qualifié d’esthétique, ce qui est bien souvent le cas dans le domaine culturel. Il ne faut pas oublier que l’option des « Insta-Stories » permet un autre angle à l’entretient de conversation avec les publics. C’est un moyen de se rapprocher de ses publics et de partager de l’informations d’une manière pouvant être perçue comme étant plus informelle que d’autres plateformes. Ce côté informelle peut aider les publics à se sentir plus inclus dans la communauté et, ainsi, être plus réceptif à ce qui est partager comme contenu.

    Finalement, youtube est un média souvent oublié, mais pourtant très efficace lorsque vient le moment de créer et de diffuser du contenu dans le domaine culturel. Son avantage, mise à part que le vidéo offre un éventail de possibilités, est que son contenu initialement publié sur cette plateforme peut facilement être transférable ou diffusé sur beaucoup d’autres plateformes tels que Facebook. Le vidéo permet, de la même manière que les « Insta-stories », de créer un contenu plus marquant pour les publics. Tout dépendant du type d’entreprise culturelle, Youtube est une plateforme de mise pour créer une communauté soudée.

    Équipe A

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    • @ équipe A. Merci de votre commentaire. Plusieurs caractéristiques des outils de votre commentaires sont en fait des arguments pour indiquer votre souci de faire comprendre à un client les avantages de la proactivité. Attention aux malheureuses coquilles !

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  8. Camille Paquin

     /  12 novembre 2017

    L’utilisation des médias sociaux numériques aujourd’hui en 2017 est très diversifiée et se développe à une vitesse fulgurante. En effet, à chaque minute, environ 100 000 Tweets sont envoyés, 48 heures de vidéos sont téléchargés sur Youtube, 6. 684, 478 partages sur Facebook ainsi que 3600 photos Instagram sont publiées. C’est pourquoi, en 2017, une entreprise se doit absolument d’utiliser ces outils dans leur quotidien pour rester en contact avec les parties prenantes.

    Les différentes plateformes de médias sociaux numériques aujourd’hui ne permettent pas seulement de faire des partages de contenu. Elles ont leurs avantages et leurs inconvénients. Prenons exemple avec Facebook qui s’est diversifié depuis sa création en 2009 et qui permet maintenant de faire de la publicité pour rejoindre un groupe très ciblé. Avec autant d’utilisateurs à travers le monde (1,4 milliards) et pour continuer l’engouement pour ce réseaux, Facebook a su comment bien se développer et diversifié son offre. Il est aujourd’hui possible de partager des vidéos directement sur Facebook (ce qui pénalise Youtube de cette manière), de créer des mini applications, de créer des groupes secrets, publics ou privés. Pour une entreprise, l’utilisation de Facebook est conseillée puisqu’il permet de rejoindre beaucoup de gens en très peu de temps, de façon assez modeste monétairement.

    Tout dépendant quel type de public l’entreprise souhaite viser, certains réseaux sociaux ont été regroupés selon leurs caractéristiques. Par exemple, selon le groupe « fun » qui sous entends la facilité d’utilisation, un public plus jeune, des plates formes dynamiques, l’on retrouve Facebook, Snapchat, Pinterest, Instagram et Spotify. L’autre groupe, appelé « Les sérieux » regroupe les sites comme LinkedIn, Twitter, Youtube, Google Plus et les blogues personnels ou professionnels. La cible pour ces réseaux est plus âgée et regroupe des gens sur le milieu du travail et d’autres professionnels.

    Bien entendu, en tant qu’entreprise il est primordial de savoir comment manipuler ces réseaux-sociaux et comment interagir avec son public. Il est important de garder une certaine proximité avec son public cible tout en démontrant une écoute active avec ceux-ci. Pour produire du contenu original, plus créatif et adapté au public, pour augmenter l’efficacité de nos communications et se démarquer de la compétition, il existe des outils de mesure et des indicateurs pour aider les entreprises. Ces indicateurs peuvent être représentés sous un le nombre de clics, le nombre d’engagements par pages et par publications, le niveau d’influence d’une marque sur les médias sociaux, le nombre de nouveaux abonnés et le pourcentage d’augmentation dans le temps, etc.

    Pour conclure, les entreprises en 2017 qui souhaitent faire l’utilisation des médias sociaux dans sa stratégie doivent être à l’affut des changements, des dernières tendances et doit surtout bien connaître son public cible. Elles doivent savoir leur objectif de communication SMART dans sa stratégie (information, notoriété, image de marque, gestion d’enjeux, forces et faiblesses de l’entreprise, etc.) mais elles doivent surtout rédiger un plan d’action à long terme qui permettra de bien s’adapter aux changements numériques dont notre monde est soumis aujourd’hui.

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    • @ équipe L. Merci de votre commentaire. À toutes les équipes, nos collègues de l’équipe L soulignent la pertinence des outils de mesure! Également la question de la rédaction des objectifs SMART (Stratégique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et Temporel) permet notamment de concentrer les actions vers ceux-ci mais également de sélectionner les bons outils de mesure.

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  9. Équipe G

     /  12 novembre 2017

    En tant que jeunes professionnels de relations publiques, nous conseillons une approche stratégique à employer à l’école de gymnastique Les Dynamix. L’utilisation des médias socionumériques est importante au sein des organisations en 2017. Plusieurs objectifs et stratégies sont nécessaires de préparer afin que l’utilisation des médias soit optimale. C’est pourquoi nous désirons conseiller approche de communication bidirectionnelle symétrique pour l’école de gymnastique. Trois médias que nous leur conseillons d’essayer sont : Facebook, Instagram et un blog.

    En premier lieu, notre recommandation d’utiliser une stratégie de communication bidirectionnelle se base sur plusieurs raisons. Une d’entre elle est qu’il est évident que si les différents publics de l’école ont une meilleure communication avec l’école elle-même et qu’elle écoute ce qu’ils ont à leur dire, elle pourra mieux répondre à leurs besoins et demandes. Une autre des raisons pour lesquelles une communication bidirectionnelle symétrique serait à privilégier serait qu’elle aiderait à créer une communauté autour de l’école. Les objectifs généraux d’une stratégie de médias sociaux consistent à bâtir une audience, celle-ci a une dimension variable selon le contexte dans laquelle elle est, accorder plus d’importance à la qualité qu’à la quantité, engager une discussion avec les membres d’un réseau socionumérique, publier un contenu adéquat et définir les bons indicateurs de mesure. De plus, il est important de considérer que les objectifs de communication d’une stratégie de médias sociaux consistent à bien s’informer en général. Aussi, ils visent à échanger le plus possible avec les membres de l’équipe, établir une certaine notoriété vis-à-vis de l’entreprise, définir une bonne image de marque et faire une bonne gestion des enjeux présents. Les stratégies de base consistent à bien définir les objectifs SMART ainsi que les différents publics cibles, rédiger un plan efficace et précis, déterminer les personnes responsables au sein de l’équipe, cibler les meilleures plates-formes à utiliser, définir un type de contenu en particulier à publier ainsi que le moment et la fréquence auquel ce contenu sera publié et finalement, établir un moyen de faire la conversion vers les objectifs visés.

    En deuxième lieu, on conseille à l’école de gymnastique Les Dynamix d’utiliser Facebook comme média pour communiquer avec ses différents publics cible. C’est définitivement le meilleur moyen de rejoindre les parents des jeunes élèves qui fréquentent l’école. La majorité des parents ont probablement déjà un compte sur le réseau social, c’est pourquoi il serait facile de communiquer avec la majorité des clients de l’école et même les futurs clients. Il sera important pour l’école de rendre sa page assez active pour se créer de l’engouement. Le fait de publier ne serait-ce qu’une seule fois par semaine sur différents sujets qui concernent l’école, soit les dates d’inscriptions, les compétitions ou les jeunes athlètes qui font partie de l’équipe de l’école, pour n’en nommer que quelques-uns.

    En troisième lieu, le deuxième média que l’on conseille à l’école Les Dynamix d’utiliser est Instagram. C’est un média visuel qui serait parfait pour toutes sortes de publications visuelles liées à l’école, aux élèves qui la fréquentent et aux compétitions auxquelles ils participent. À bien y penser, il n’y a pas de meilleur moyen pour montrer ce que l’école promouvoit et accomplit que de le montrer avec des photos et des vidéos. Ce serait un bon moyen pour amener de la visibilité à l’école puisque les parents et les élèves eux-mêmes pourraient identifier l’école dans leurs publications. Cela serait un autre bon moyen de créer un engouement autour des activités qui ont lieu à l’école.

    Finalement, nous conseillons à l’école de créer un blogue. Cet ajout à leur éventail de médias sociaux serait dans la même optique que les deux autres médias que nous avons suggérés : créer une communauté et un engouement autour de l’école. Un angle à utiliser sur le blogue serait le storytelling. En effet, il n’y aurait rien de mieux pour rassembler les familles qui fréquentent l’école et motiver des parents à inscrire leur enfants aux prochaines inscriptions que de montrer des histoires d’accomplissement d’enfants qui prennent des cours avec Les Dynamix depuis plusieurs années. Mettre l’accent sur des moments touchants ou même des moments routiniers mais non sans importance pour les élèves et leurs parents pourrait créer un lien solide entre l’école et ses publics.

    Équipe G

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    • @ équipe G. Merci de votre commentaire. Approche crédible et ne pas oublier de bien cibler vos parties prenantes c’est-à-dire les communautés en ligne qui interviendraient dans votre approche bidirectionnelle.

      Répondre
  10. Équipe L

     /  12 novembre 2017

    Les médias socionumériques sont une partie prenante du travail des relationnistes. Beaucoup d’entreprises sentent le besoin d’avoir une présence sur les médias sociaux, mais peu savent les utiliser d’une manière efficace et pertinente. Un client nous a approché pour s’informer sur les avantages d’avoir une présence accrue sur les médias sociaux.

    Notre client est un humoriste de la relève qui s’appelle Charles Pellerin. Il aime beaucoup les médias sociaux à titre personnel, mais il se questionne sur la pertinence de les utiliser dans un cadre professionnel. Il anime des soirées d’humour dans des bars, dont les Lundis de l’humour au Jockey. Cette soirée était précédemment animée par Phil Roy, ensuite par Jay du Temple, la réputation de cette soirée est donc déjà bien établie. L’objectif de M. Pellerin est de se faire connaître.

    On conseille à Charles de se pencher vers une communication bidirectionnelle asymétrique. Il se doit de communiquer avec ses fans, qui eux réagiront d’une quelconque façon. Il est bien d’entretenir un peu les échanges de manière plus personnelle afin de fidéliser les abonnés et augmenter les chances qu’ils «passent à l’action», en d’autres mots qu’ils aient le voir en spectacle. Plus concrètement, il partage à ses abonnés du contenu, qui eux répondent en «aimant», commentant ou en partageant. Lorsqu’ils commentent ou lui envoient des messages, Charles peut leur répondre afin d’alimenter le lien entre les fans et l’artiste, mais il faut tout de même réserver une certaine distance afin d’éviter que les gens soient invasifs et conserver un niveau de professionnalisme et de crédibilité.

    Nous recommandons à notre client d’être présent sur trois médias : Facebook, Instagram, YouTube.

    Facebook est le média social le plus utilisé (5,6 millions d’utilisateurs au Québec), donc une bonne présence sur cette plateforme ne peut qu’être bénéfique. M. Pellerin pourrait utiliser Facebook pour publier des vidéos où il fait la promotion de ses soirées d’humour (et de ses spectacles éventuellement) toujours avec un ton humoristique. Il peut aussi écrire des statuts de type anecdotique pour faire connaître son genre d’humour au public. Facebook est aussi une excellente plateforme pour prendre position sur les enjeux sociétaux. Par exemple, avec les bouleversements récents dans le monde de l’humour, plusieurs humoristes ont exprimé leur désarroi et le sentiment de trahison qu’ils ont ressenti et habituellement, ces prises de position sont très appréciées du public. Cela donne un côté très humain aux humoristes. Par contre, attention à ne pas surutiliser la tribune qui est accordée. Aussi, ce qui est encourageant avec Facebook, c’est la facilité de savoir les publications qui sont le plus appréciées avec les mentions «j’aime», les commentaires et les partages.

    Youtube peut être utilisé sur un ton pédagogique et humoristique, ce qui concorde bien avec les objectifs de notre client. Avec 4,7 millions d’utilisateurs au Québec, Youtube est une plateforme non-négligeable pour les humoristes de la relève comme M. Pellerin, puisqu’on peut atteindre facilement les publics qui participent aux soirées d’humour dans les bars, donc les 18-24 ans. Nous conseillons à Charles d’utiliser Youtube afin d’héberger des capsules humoristiques faites en collaboration avec ses collègues du domaine de l’humour, technique très populaire chez la relève présentement. En hébergeant sur Youtube, la vidéo peut se retrouver sur la page des recommandations de certains utilisateurs et gagner en popularité organiquement. Il est important de partager ses vidéos sur sa page Facebook pour augmenter le nombre de visionnements et par le fait même les chances que ça se retrouve sur la page d’accueil Youtube. Pour faire accroître le nombre de vues, il est aussi bien de faire un bon référencement en publiant la vidéo, donc en mettant de bons mots clés qui aident à retrouver facilement la vidéo ou qui la relient à celles de d’autres humoristes plus populaires. C’est aussi bien de participer à des enregistrements de podcasts (baladodiffusions) publiés en version vidéo sur Youtube afin d’augmenter la visibilité et la présence, à ce moment là, sur plusieurs plateformes telles que Podcasts, Google Play Music, Youtube, Facebook et parfois même Instagram. De plus, les baladodiffusions humanisent souvent les humoristes et cela amplifie l’attachement des fans envers eux. C’est encore un bon endroit pour faire la promotion des pages fans de l’artiste ainsi que de ses prochaines apparitions (spectacles, entrevues télé, etc).

    Instagram est aussi un outil essentiel pour augmenter sa popularité. Avec ses 1,25 millions d’utilisateurs, Instagram est un média de plus en plus utilisé par les 18-24 ans, qui est le public cible de M. Pellerin. Il pourrait utiliser Instagram pour publier des photos amusantes ou un peu plus sérieuses. Par exemple, Arnaud Soly, un autre humoriste, utilise beaucoup cette plateforme afin de promouvoir ses soirées d’humour avec des montages Photoshop rigolos qui captent l’attention des fans et donnent envie d’aller le voir en spectacle. On peut également partager des photos plus personnelles avec des membres de la famille ou des amis, clichés qui rappellent davantage le côté attachant et humain de l’artiste. Cela aide beaucoup à attendrir le public cible, donc l’encourager à revenir voir le profil Instagram ou la page Facebook. M. Pellerin pourrait aussi faire des insta stories de ses soirées d’humour pour donner envie à ses abonnés d’aller à la prochaine.

    En terminant, Charles a déjà une bonne présence sur les médias sociaux, mais avec nos conseils, il a la clé vers le succès numérique!

    Équipe L

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    • @ équipe L. Merci de votre commentaire. Bon, il est bien chanceux Charles d’avoir un regard affirmé sur la présence numérique. Outre les différentes suggestions, ne pas perdre de vue l’importance de la mesure et de l’évaluation.

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  11. Adrienne York

     /  12 novembre 2017

    Jérôme Bocchio est parisien, et il a lancé sa marque de sacs à main à Montréal en 2014. Il s’occupe de tout lui-même, que ce soit du design, de l’achat du cuir, de la conception, des photoshoot : il est l’unique artiste derrière tout ce travail. Au début, lors de son lancement, il était possible de se procurer ses produits en ligne via son site internet, mais rapidement son talent a été découvert, et il est maintenant possible de se procurer ses produits dans plusieurs boutiques. Jérôme Bocchio est présent sur Facebook et Instagram, mais notre équipe tient à ce qu’il exploite davantage ces plateformes, principalement celle d’Instagram en plus de créer un blogue et une chaîne YouTube.

    Le secteur d’activité de Jérôme Bocchio est celui de la consommation, puisqu’il s’agit de la vente de sac à main. L’approche globale de la communication qu’il utilise est celle bidirectionnelle symétrique, puisqu’il essaie et se doit d’être avant-gardiste en ce qui concerne les nouvelles tendances modes.

    Il serait pertinent pour cet artiste d’exploiter davantage les réseaux sociaux en se concentrant sur ce qui le distingue des autres. Aujourd’hui, les consommateurs aiment se sentir interpellés, ils aiment vivre une expérience et ils aiment savoir d’où proviennent les produits qu’ils se procurent. Les réseaux sociaux sont parfaits pour ce genre d’expérience, il suffit de bien les exploiter.

    Premièrement, Instagram est en expansion constante et offre une panoplie de possibilités. M. Bocchio utilise déjà très bien la plate-forme en montrant des images des produits et des voyages professionnels qu’il fait pour être toujours à l’affut des nouvelles tendances. Cependant notre équipe lui suggère d’utiliser les sondages dans la section story d’Instagram. Ceci lui permettrait d’avoir une communication un peu plus bidirectionnelle, en laissant décider ses abonnés du nouveau modèle de sac par exemple. Cette utilisation serait gratifiante pour lui, puisque les consommateurs se sentiraient plus interpellés et seraient plus susceptibles de faire éventuellement un achat, en plus de lui donner un retour rapide sur ce que ceux-ci recherchent et apprécient.

    Deuxièmement, la création d’un blogue serait une idée intéressante selon notre équipe puisqu’il pourrait parler en premier lieu de son histoire et aussi expliquer son processus de création à travers différents articles. Il pourrait également parler de ses inspirations et des manières d’être avant-gardiste en 2017, alors que la mode change sans cesse. D’autre part, le blogue permettrait de fidéliser sa clientèle lorsque celui-ci est bien utilisé. Par exemple, Jérôme Bocchio pourrait publier toujours à la même heure et le même jour de chaque semaine.

    Troisièmement, la création d’une chaîne YouTube permettrait de visualiser ce qui est dit dans le blogue. Chaque semaine, M. Bocchio pourrait publier une vidéo, afin de montrer son atelier, le processus de création et même des capsules qui parlent de lui pour que les auditeurs développent un sentiment d’appartenance envers la marque.

    Groupe B:
    Marie-Lou Goyette
    Chloé Granger
    Anne-Sophie Lamer
    Adrienne York

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    • @ équipe B. Merci de votre commentaire. En effet, les suggestions d’outils et leur utilisation sont utiles pour la présence en ligne de M. Bocchino. Surtout ne pas oublier de concevoir les indicateurs et les outils de mesure pour suivre l’évolution des échanges et agir selon le contexte de ceux-ci.

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  12. ÉQUIPE D

     /  12 novembre 2017

    La gestion des différents médias sociaux numériques n’est pas la même d’un média à l’autre. D’ailleurs, cette gestion ne prendra pas la même forme d’un secteur d’activité à un autre. Nous avons choisi d’étudier le secteur de la culture et son approche des communications virtuelles. Plus particulièrement, nous porterons notre attention sur l’utilisation de ces plateformes lors de festivals. Durant ces événements, une bonne utilisation des médias sociaux est très avantageuse pour les organisateurs. Grâce à ceux-ci, il est possible de communiquer rapidement avec les festivaliers. Souvent tenus à l’extérieur, les festivals sont à la merci de la température, en cas d’annulation d’événement ou de modification de programme, une bonne communication avec le public peut réduire les impacts négatifs qui menacent la crédibilité d’une organisation.

    Selon nous, le type de communication approprié pour les festivals est la communication bidirectionnelle symétrique. Dans certaines situations, il sera favorable d’inciter les participants à s’exprimer en temps réel. Cela permet aux organisateurs une rétroaction rapide s’ils offrent une présence régulière sur les plateformes de partage appropriées. Certains aspects sur lesquels ils pourraient réajuster le tir seraient, par exemple, les toilettes bouchées, la perte d’un objet d’un des participants, la recherche d’une scène, etc. Toutefois, certains médias sociaux numériques ne se prêtent pas à ce type de communication. Lorsqu’il est question de partager des informations qui n’auront aucune modification, une communication bidirectionnelle asymétrique est à prioriser. Lorsqu’on annonce une heure de représentation, un lieu ou qu’on fait de la promotion, le public pourra se prononcer sans que, cependant, ces messages soient pris en considération systématiquement. En fait, une présence accrue assure d’éviter des débordements potentiels si un commentaire peut nuire à la réputation. Or, nous croyons que les médias socionumériques les plus adaptés pour un festival sont : Instagram, Facebook et un blogue.

    Tout d’abord, Instagram est l’un des outils idéal pour couvrir un événement tel un festival. Instagram permet à l’organisation de partager toutes les étapes de la réalisation de l’événement, en passant par la préparation, le back-stage jusqu’au jour même du festival, voire même l’« après-festival ». L’utilisation judicieuse d’Instagram permet de susciter de l’engagement de la part des participants dès le tout début, en mettant des photos et vidéos pertinentes des artistes invités, en ajoutant du storytelling sur les artistes et sur l’histoire du festival, bref en partageant du contenu visuel qui attire et maintient l’attention des utilisateurs. En effet, « […] créer du contenu qui se rapproche le plus possible du mode de vie que recherchent les utilisateurs constitue l’approche la plus pertinente pour développer sa communauté d’adeptes » [1]. Il est donc primordial de faire vivre une expérience aux utilisateurs maintenant, plus que jamais.

    Ensuite, Facebook est également un réseau social à privilégier pour les festivals. En effet, cette plateforme permet de promouvoir du contenu plus complet (que Twitter, par exemple) à ses abonnés, de donner davantage de précisions et même de faire de la publicité. Les gestionnaires de communauté pour ces organisations peuvent donc utiliser Facebook pour annoncer les artistes qui seront présents ainsi que la programmation officielle. Pour éviter de mettre du contenu trop long et non captivant, il est possible d’ajouter un lien vers un site externe, comme le site web officiel du festival qui permet aux abonnés d’accéder à des informations plus techniques et détaillées. Facebook offre aux utilisateurs un accès privilégié à ces informations , qui apparaissent quotidiennement dans leur fil d’actualité. Le festival en question peut ainsi être évoqué dans l’esprit des festivaliers avant, pendant et après l’événement.

    De nos jours, pourquoi tenir un blogue d’entreprise alors que les réseaux sociaux sont omniprésents ? Comme Stéphane Prud’homme (@stepru | https://twitter.com/stepru?lang=fr) [2] l’expliquait, les gens ne sont pas intéressés à lire de longs statuts sur les réseaux sociaux. Le billet de blogue permet de remédier à cela en allant plus en détail sur un sujet, que le ferait une publication sur les réseaux sociaux. Dans le cas du festival, cette tactique pourrait être très intéressante. En effet, on pourrait inviter les artistes du festival à écrire un blogue sur leur expérience au Québec. Ce type de billet risque fort bien d’intéresser notre cible. Ultimement, le blogue génère un trafic sur le site web de l’entreprise. Avec des sujets de blogues bien précis, le public du blogue sera un public très susceptible d’acheter les produits du festival. Comme le blogue est hébergé sur le site de l’entreprise, le client potentiel n’a pas à aller très loin pour acheter le produit. De plus, le blogue contribue au positionnement de l’entreprise ainsi qu’au SEO du site de l’organisation.

    Pour conclure, une présence accrue, mais à la fois équilibrée et pertinente sur les médias socionumériques confère à une organisation de la notoriété. Le public est intéressé et engagé, et lorsqu’il désire en apprendre davantage sur un sujet, les outils mentionnés précédemment lui permettre d’y parvenir efficacement. La société contemporaine est sursollicitée par les milliers de stimulus ambiants. C’est grâce à un contenu de qualité et adapté qu’il est possible de se démarquer et d’assurer une place de choix dans l’ensemble évoqué de la cible visée.

    [1] Infopresse. (2015). Campagnes sur Instagram: comment toucher sa cible?
    Disponible via internet au «http://www.infopresse.com/article/2015/5/26/campagne-sur-instagram-comment-toucher-sa-cible» visité le 10 novembre 2017.

    [2] Conférence de monsieur Stéphane Prud’homme, fondateur de Réputation & cie, dans le cadre du cours COM3112 le 8 novembre 2017.

    ÉQUIPE D

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    • @ équipe D. Merci de votre commentaire. Les organisateurs d’événements gagneraient à lire votre commentaire, plusieurs éléments de réflexion sont proposés. Merci pour le lien vers vos références.

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  13. Gabriel Burbaud

     /  13 novembre 2017

    À titre de professionnel débutant en relations publiques, nous recommandons fortement à notre client, soit la chaîne de restaurant Mandy’s d’avoir une présence accrue sur les divers médias sociaux numériques afin de conserver son excellente réputation ainsi que d’augmenter sa notoriété. Cette entreprise a créé le concept du premier comptoir « créer votre propre salade » en 2004 et depuis a bien su se démarquer et évoluer à l’intérieur d’un secteur très compétitif, soit celui de la consommation. Étant donné que cette organisation oeuvre dans ce type de secteur, nous croyons qu’il est primordial qu’elle utilise de manière abondante les plateformes sociales les plus fréquentées afin de suivre les tendances modernes numériques et de réussir à faire face à ses compétiteurs. De nos jours, « les médias sociaux sont un outil d’affaires incontournable et sont utilisés comme un canal de communication marketing supplémentaire. »[1] De plus, selon nous plusieurs approches particulières sont utilisées fréquemment par les organisations du secteur de la consommation à des fins de marketing et de promotion. Ces entreprises ont recours à plusieurs techniques spécialisées sur leurs médias sociaux, telles que des publications à titre de concours ou des publications mettant en vedette des personnalités connues qui consomment le produit en question. Ces approches sont utilisées afin d’attirer l’intérêt des consommateurs ainsi que de conserver et d’augmenter la notoriété de l’entreprise.

    La direction des restaurants Mandy’s aurait tout intérêt à prioriser une communication bidirectionnelle symétrique. En effet, les internautes concernés ne veulent pas consulter du contenu promotionnel de type marketing. Ils veulent se divertir et apprendre quelque chose de nouveau. Or, ce style de publication nommé storytelling n’est pas suffisant pour respecter le style bidirectionnel symétrique. On recherche plutôt un échange constructif entre le client et son public. Une façon intéressante d’y arriver serait par exemple de demander l’avis des internautes sur une nouvelle recette de salade qu’ils aimeraient retrouver au menu. Les choix les plus populaires sont retenus et un suivi rigoureux doit être publié par la suite. Le public aura alors la satisfaction que son opinion fut écoutée. Cette communication peut prendre davantage de ressources à mettre en oeuvre, mais du point de vue des relations publiques, il s’agit de la plus efficace à long terme.

    Une présence continuelle et régulière dans les médias socionumériques comporte plusieurs avantages pour une organisation. Premièrement, une présence régulière permet à l’entreprise d’obtenir plus de visibilité auprès de sa clientèle, établie et potentielle. En effet, seulement au Québec, on compte 5,6 millions d’utilisateurs Facebook [2]. Ceci détient un énorme potentiel pour une petite entreprise montréalaise de se faire découvrir. Par exemple, si notre client, Mandy’s, partage une photo d’une de leurs salades une fois par jour, leurs produits seront toujours frais dans la mémoire de leurs abonnés et leur viendra fort probablement en tête lorsqu’ils se cherchent une option santé pour le diner. Deuxièmement, une présence régulière sur les médias socio numériques permet d’établir un contact direct avec ses consommateurs, que ce soit par messages directes ou de commentaires sur les publications de l’entreprise. Par exemple, sur Facebook, lorsqu’on visite la page d’une entreprise, on peut voir en moyenne combien de temps elle prend pour répondre aux messages reçus, et souvent, on peut y lire une moyenne d’une heure. Ceci démontre que les consommateurs aiment communiquer avec les entreprises auxquelles ils s’identifient et développent une relation positive avec eux, ce qui les amène à consommer plus souvent leurs produits. Troisièmement, lorsqu’une entreprise partage quotidiennement du contenu pour leurs abonnés sur les médias socio numériques, ceci peut créer du bouche-à-oreille entre les utilisateurs et en retour, créer de la promotion gratuite pour l’entreprise, ce qui est une bonne manière pour les PME comme Mandy’s d’obtenir de la visibilité sans débourser pour l’obtenir.

    Mandy’s attire sa clientèle par son menu santé et son décor éclaté. Comme toute entreprise de son temps, Mandy’s doit avoir une présence sur les réseaux sociaux. La clientèle cible de ce restaurant, entre 18-35 ans autant francophone qu’anglophone, utilise les médias socionumériques tels que Facebook, Instagram et Snapchat. Mandy’s doit donc alimenter sa présence sur ce type de médias sociaux.

    Facebook est une plateforme intéressante quant à la publication de contenu pour Mandy’s. Le restaurant peut partager ses nouveaux produits, tel que les salades de la saison ou bien les produits en vente libres qu’ils tiennent en boutique. La plateforme Facebook permet de diffuser du texte un peu plus long. Les fondatrices de la marque associent leur marque à différentes causes. Ce média leur permet donc de montrer et d’expliquer leur présence et leur engagement. Une tâche plus complexe sur Instagram ou sur Snapchat. Ce média permettrait une visibilité plus large pour Mandy’s autant dans son contenu que dans ses publics.

    Instagram est une plateforme qui permet à la marque de se positionner sur leur image. Ce média est excellent quant à la diffusion de contenu visuel. Les produits de la marque sont vibrants de couleurs ainsi que les restaurants et les food-trucks roses. Instagram permet de personnaliser et d’associer une image particulière à la marque. Mandy’s à le profil parfait comme entreprise pour créer un contenu intéressant sur cette plateforme. De plus, en partageant leur produit, les consommateurs vont pouvoir avoir un aperçu alléchant de leur salade.

    Snapchat est un média qui pourrait rejoindre une clientèle plus jeune, soit entre 16-20 ans. Les food-trucks de Mandy’s sont souvent à différente location. Cette application permet d’activer la localisation. Il serait intéressant pour Mandy’s de partager leur position par ce média. Les consommateurs du restaurant auraient à les suivre sur leur compte Snapchat pour suivre les déplacements des camions. La marque pourrait également diffuser des vidéos et des photographies du quotidien des employés et des clients. Toutefois, le contenu de ce média est éphémère. Mandy’s est déjà assez populaire dans les yeux de leur public. Ce média socionumérique pourrait apporter un aspect amusant en lien avec la géolocalisation.

    [1] http://www.faste.ca/blogue/les-plateformes-les-plus-populaires/ (En ligne) Consulté le 11 novembre 2017

    [2] https://www.moodle2.uqam.ca/coursv3/pluginfile.php/2035278/mod_resource/content/1/MSetentreprises2017.pptx.pdf

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    • Gabriel Burbaud

       /  13 novembre 2017

      Ajout :
      Le commentaire ci-haut sur les restaurants Mandy’s provient de l’équipe K.

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    • @ équipe H. Merci de votre commentaire. Bonne analyse détaillée des caractéristiques des outils suggérés. Un bon bien important dans votre commentaire, l’importance de l’écoute. D’ailleurs si celle-ci est incontournable au tout début de l’élaboration d’une campagne, elle doit se faire également en continu et particulièrement pour la communication bidirectionnelle.

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  14. Groupe I

     /  13 novembre 2017

    En 2017, une entreprise se doit d’être présente sur les différents médias socionumériques. Pour nous, jeunes professionnels en relations publiques, cette affirmation est vraie et logique. Pourtant, il est important de rappeler qu’une simple présence sur les réseaux sociaux n’est pas suffisante. En effet, cette présence doit être stratégique et bien exécutée. C’est pour cette raison qu’il est impératif pour une entreprise de se poser les bonnes questions avant d’investir temps et argent sur le web. Quels sont les objectifs poursuivis? À quel public s’adresse-t-elle ? Quels sont les messages clés? À quelle fréquence devrait-elle publier ? Comment devrait-elle intervenir avec sa communauté ? Et bien d’autres.

    Quand une bonne stratégie d’utilisation des médias socionumériques est élaborée, les avantages d’une présence régulière en ligne sont nombreux. Tout d’abord, ils permettent aux entreprises d’accroître leur visibilité gratuitement ou bien à très faibles coûts. Ensuite, ils facilitent l’instauration auprès des consommateurs d’une image de marque plus forte. Également, avec des publications un peu plus « personnelles », par exemple sur les membres de l’équipe ou bien les valeurs de l’entreprise, celle-ci peut intensifier la confiance que son public lui porte. Puis, grâce à une approche de communication bidirectionnelle symétrique, les médias socionumériques permettent d’entrer en contact avec les consommateurs ou bien les consommateurs potentiels de la marque. L’entreprise peut demander l’avis de leur communauté, créer des sondages, faire une veille des commentaires sur leurs publications, répondre à des questionnements, et plus encore.

    Pour cet exercice, prenons comme exemple une jeune «startup» montréalaise oeuvrant dans le milieu alimentaire ; les concurrents sont nombreux et leur budget est très limité. Dans une telle situation, l’entreprise devrait envisager d’être active sur Instagram et Facebook ainsi que d’avoir un blogue.

    Instagram est de mise pour une «startup» en alimentation puisque leur produit permet de créer du contenu intéressant, dans ce cas-ci des photos de nourriture. Leur présence permettra donc d’aller rejoindre tous les « foodies » de Montréal et d’ailleurs. Bien entendu, le contenu doit être à la hauteur des attentes et c’est pour cette raison que l’aide d’un photographe est à considérer. Avec ses 800 millions d’utilisateurs mensuels, Instagram est certes devenu un réseau social à envisager pour n’importe quelle entreprise.

    Ensuite, Facebook reste indétrônable pour une compagnie désirant avoir une présence notable sur le web. Pour une «startup», c’est un outil parfait afin d’interagir avec ses consommateurs. Grâce aux « j’aime », aux commentaires, aux partages et à la messagerie privée, Facebook permet à l’entreprise de pratiquer une communication bidirectionnelle avec sa communauté. De plus, les publications pouvant être partagées sur Facebook sont très diversifiées. Elles offrent plus de possibilités : photos, vidéos, sondages, textes, offre d’emploi, Facebook live, événement, etc.

    Finalement, toute «startup» devrait avoir un blogue sur son site web afin d’être en mesure de partager des textes plus longs. Les articles, qui devraient répondre aux différents questionnements de la communauté de l’entreprise, permettent également de créer du contenu pour les autres médias socionumériques. Puis, pour le référencement naturel, c’est un outil essentiel. Le blogue aide l’entreprise à apparaître dans les premières pages de recherche de Google tout en créant un trafic plus élevé sur le site web.

    Référence utilisée :

    Banque de développement du Canada. (2017). Comment créer une stratégie de médias sociaux. Consulté le 12 novembre 2017 : https://www.bdc.ca/fr/articles-outils/marketing-ventes-exportation/marketing/pages/plan-marketing-medias-sociaux-liste-entreprise.aspx

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    • @ équipe I, merci de votre commentaire. Bien content que votre équipe ait sélectionné une organisation débutante dans un secteur d’activités où on retrouve de gros joueurs présents en ligne. Bonne analyse et j’aime bien votre prudence et pertinence d’y aller avec les outils suggérés.

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  15. Kassandra Sénécal

     /  14 novembre 2017

    Équipe H

    Il y a cinq avantages majeurs observable à une présence régulière sur les réseaux socionumériques. Le premier avantage est dû au fait que parallèlement à l’expansion du web 2.0, les réseaux sociaux ont augmenté en nombre et variété. Comme les consommateurs vont de plus en plus sur internet tant pour consommer que se renseigner sur les produits avant consommation, gérer sa e-réputation devient primordiale. De la même façon, proposer du contenu adapté sur un médium adapté permettra à l’image de marque d’être cohérente et de gagner en e-réputation.
    Le deuxième avantage, lié au premier, est en lien avec l’amélioration de la visibilité de sa marque où l’idée sous-jacente est encore pluriel. Il s’agit de gagner en popularité afin que la marque se fasse aimer de ses consommateurs, de gagner des nouveaux followers, consommateurs et clients, de pouvoir gagner en référencement web (publicité ou référencement naturel par le repartage), de gagner en création de contenu publié par les consommateurs qui pour que la marque vive par elle même, par ses consommateurs. Pour y parvenir, l’entreprise se doit à cette étape là, d’être la plus sincère possible envers ses consommateurs et mettre à jour régulièrement son contenu sur les médias socionumériques afin de favoriser le climat de confiance et surtout, le dialogue avec ses utilisateurs.
    Le troisième point vient tout naturellement à la suite et est en rapport avec l’amélioration qualitative d’une entreprise sur sa représentativité socionumérique. En somme, c’est l’amélioration de son service après vente et/ou sa capacité à éviter précocément toutes situations de crise. Il faut alors à la marque d’entretenir une conversation privilégiée avec sa clientèle, de bien la connaître et être en mesure de la rassurer afin que le climat de confiance créé perdure. Il s’agit d’établir une veille numérique, d’être à l’écoute des requêtes des clients et d’améliorer sa ligne directrice avec transparence, efficacité et cohérence.
    Le quatrième avantage est qu’une fois que l’on a récolté suffisamment de données, nourri des échanges de confiance et d’appréciations envers la marque, il est temps à une entreprise de solliciter sa communauté de marque afin de rayonner plus encore et gagner plus de fidélisations. Plusieurs procédés existent : la somme des goûts de ses consommateurs permettront d’orienter une campagne de communication sur un versant adéquat. Également, la collecte d’information permet à l’infolettre de délivrer efficacement des informations relatives à sa marque en ciblant son public.
    Le cinquième avantage vient également de ce quatrième point : lorsque la marque arrive au niveau à créer une communauté autour de son produit, elle est à même de montrer son expertise et ce, afin de solliciter l’intérêt de nouveaux clients.
    En somme, une présence régulière sur les médias socionumériques peut être plus que bénéfique pour autant pour les grande entreprise que pour les startup comme la vôtre. Cette dernière pourra vous permettre d’atteindre vos objectifs. Les entreprises se doivent de voir les médias socionumériques comme des outils efficaces et indispensables.

    Pour une startup l’approche globale de communication à adopter est l’approche bidirectionnelle symétrique, soit « la situation idéale en communication où la source non seulement écoute le public, mais tient compte de ses remarques et s’adapte à ses besoins. » En étant un startup, vous disposez de plus temps afin de répondre aux besoins de vos utilisateurs et s’adapter en fonction de leurs commentaires. Vous devez vous assurez d’entretenir un dialogue efficient avec vos futurs utilisateurs/followers/consommateurs. Votre entreprise peut plus facilement évoluer grâce aux interactions entre vous et votre public. En étant attentif, la startup peut avancer vers un meilleur succès. Tout en respectant votre mission et vos valeurs initiales, vous pouvez modifier certaines choses toujours en ayant comme objectif d’amener votre entreprise à un autre niveau. C’est à travers l’utilisation des médias socionumériques choisi que vous pouvez construire une communauté propre à vous. Une communication bidirectionnelle demande beaucoup de travail, mais nous croyons que c’est la meilleure approche à adopter précisément en tant que startup qui veut se tailler une place dans cette infime jungle qu’est le monde des affaires.

    Parmi les médias socionumériques qui sont susceptibles de stimuler la présence en ligne de votre organisation, Facebook est celui à ne pas négliger. C’est un incontournable. En effet, il détient le plus grand nombre d’utilisateurs de tous les médias socionumériques. Ainsi, vous pourrez joindre une très grande portion de votre public cible à travers cette plateforme. Avec 1,4 milliards d’utilisateurs, vos clients actuels et potentiels sont sur Facebook à coup sûr. De plus, les fonctionnalités de la plateforme vous permettent de suivre l’évolution des Likes sur votre page, de voir le nombre de personnes atteintes par chaque message publié (le reach), l’engagement des abonnés ainsi que la performance de chaque publication. Il ne faut pas oublier que Facebook n’est pas un créateur de contenu, mais bien un média où le contenu peut être diffusé et partagé, ce qui peut aider à augmenter la visibilité du contenu qui sera publié sur votre Blog et sur votre site web, par exemple. Enfin, une grande particularité de Facebook est qu’il permet de faire du des vidéos en direct, du livestream. Les utilisateurs aiment tout particulièrement cette fonction puisqu’elle leur permet de voir du contenu exclusif et non modifié. Ils se sentent alors privilégiés d’avoir accès à ce contenu inédit. Le livestream invite également les utilisateurs à interagir avec les organisateurs du live en leur posant des questions et des commentaires. C’est donc un moyen intéressant pour maintenir une communication bidirectionnelle avec votre public cible.

    Avec plus de 328 millions d’utilisateurs dans le monde, dont 1 million d’utilisateurs au Québec et plus de 16 millions en France, l’application du petit oiseau bleu est un autre incontournable. Twitter se démarque par un fil de presse des plus efficace, en plus d’atteindre ses abonnées de manière instantanée. C’est l’actualité à son meilleur. Cette plateforme permet une grande proximité avec ses utilisateurs. Dans le monde des affaires, les politiciens et les journalistes : tout le monde à un compte. C’est pourquoi les entreprise ont intérêt à être très actifs sur Twitter. Indirectement, créer un compte Twitter permet de surveiller ses concurrents et donc analyser les types d’interactions qu’ils ont avec leurs consommateurs. Cela permet à l’entreprise de se démarquer par son expertise en apportant des éléments nouveaux et pertinents. Si l’organisation entretient un dialogue efficace ses utilisateurs, elle va améliorer sa e-réputation. C’est un moyen simple afin de faire parler de soi tout en contrôlant le message. La plate-forme Twitter offre à l’entreprise une communication directe avec son réseau. La liberté communicationnelle que l’entreprise a permet à celle-ci de diriger ses communiqués comme elle le désire tout en jouant avec l’image qu’elle souhaite véhiculer. Chaque tweet est également référencé par des moteurs de recherche : Google, Bing et Yahoo. Avec une simple recherche, les tweets peuvent apparaitres en mots clés, surtout s’ils sont re-tweeté, ce qui augmente la visibilité. Enfin, Twitter est un excellent outil en gestion de crise.

    Ayant 700 millions d’utilisateurs à travers le monde Instagram est une plateforme en pleine expansion. En effet, en plus d’être très populaire chez la population plus jeune, il est un outil efficace pour présenter les produits et services offerts par l’entreprise de la publication et du partage de photos. C’est la plateforme idéale pour présenter son image de marque. Instagram tient à l’affût une certaine clientèle par le biais de publications visuelles et du fameux hashtag qui en seul clique condense tous les éléments qui ont été identifié. Cette plate-forme rejoint énormément de gens avec 400 millions d’utilisateurs actifs tous les jours. En tant que startup, instagram est un atout béton, car il vous permet de vous faire connaître facilement. Il va vous permettre de vous construire un communauté active aisément. De plus, sur Instagram vous aurez la possibilité de faire ce qui est appelé des instastories, soit un vidéo en direct qui permet de diffuser des vidéos, des photos ou des boomerangs reflétant votre vague du moment.Cette fonction vous donne plus de liberté et vous permet d’avoir un présence régulière sur ce média socionumérique. Lorsqu’un utilisateur suit une marque en particulier, il est sujet à avoir des recommandations de compagnies similaires à celle déjà suivie, ce qui peut être intéressant. Si un utilisateur suit votre entreprise, les abonnés de ce dernier est susceptible de voir le compte instagram de cette entreprise. Instagram est donc une plateforme propice à la création de contenu et à la véhiculation d’images propres à votre entreprise. Il sera vous satisfaire et vous permettre d’atteindre votre objectif de notoriété.

    Référence utilisées :
    E1. (2017, 17 juin). Instagram, outil génial pour le business des start-up : « ça crée une relation de proximité ». Récupéré de http://www.europe1.fr/economie/instagram-outil-genial-pour-le-business-ca-cree-une-relation-de-proximite-3363431

    Mathieu, I., « 9 raisons d’utiliser Twitter pour votre entreprise ! », emarketingglicious.fr, social media, date de parution le 24 juin 2010.
    https://www.emarketinglicious.fr/social-media/9-raisons-dutiliser-twitter-pour-votre-entreprise

    Définition de communication bidirectionnelle symétrique:

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